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    https://newmanity-prod.s3.amazonaws.com/newsflow/1032/b.jpg

    Il aura fallu 1138 morts pour que les gens s’intéressent aux conditions de travail des ouvriers textiles. Deux ans après la catastrophe du Rana Plaza qu’est-ce qui a changé?

     

    Le 23 avril 2013 à Dacca, 1.138 personnes sont mortes et plus de 2.000 autres ont été blessées dans l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza, qui abritait des ateliers de confection travaillant pour de nombreuses marques européennes, américaines et canadiennes. Mango, Benetton, Primark, El Corte Ingles, Bon Marché, Loblaw, Camaïeu, Auchan, Carrefour,  Zara... D’autres marques, dont les étiquettes ont été retrouvées dans les décombres, nient encore leur implication.

     

    Sur les 30 millions nécessaires à une indemnisation juste et complète des victimes, seuls 21 millions de dollars ont été versés. Depuis le 24 avril 2013, les victimes et leur famille attendent toujours, et n’ont aucune garantie qu’elles toucheront une indemnisation complète, juste et transparente.

    Et maintenant?

     

    Aujourd’hui pour la majorité des ouvriers pratiquement rien n’a changé comme le montrait la critiquable mais édifiante télé-réalité Sweatshop en ce début d’année. Ils travaillent toujours dans des conditions très difficiles et restent sous-payés. En moyenne au Bengladesh un ouvrier textile gagne 63 euro par mois pour plus de 12h par jour, six jours sur sept dans des conditions déplorables (sans compter les heures supplémentaires). Les contrats de travail (lorsqu’il y en a) ne respectent pas la loi, et les salariés sont embauchés ou licenciés en fonction des besoins de production.  Et surtout il est impossible de se syndiquer et les «inspections» organisées sont souvent prévues donc complètement faussées. Cette absence de liberté syndicale et cette hypocrisie des grands groupes rendent impossible toute justice sociale et privent ces ouvriers de leurs droits fondamentaux.

     

    H&M se distingue tout de même avec l’établissement d’un partenariat avec trois usines modèles dont deux au Bengladesh et une au Cambodge. Ils se sont ainsi engagés à acheter 100% de leur production pendant 5 ans en échange de la mise en place d’un nouveau système de rémunération: primes de rendement, instauration d’un dialogue social avec des négociations annuelles, augmentations... Le but est d’appliquer ces nouvelles conditions de travail en 2018 chez 160 de leurs fournisseurs stratégiques qui gèrent 550 usines et 850.000 salariés, ce qui aura donc des conséquences sur les autres marques qui travaillent avec eux. A ce jour, l’expérience a permis une chute des heures supplémentaires de 43%, une baisse de 2% du turn over et une augmentation du salaire net de 10%.

     

    Toutefois ce type d’action est minoritaire (même au regard de la production H&M) et il reste énormément de chemin à parcourir pour espèrer changer définitivement les conditions de travail de ces «esclaves du textile».

     

    Vers une prise de conscience?

     

    Le 31 mars 2015, cependant, malgré les pressions des organisations patronales au nom de la « compétitivité »,  l’Assemblée nationale a adopté en première lecture la proposition de loi relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre. Les grandes entreprises françaises pourront être reconnues légalement responsables des violations de droits humains et des dommages environnementaux que peuvent provoquer leurs activités, ainsi que celles de leurs filiales, sous-traitants et fournisseurs à l’étranger, et auront à en répondre le cas échéant.

     

    Heureusement il existe des associations et mouvement défenseurs des conditions de travail des ouvriers textiles. Si elles se battent depuis  très longtemps, elles sont plus visibles depuis le Rana Plaza.  D’autres se sont créés à cette occasion. C’est le cas du collectif anglais Fashion Revolution qui depuis deux ans commémore ce triste anniversaire à coup d’opérations communication chocs pour pousser les consommateurs à s’interroger sur la provenance de leur vêtement. Cette année le Fashion Revolution Day appelle une nouvelle fois les gens du monde entier à se mobiliser en prenant un selfie avec les hashtag #JeVeuxSavoir #WhoMadeMyClothes, afin d’interroger les marques sur l’histoire et le voyage de nos vêtements pour aller vers plus de transparence.

     

    Vous pouvez toujours participer à cette opération ici!

     

     

    En savoir plus :

     

    -Rana Plaza: H&M s'achète une bonne conscience (Challenges.fr)
     

    -Rana Plaza (Marchemondialedesfemmes.wordpress.org)
     

    -Quel est le problème (Ethique-sur-étiquette.org)
     

    -Fashion Revolution Day (Madmoizelle.com)

     

    Source 

    http://www.newmanity.com/


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  • Classé au Patrimoine mondial de l'Unesco,

     

    le Cirque de Gavarnie est l'arène naturelle la plus célèbre de France.

     

    Tourisme65

     


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  • Des villageois népalais rescapés du séisme s'entassent sous des abris de fortune le 28 avril, à Lapu.

     

    Des villageois népalais rescapés du séisme s'entassent sous des abris de fortune le 28 avril, à Lapu. (Photo Sajjad Hussain. AFP)

     

     

    FOCUS

    La communauté internationale va mobiliser des moyens pour venir en aide aux sinistrés, mais les dons des particuliers sont cruciaux.

     Voir l'article

     

    http://www.liberation.fr/monde/2015/04/28/nepal-l-urgence-des-dons-aux-ong_1273967

     

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    L'aide internationale se mobilise au Népal, touché samedi par un séisme de magnitude 7,8 sur l'échelle de Richter.  Les ONG se mobilisent et appellent aux dons.  Voici les numéros de compte utiles. 

    Séisme au Népal: Caritas International Belgique libère 100.000 euros - Belga

     

    Le Consortium 12-12 lance lundi un appel national à la solidarité pour l'aide aux victimes du séisme au Népal, sous le titre "S.O.S. NEPAL". Cet appel se fait sur le numéro de compte BE19 0000 0000 1212.

     

    Les six organisations humanitaires membres du Consortium 12-12 -Caritas International, Médecins du Monde, Handicap International, Oxfam-Solidarité, Plan Belgique et UNICEF Belgique- vont joidre leurs forces pour "collecter des fonds en limitant les coûts au maximum".

     

    "L'aide d'urgence doit, entre autres, permettre de fournir des abris, de l'eau potable, des soins de santé, des sanitaires, des kits d'hygiène, un soutien psychologique, de la nourriture ainsi que l'accueil des enfants, des écoles d'urgence, des espaces sécurisés, des centres de réadaptation", précise Erik Todts, directeur du Consortium 12-12.

     

    "Les canaux de communication sont détruits ou inexistants. Les organisations de secours ont besoin d'argent pour prendre en charge cette crise de grande envergure. Pour l'achat et l'acheminement de l'aide, dégager les décombres, le renforcement des équipes d'urgences locales et pour aider la population à reprendre son destin en main", ajoute-t-il.

     

    Caritas International

     

    "Caritas International Belgique a décidé de mettre immédiatement 50 000 euros à disposition pour aider Caritas Népal et ses partenaires", indique le directeur général de l'antenne belge, François Cornet.

     

    "Dans une seconde phase, 50 000 euros supplémentaires seront consacrés à la reconstruction, dans le cadre de projets locaux", précise-t-il. L'un des projets gérés par l'ONG se trouve à quelque 35 km de l'épicentre du séisme, entre Katmandou et la ville de Pokhara.

     

    "En temps normal, la région est déjà difficile d'accès. Nous faisons ce que nous pouvons pour contacter nos personnes ressources sur place", ajoute François Cornet. "Les informations font état de dégâts importants, des centaines de morts et autant de blessés. Mais en l'absence de lignes de communication utilisables, il est difficile de procéder à un état des lieux pour l'instant". L'ONG appelle à la générosité des Belges pour soutenir son travail sur place. Les dons peuvent être versés sur le compte BE88 0000 0000 4141, avec la communication "Népal".

     

    Plan International lance aussi un appel aux dons

     

    L'ONG Plan International appelle également à la générosité des Belges. L'équipe de Plan se concentre d'abord sur les premiers secours : eau potable, abri, kits d'hygiène et protection des enfants, mais elle veillera aussi à ce que les élèves puissent continuer à aller à l'école, indique l'ONG.

     

    "Il s'est mis à pleuvoir et la plupart des gens, qui n'ont plus de toit, sont contraints de vivre dans la rue. Les enfants pleurent et sont paniqués", explique le directeur de Plan au Népal, Mattias Bryneson.

     

    Il est possible de faire un don sur le site web de l'ONG ou en versant une contribution sur le numéro de compte BE86 2900 2855 0050 avec la communication "Urgence Népal". Le consortium belge pour les situations d'urgence, duquel Plan International fait partie, envisage par ailleurs une action commune en vue d'aider les victimes du séisme.

     

    Médecins du Monde envoie 15 tonnes de matériel

     

    Médecins du Monde va envoyer une équipe d'urgence de 12 personnes. L'ONG international va également envoyer 15 à 20 tonnes de matériel (kits d'opération, kits de catastrophes naturelles) pour aider la population népalaise, indique Médecins du Monde.

     

    L'équipe d'urgence est composée de collaborateurs médicaux (chirurgiens, anesthésistes et infirmières) et logistiques. Médecins du Monde travaille en collaboration avec Solidarités International.

     

    "Les informations que nous recevons font état d'un haut niveau de destruction", explique Gilbert Potier, directeur des opérations internationales. "Tout se joue dans les heures à venir, les hôpitaux sont débordés, nous devons agir vite." Médecins sans Frontières a pour sa part envoyé huit équipes et du matériel. Une équipe chirurgicale de quatre personnes est partie cet après-midi de Bruxelles. Les autres équipes viennent du Japon et d'Inde.

     

    MSF appelle aux dons

    MSF agit sur plusieurs fronts. Une équipe d'une dizaine de personnes s'est envolée dès hier/dimanche de Bruxelles, précise Raphaël Piret, porte-parole. Elle est, entre-autres, composée d'un chirurgien, d'un anesthésiste, d'infirmiers et devrait arriver dans les prochaines heures à Katmandou, la capitale du Népal.

     

    Des camions chargés de 30 tonnes de matériel d'urgence varié (médicaments, matériel chirurgical, produits d'assainissement de l'eau, télécom ou logistique) ont quitté lundi le centre d'approvisionnement humanitaire de Neder-over-Hembeek pour Ostende. Ce matériel partira en début d'après-midi pour le Népal où il est attendu une vingtaine d'heures plus tard.

     

    Les défis sur place sont importants, rappelle Raphaël Piret. Cela va de la prise en charge des blessés à l'aide aux sinistrés et aux sans-abri, à qui les équipes de MSF fournissent des tentes, de la nourriture, du savon et autre matériel de première nécessité. Mais il faut également répondre aux besoins des hôpitaux locaux, qui sont importants vu l'ampleur de la catastrophe. Un appel aux dons est lancé via le site www.msf-azg.be.

     

    La Croix-Rouge et Handicap International sur le pont

     

    La Croix-Rouge est également active sur place. La fédération internationale a envoyé des équipes. Des renforts belges sont prêts en cas de besoin mais n'ont, pour le moment, pas encore été sollicités, précise Nancy Ferroni, du service de presse de la Croix-Rouge de Belgique. "Le centre logistique de Katmandou est évidement à pied d'oeuvre", poursuit Nancy Ferroni. "Et des avions cargo des centres de Dubaï et de Kuala Lumpur sont prêts à venir ravitailler en stock de matériel les zones touchées. L'aile néerlandophone de la Croix-Rouge est très active depuis de nombreuses années dans cette région. Son savoir-faire est important et précieux. Pour le reste, en Belgique, nous avons lancé un appel au dons (compte BE72 000-0000016-16) et le fruit de l'action de récolte de dons qui se tiendra mercredi à la Bourse de Bruxelles dans le cadre de la 'Quinzaine de la Croix-Rouge' sera versé en faveur du Népal".

     

    Une première équipe d'urgence -dont une kinésithérapeute belge- d'Handicap International devait arriver au Népal ce lundi en fin de matinée, indique l'ONG, et y renforcer la cinquantaine de membres déjà actifs sur place. Dans les heures qui ont suivi le séisme, l'équipe a participé à l'accueil des blessés et distribué des chaises roulantes dans les deux principaux hôpitaux de la capitale, précise Handicap International. Le prochain départ d'autres équipes est prévu dès ce lundi, puis mercredi.

     

    Un deuxième volet d'action de cette ONG consiste en l'ouverture de points "DVFP" (Disability and Vulnerability Focal Point) fixes dans les hôpitaux, et mobiles, dans les lieux de regroupement des victimes et dans les zones reculées fort affectées par le séisme. Ces points sont destinés à l'accueil, l'aide médicale, au soutien et à l'orientation des personnes les plus vulnérables. Handicap International appelle également aux dons via son site www.handicapinternational.be ou via le numéro de compte BE80 0000 0000 7777.

     

    Du côté d'Oxfam-Solidarité, on en appelle aussi au soutien des citoyens belges via www.oxfamsol.be ou le compte BE37 0000 0000 2828. La priorité, selon l'organisation, va à l'approvisionnement en eau potable et en équipements sanitaires des milliers de personnes affectées.

    Belga

     

    À lire aussi

     

     

    Source

    http://www.huffingtonpost.fr/

     

     

    Urgence Népal

    Plateformes sécurisées

    https://soutenir.msf.fr/b/mon-don?gclid=CMWbxqqmm8UCFTQatAodLgoAxA

     

    Sur FB

    https://www.facebook.com/nepalearthquakesupport

     

     


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  • Société - L'événement

    Une femme dépose un bulletin dans l'urne à Marseille (sud) - Boris Horvat - AFP Une femme dépose un bulletin dans l'urne à Marseille (sud) Boris Horvat  /  AFP

     

    Le 29 avril 1945, les Françaises avaient pour la première fois le droit de voter. L'Hexagone était un peu en retard par rapport aux autres pays d'Europe. Aujourd'hui, soixante-dix ans plus tard, la parité a toujours du mal à s'imposer en politique…

     

    Il a fallu un siècle en France pour que le suffrage universel, promulgué en 1848, le devienne vraiment, en s'appliquant aussi aux femmes. Dès 1868, dans l'Opinion nationale, elles réclamaient de pouvoir, elles aussi, participer aux votes. En 1908, une première manifestation à Paris réclame le droit de vote pour les femmes. Une manifestation rassemblera 6 000 femmes le 5 juillet 1914. Les députés français tenteront d'accorder ce droit dans les années 30. Mais rien n'aboutira…

     

    Pendant ce temps, les autres pays européens se montrent plus ouverts. Et en 1934, la Turquie instaure le vote de femmes, donnant ainsi aux pays occidentaux retardataires, une leçon de modernité !

     

    Le vote des femmes deviendra une évidence pendant la guerre. Beaucoup d'entre elles sont des résistantes actives. Il devient impensable qu'elles soient encore écartées d'un des gestes les plus élémentaires de la démocratie. Lucie Aubrac est nommée membre de l'assemblée consultative provisoire. Et le Général de Gaulle lui-même s'y déclare favorable. C'est d'ailleurs lui qui signe le 21 avril 1944, l'ordonnance portant organisation des pouvoirs publics en France après la Libération. L'article 17 dispose que «les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes».

     

    Le 29 avril 1945, donc, pour ces premières élections municipales de l'après-guerre, le suffrage est réellement universel et forcément historique. Douze millions de femmes vont pour la première fois, pouvoir passer dans l'isoloir, et glisser ensuite l'enveloppe de leur scrutin dans l'urne. Sacré symbole !

    L'événement est vécu comme tel. Les actualités de l'époque témoignent de l'enthousiasme des femmes. Celles-ci remplissent leur devoir électoral sans se faire prier.

     

    Elles voteront de nouveau en octobre pour les élections à l'Assemblée constituante. Trente-trois d'entre elles seront élues sur un total de 586 députés. Il s'agissait en 1945 d'un scrutin de liste à la représentation proportionnelle.

     

    Mais ce n'est que le début d'un long chemin. Car si les femmes sont depuis 1944 électrices et éligibles… elles ont bien du mal à devenir des élues. Ainsi, en 1993, elles ne sont ainsi que 5,7 % à siéger au Parlement. Un demi-siècle après l'accès au vote, on a l'impression que les choses ont bien du mal à évoluer. C'est pourquoi le législateur a voulu inverser la vapeur en instituant la parité, et en l'inscrivant dans la Constitution. En 2000, une première loi contraint les partis politiques à présenter un nombre égal de femmes et d'hommes lors des scrutins de liste.

     

    Malgré tout, aujourd'hui, l'Assemblée nationale compte 155 députées sur un nombre total de 577 élus, soit 27 % seulement de l'hémicycle. En 2014, le Sénat accueille 88 sénatrices sur un total de 346 sénateurs, soit 25,4 %. Soixante-dix ans après un vote ô combien symbolique, les femmes ont encore leur place à prendre dans la vie publique.


    L'Australie en premier !

    C'est en Australie, en 1901, que les femmes ont pu, pour la première fois, voter. Il y avait eu quelques précédents dans certains territoires comme l'Utah en 1850, ou… la république corse de Paoli ! (1755-1769). En 1906, c'est le tour de la Finlande, et en 1918, la Russie, le Royaume-Uni, l'Allemagne, puis en 1919, les États-Unis, les Pays-Bas, la Belgique…

     

    A noter qu'en l'occurrence, la France sera très en retard par rapport à la Mongolie (1924), l'Inde (1926), l'Uruguay, (1927), l'Afrique du Sud (1930), la Thaïlande (1932), la Birmanie en 1935 !

    Après nous, signalons donc l'Italie et le Japon en 1945, et en 1946, l'Espagne… pour les femmes mariées !

    En 1957, c'est la Tunisie qui devient le premier pays arabo-musulman à offrir un bulletin aux femmes.

    Dernier pays à reconnaître ce droit : l'Arabie saoudite en… 2012 !

    La Dépêche du Midi

     

    http://www.ladepeche.fr/

     

    Voir également

    VIDÉOS. Le premier vote des femmes françaises, c'était il y a 70 ans lors d'élections municipales

     

     

    http://www.huffingtonpost.fr/2015/04/29/videos-premier-vote-femmes-francaises_n_7160908.html#

     


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    http://leblogduneprovinciale.com/accepter-de-vieillir/

     

    Aujourd’hui je réalise que la vie, c’est ce que je vis là, à la seconde, et ce que j’ai construit.

     

    Alors en avant ... pps

     

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    on peut aussi seulement le regarder

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    Sur ma planète

     

    http://ma-planete.com/

     


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