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Patrick Bourdet "Mettre de la distance était la... par Europe1fr
INTERVIEW E1 - Patrick Bourdet, PDG AREVAmed, une filiale d'Areva, raconte son histoire dans un livre.
Orphelin d'un père suicidé lorsqu'il avait quatre ans, sous la responsabilité d'une mère alcoolique et sans le sou, il a grandi dans la misère, dans une cabane en bois, en pleine forêt landaise, sans eau ni électricité, à six kilomètres de son école. Aujourd'hui, Patrick Bourdet est PDG AREVAmed, une filiale d'Areva qui lutte contre le cancer. Il raconte son histoire dans le livre "Rien n’est joué d’avance", chez Fayard, co-écrit avec le journaliste Guillaume Debré. Et il était vendredi l'invité d'Europe1.
"Il y a toujours un point lumineux". "Ma vie a vraiment commencé un peu avant mes 16 ans. Dès que je pouvais, je fuguais. Puis a 16 ans, j'ai été placé dans une famille d’accueil qui m'a permis de me tirer d'affaires. Je m'y sentais aimé et en sécurité", raconte-t-il. "A partir de là, j'ai commencé à grandir. Puis j'ai eu un appartement et j'ai commencé à travailler, comme balayeur à l’arsenal de Cherbourg", décrit-il. "Je me suis toujours dit que j’étais déterminé à cheminer, à avancer".
"Ne jamais renoncer". En 1988, il signe un CDI à Cogema, appartenant aujourd'hui à Areva, et a gravi les échelons. "Pour sortir de la précarité, j'ai commencé à étudier, cela me faisait me sentir en sécurité. J'ai fait un Master, HEC... Et le temps m'a appris à me méfier des présupposés. Aujourd'hui, jamais je n'embauche quelqu'un sans un échange avec la personne", assure-t-il. À tout jeune désespéré, il "invite très humblement à ne jamais renoncer. Il y a toujours un point lumineux à l'autre bout du tunnel. Le regard sur la situation est très déterminant".
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Nigeria : mobilisation pour la libération des lycéennes enlevées - Le 05/05/2014 à 11h00
Si par hasard, la vidéo n'apparaît pas
http://www.itele.fr/monde/video/nigeria-mobilisation-pour-la-liberation-des-lyceennes-enlevees-81520
Trois semaines après l'enlèvement de 234 lycéennes revendiqué par Boko Haram, la mobilisation prend de l'ampleur.
Sur internet, plusieurs personnalités font part de leur soutien. Sous la pression internationale, le président Godoluck Jonathan répond enfin aux familles.
Il a donné l'ordre aux autorités de "tout faire" pour libérer les jeunes filles.
Le président Goodluck Jonathan a déclaré dimanche que son gouvernement espérait l'aide du président Barack Obama pour aider son pays à résoudre ses graves problèmes de sécurité, au moment où une campagne pour libérer les étudiantes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram commence dans le monde.
Appel à l'aide
Le Nigeria, pays africain le plus peuplé en butte à de graves problèmes sécuritaires depuis des mois, et où 234 étudiantes ont été enlevées par le groupe Boko Haram, a aussi approché d'autres pays comme la France, le Royaume-Uni et la Chine, a-t-il précisé samedi soir au cours d'un entretien radio-télévisé depuis la capitale fédérale Abuja. Il a aussi demandé la coopération des pays voisins - Cameroun, Tchad, Niger et Bénin -.Les lycéennes "sûrement" libérées
"Nous parlons à des pays dont nous espérons une aide (...) Les États-Unis sont numéro un. J'ai déjà parlé deux fois avec le président Obama", pour qu'il aide le Nigeria à résoudre ses problèmes sécuritaires, a-t-il poursuivi, sans préciser quand ces entretiens ont eu lieu. Goodluck Jonathan a donné dimanche l'ordre de "tout faire" pour garantir la libération des lycéennes enlevées le 14 avril par les islamistes de Boko Haram. Il a aussi promis que son gouvernement les libérera "sûrement".Attaque la plus choquante
Boko Haram, qui revendique la création d'un État islamique dans le nord du pays le plus peuplé d'Afrique, a déjà pris pour cible des écoles, des églises, des mosquées et des symboles de l'Etat et des forces de l'ordre depuis 2009. Mais cet enlèvement de masse, visant particulièrement des filles, n'a pas de précédent. Il constitue l'attaque la plus choquante depuis l'existence de ce mouvement qui a déjà fait 1 500 morts depuis le début de l'année.Article rédigé par la rédaction web i>TELE
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Le Soudan du Sud sombre dans la violence, mais nous pouvons arrêter ce cycle épouvantable. En touchant les chefs de chaque faction là où ça fait mal – le portefeuille – ils pourraient bien calmer la vague de terreur. L'ONU envisage en ce moment-même des sanctions ainsi qu'une mission de protection. Exhortons-la à empêcher ce qui pourrait devenir un génocide.Des femmes et des enfants arrachés des écoles et des hôpitaux puis massacrés sur le bord de la route, une propagande haineuse envahissant les ondes – le Rwanda il y a 20 ans? Non, cela se passe maintenant au Soudan du Sud, mais nous pouvons l'arrêter.
Deux hommes sont à l'origine des violences: le Président Salva Kiir et son ancien vice-Président Riek Machar. Pris dans une lutte de pouvoir sans merci, ils attisent les tensions entre des groupes ethniques qui ont vécu en paix pendant des décennies. Tous deux ont des biens et de la famille à l'étranger. Si nous touchons Kiir et Machar là où ça fait mal – le portefeuille– nous pouvons empêcher ce cauchemar de devenir un génocide.
Les pourparlers de paix reprennent lentement. Les États-Unis et la France ont appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à imposer des sanctions et à déployer davantage de casques bleus pour protéger les civils. Certes, la Russie pourrait tenter de maintenir le statu quo, mais même la Chine ne veut pas voir ce pays riche en pétrole glisser vers le chaos. Nous pouvons donc réussir – à condition d'agir vite.Soyons un million à exiger des dirigeants-clés qu'ils imposent des sanctions et déploient une mission plus robuste pour protéger le peuple du Soudan du Sud:
https://secure.avaaz.org/fr/ceasefire_in_south_sudan_fr_cp/?bfLYWab&v=39562
C'est tellement triste – et révoltant. Plus d'un million de personnes sur les onze millions d'habitants du Soudan du Sud ont fui leur domicile, des dizaines de milliers sont mortes et le pays est au bord d'une famine généralisée. Pendant ce temps, les délégations des 2 camps ont passé des mois dans des hôtels de luxe en Éthiopie, faisant très peu d'efforts et encore moins de progrès dans les négociations de paix.
Nous pouvons arrêter cette folie. Des sanctions, le gel des avoirs et l'interdiction de voyager, empêcheraient directement Kiir et Machar d'accéder à leurs biens et de rendre visite à leurs proches et amis à l'étranger. Même si nous ne gagnons pas au Conseil de sécurité, des sanctions unilatérales prises par plusieurs pays pourraient avoir un impact conséquent.
Renforcer la force de protection de l'ONU est aussi primordial. L'ONU a pour la première fois ouvert ses propres bases pour héberger 85 000 civils qui fuyaient les massacres. Mais il y a moins de 9000 soldats pour protéger un pays de la taille de la France. Une base des Nations-Unies a déjà été attaquée ouvertement, et le gouvernement menace d'expulser l'ONU hors du pays. Nous avons urgemment besoin d'une mission de protection plus grande et plus forte.
Nous avons échoué à enrayer la spirale de la violence en Syrie il y a trois ans, mais ce conflit est nouveau et il peut encore être contenu.Ne laissons pas tomber le Soudan du Sud. Signez et diffusez largement cet appel:
https://secure.avaaz.org/fr/ceasefire_in_south_sudan_fr_cp/?bfLYWab&v=39562
Le Soudan du Sud est la plus jeune nation du monde, et elle est née de plusieurs décennies de résistance contre la brutalité génocidaire du régime soudanais. Mais comme dans beaucoup d'autres pays qui existent depuis bien plus longtemps que lui, il y a un fossé entre les dirigeants et le peuple. C'est tragique, car les motivations du Président Salva Kiir passaient pour être sincères. Il semble que Kiir et Riek Machar soient maintenant aveuglés par la colère, la peur et la soif de pouvoir. Tenons-nous aux côtés du peuple du Soudan du Sud et aidons-le à réfréner ses dirigeants, afin qu'il retrouve la paix pour laquelle il a tant souffert.
Avec espoir,
Jeremy, Mary, Mathias, Jooyea, Sayeeda, Patri, Luis, Ricken et toute l'équipe d'Avaaz
Pour plus d'informations:
L'ONU promet d'empêcher le Soudan du Sud de devenir "un autre Rwanda" (Jeune Afrique)
http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20140501092610/onu-guerre-civile-riek-machar-navi-pillay-s...
L'ONU inquiète du risque de génocide au Soudan du Sud (Le Monde)
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/04/30/l-onu-inquiete-du-risque-de-genocide-au-soudan-du-sud_4409636_3212.html
Comprendre le Soudan du Sud en une carte (Le Monde)
http://www.lemonde.fr/afrique/visuel_interactif/2014/02/24/comprendre-le-soudan-du-sud-en-une-carte_...
Massacres au Soudan du Sud (Libération)
http://www.liberation.fr/monde/2014/04/25/massacres-au-soudan-du-sud-l-onu-tonne_1004721
Soudan du Sud: des crimes de guerre commis par les deux camps (Human Rights Watch)Soudan du Sud: la spirale des tueries à caractère ethnique (Human Rights Watch, en anglais)Prise de Bentiu au Soudan du Sud : un massacre ethnique selon l’ONU (France 24)
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For a selection of 6 different 8 Hour nature soundscapes simply click on this playlist. http://www.youtube.com/playlist?list=...
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Par roda83 dans Accueil - Yannick Noah - Le même sang - Nous sommes tous frères le 6 Mai 2014 à 13:15
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