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  •  “Tant pis pour les chutes, même si ça fait mal !


    En 1971, un collégien courait 600 mètres en 3 minutes, aujourd'hui pour cette même distance, il lui en faut 4 !”

     
     
     

    Quand ils jouent, quand ils courent, quand ils font du vélo, de l'escalade, du foot ou du skate les enfants peuvent se faire mal. Mais savez-vous que ce n'est pas là qu'ils prennent le plus de risques ? #LaissezLesTomber
     

    Pour en savoir plus : bit.ly/laissezlestomber

     

     Nos enfants ne se dépensent pas assez : en France, moins de 50% des enfants respectent les 60 minutes d’activité physique recommandées par l’OMS.

    Cette tendance peut entraîner une baisse des performances cardio-respiratoires, un risque d’obésité et donc, des déficiences cardio-vasculaires à l’âge adulte.

    Laissez jouer vos enfants dehors, laissez les bouger, laissez les tomber, quelques bleus et bosses sont bien peu face aux risques liés de la sédentarité.

    C’est pour cette raison qu’à l’occasion des Parcours du Cœur, la Fédération Française de Cardiologie tire la sonnette d’alarme. Agissez avec nous pour la santé future de vos enfants :

    Objectif : 100 mécènes pour les enfants.

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  • Afficher l'image d'origine

    Le naufrage du Titanic a mis fin à la traversée inaugurale du RMS Titanic, un paquebot qui devait relier Southampton à New York. Il se déroule dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 dans l'océan Atlantique Nord au large de Terre-Neuve.

     

    Le navire heurte un iceberg sur tribord avant le dimanche 14 avril 1912 à 23 h 40 et coule en moins de trois heures, à 2 h 20. Entre 1 490 et 1 520 personnes périssent, ce qui fait de ce naufrage l'une des plus grandes catastrophes maritimes en temps de paix et la plus meurtrière pour l'époque. De nombreuses personnalités décèdent durant le naufrage, parmi lesquelles Benjamin Guggenheim et John Jacob Astor.

     

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Naufrage_du_Titanic

     

     

     

     

    John Jacob Astor IV un des hommes les plus riche des Etats-Unis et le  passager le plus fortuné du bateau… Le roi de l’immobilier revenait d’une lune de miel en Egypte avec Madeleine, sa toute nouvelle épouse. Il venait de terminer la rédaction d’un roman d’anticipation. Il avait des projets plein la tête…

     

     

     

    La famille Goodwin fait partie de ce million de personnes qui, en 1912, avaient embarqué vers l’Amérique pour refaire leur vie. En troisième classe, avec leurs six enfants, ils ne pouvaient même pas espérer atteindre les canaux de sauvetage.

     

    par alxka

     

    Michel Navratil, rêvait de faire fortune Outre Atlantique. Modeste tailleur originaire des Balkans, il voulait devenir l’égal des grands couturiers et vendre ses créations dans les magasins les plus luxueux de Manhattan.

     

     

     

    Il voyageait avec ses deux jeunes fils et périt dans le naufrage. Ses enfants furent sauvés de justesse et devinrent, pour les journaux du monde entier, les « Orphelins du Titanic ».

     

     

     

    par alxka


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    Ce film montre que nous ne devons rien attendre des autorités sanitaires. Depuis 50 ans, elles ont été complices des industriels de la chimie et des pesticides.

    « Mon travail, il fait mourir les gens »…

    À votre avis, qui a prononcé cette phrase terrible ?

    Un monstre froid, un tueur sans scrupule, un voyou cynique et sans émotion ?

    La réponse est dans le film ci-dessous.

    Prenez un instant pour le regarder, il ne dure que 1 minute et 55 secondes. Ce que vous allez y voir risque de vous choquer, mais c’est la stricte vérité.

     

     

    Ce film montre que nous ne devons rien attendre des autorités sanitaires. Depuis 50 ans, elles ont été complices des industriels de la chimie et des pesticides.

    Aujourd’hui, nous, anonymes, citoyens ordinaires et de bonne volonté, avons le devoir d’agir par nous-même, et de faire enfin bouger les lignes.

    C’est pourquoi, si vous ne l’avez pas encore fait, je vous demande de signer notre grande pétition nationale

    « Non au sabotage chimique de nos vies» !

    En agissant ainsi, nous pourrons éviter la catastrophe annoncée et reprendre le contrôle de nos vies, de notre santé.

    Gabriel Combris


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  • Loin de sa légende réductrice, "Van Gogh, autoportrait" nous présente un artiste complexe, cultivé et intelligent, dont la seule folie fut d’avoir aimé trop passionnément son travail et l’humanité.

     

    1888, autoportrait de Vincent Van Gogh1888, autoportrait de Vincent Van Gogh Crédits : DEA PICTURE LIBRARY - Getty

     

    Textes tirés de la correspondance de Vincent van Gogh et de Van Gogh le suicidé de la société (paru chez Gallimard) d’Antonin Artaud

    Réalisation radiophonique : Étienne Valles

     

     « Que la vie un jour devienne aussi belle que dans une simple toile de Van Gogh et pour moi ce sera assez », écrivait Antonin Artaud en 1949.

     

    Il importe donc que le pauvre Vincent, armé et de fièvre et de bonne santé nous revienne (sous le regard implacable et amicalement complice de François Chattot), pour jeter en l’air la poussière d’un monde en cage que son cœur ne pouvait plus supporter.

    Sa soif d’absolu et une logique implacable, qui l’amena au suicide, valent trop souvent à Van Gogh d’être décrit comme un fou génial, guidé d’ailleurs et dépassé par ses chefs-d’œuvre. Or à lire l’importante correspondance qu’il adressa quotidiennement à ses amis, à sa famille et surtout à son frère Théo, on découvre un homme cultivé. Il parlait parfaitement quatre langues, jouait très agréablement du piano et sa culture littéraire et picturale était immense. Si la médiocrité de ses contemporains, son hypersensibilité, aggravée par la syphilis (jusqu’à l’épilepsie), et son penchant intermittent pour l’absinthe le rendaient parfois difficile à supporter comme voisin, ami ou frère, tous ses correspondants ont préservé ses lettres comme autant de reliques.

     Vincent y témoigne d’une droiture d’esprit indéniable et d’une exigence de tous les instants. Il livre, dans un langage simple, concret, artisanal, ses objectifs, sa recherche laborieuse, scientifique et sa démarche obstinée, étayée par la parfaite connaissance de ses maîtres : Rembrandt, Delacroix, l’art japonais...

     Et cet homme, épris de justice sociale, cherche inlassablement une expression universelle qui puisse atteindre tous les individus, du petit Français au seigneur de la brousse, du confrère au simple “coco”.

     « J’ai une fièvre de travail continuelle et j’en jouis comme une cigale. On remplit sa toile à la diable. Alors pourtant on attrape le vrai et l’essentiel et le spectateur en est parfois stupéfait et même enthousiaste.» écrit Van Gogh, tandis qu’Artaud proclame que le Théâtre est la genèse de la création, « un théâtre qui à chaque représentation aura fait gagner corporellement quelque chose aussi bien à celui qui joue qu’à celui qui vient voir jouer. »

     

    C’est sous l’égide de ces deux “voyants” que l’acteur se coltine avec le Suicidé de la société.

    Une légende putassière le décrit comme un pauvre peintre, alcoolique, fou et maudit, qui maintenant vaut si cher… En évitant les clichés obscènes et ces idées complaisamment reçues, en s’immergeant dans son œuvre, (sa peinture, ses dessins et toute sa correspondance), il apparaît clairement, comme disait Artaud, qu’on peut parler de sa bonne santé mentale

     

    Cet immense peintre disait : il n'est rien de plus réellement artistique que d'aimer les gens. Oui, il s’agit, avant tout, de travail et d’amour. C’est en travaillant que l’on se rencontre, ça c’est la meilleure manière. Et il n’est pas proposé à l'auditeur de Van Gogh, Autoportrait d’être voyeur ou consommateur de performance, mais réellement partenaire, d'être un nouveau Théo : le frère, le soutien indispensable, le financier, l’interlocuteur privilégié, le complice…

     Jean O'Cottrell

    Avec:

     

    Jean O'Cottrell (Vincent Van Gogh)

     

    Martin Amic (un journaliste)

     

    Musique : Jean-Marie Sénia

     

    Compagnon artistique : François Chattot

     

    Bruitage : Elodie Fiat

     

    Prise de son et mixage : Manu Couturier

     

    Assistance technique et montage: Nicolas Slimani

     

    Assistant à la réalisation: Félix Levacher

     

    Suivi de la rediffusion (1995) de passages choisis d’un Atelier de Création Radiophonique (édité chez André Dimanche) avec la voix d’Antonin Artaud.

     

    Van Gogh le suicidé de la société

    Van Gogh le suicidé de la société Gallimard, 2001  

     


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