•  Playlist

     

     music: ERNESTO CORTAZAR - Eagle's flight
    Faces of Nature album

    http://www.ernestocortazar.net

     

    Survoler la vie,

    comme l'aigle survole les nuages.

    Voler avec le vent, et non à contre courant.


    votre commentaire
  •  Votre WebRadio fait peau neuve en 2017 ...

    C'est VOTRE RADIO ! EXPRIMEZ-VOUS !

     

    Oratorio Magi Radio



     

    Écouter : http://oratoriomagi.radio.fr/
     

    Écrire : contact@oratorio-magi-radio.fr
     

    Téléphoner en LIVE : 09 72 37 77 82 (21/23 h)
     

    Le site : http://oratorio-magi-radio.fr
     

    Face Book : https://www.facebook.com/oratorio.mag...

    Les programmes :

    Autour du Feu
    Mardi - Jeudi
    21 H 00

    Autour du Feu
    Spécial invité
    Ponctuellement en semaine
    21 H 00

    Concerts & Full Album
    Lundi - Mercredi - Vendredi
    21 H 00

    Robigalia
    Le premier & troisième dimanche
    21 H 00 / 23 H 00

    Rue du Prog
    Le second & quatrième dimanche
    21 H 00

    Les Soirées Païennes
    Les soirs de célébrations païennes
    à partir de 21 H 30

    Les Documentaires
    Les jours de semaine
    10 H 00

     

    https://le-phenix.jimdo.com/les-podcasts/


    votre commentaire
  • À l'attention : du Ministère de l'écologie

     

    Ministère de l’écologie

    Pas de nouveau delphinarium en France !

     

    Madame, Monsieur,

     

    L’année 2015 a été particulièrement meurtrière pour les cétacés captifs en France :

    6 décès à des âges très précoces (2 orques et 2 dauphins au parc Marineland d’Antibes, ainsi que deux delphineaux, l’un au Parc Astérix, l’autre au parc Planète Sauvage).

    Ce nombre de décès en un temps aussi restreint ne serait acceptable dans aucune autre population…

     

    Cela fait un pourcentage effrayant … Au 21ème siècle ce n’est plus tolérable !

    Aujourd'hui, les connaissances scientifiques nous permettent d’affirmer que les cétacés sont des êtres intelligents, conscients d’eux-mêmes et vivant au sein de structures sociales et familiales très évoluées. Aussi il est de plus en plus évident que ces mammifères souffrent d’importants problèmes de santé et de bien-être en captivité. En effet, il est impossible de reconstituer en bassin leur environnement naturel et de respecter leurs besoins physiologiques, psychiques et sociaux (comme l'impose pourtant la réglementation française).

     

    Les captures en milieu naturel mettent en péril la survie des populations sauvages qui risquent de ne plus être assez nombreuses pour se reconstituer.

    De plus, aucun delphinarium n’a jamais permis la réhabilitation de dauphins dans la nature ce qui tend à prouver qu’ils ne jouent aucun rôle dans la préservation de ces espèces.

    Plusieurs pays, dont certains européens comme la Hongrie, le Royaume-Uni, le Luxembourg, la Pologne et bien d'autres ont déjà interdit les delphinariums sur leur territoire. L’Inde a même officiellement reconnu aux cétacés le statut de personnes non-humaines.

     

    Les mentalités évoluent et nous ne devons plus mentir aux enfants en leur faisant croire que le dauphin, parce qu’il a toujours l’air de sourire, est heureux de faire le clown pour obtenir sa ration de poisson….

     

    Pour toutes ces raisons, nous vous demandons fermement, Madame, Monsieur, de prendre les mesures nécessaires pour interdire l’ouverture de nouveaux delphinariums en France, de mettre un terme à la reproduction et à l’importation de nouveaux cétacés sur le territoire français, de fermer les delphinariums à moyen terme et de permettre la réhabilitation des cétacés captifs dans des baies marines adaptées.

     

    En vous remerciant à l’avance de l’attention bienveillante que vous voudrez bien porter à cette pétition, nous vous prions, Madame, Monsieur, d’agréer l’expression de nos sentiments respectueux et confiants.

     

    J'ai signé, et vous ?

     

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/nouveau-delphinarium-france/18283

     


    votre commentaire
  • Jackie Berroyer, le "bafouilleur de tout terrain", publie ses chroniques musicales augmentées -parues dans feu la revue musicale suisse "Vibrations"-, dans un ouvrage érudit et drôle qui offre au lecteur ses sensations éprouvées au fil de la vie par le prisme de la musique.

    Les Beatles en 1964Les Beatles en 1964 Crédits : AFP

    Aujourd'hui, dans Paso Doble :

    Jackie Berroyer, scénariste, acteur et écrivain, pour Parlons peu, parlons de moi, Ne dites à personne que j’en parle à tout le monde, aux éditions le dilettante.

    Le rock, avant qu’arrive la grande révolution, les Beatles et tous ces trucs-là, c’était un petit truc de prolo, les gens qui étaient de la bourgeoisie, les jeunes étudiants, ils méprisaient ça.

     

    Dans les années 60, ça a commencé petit à petit à être pris au sérieux, une littérature autour de ça est apparue, de très bons auteurs ont alors fait de la rock critique, comme Philippe Garnier.

    Résumé de l'éditeur

    Au français, il manque un mot, un verbe pour être exact : « se berroyer », « je me berroie, tu te berroies, etc. » Sens : parler de soi avec une tendresse rosse, un cynisme feint, sans narcissisme excessif et avec un goût certain pour l’autoportrait bichonné.

    Origine du mot : l’écrivain, acteur et journaliste français Jackie Berroyer né à Reims en 1946. Soi est un sujet que Jackie Berroyer connaît comme sa poche. Il nous parle de lui comme un instituteur de son cancre préféré, impitoyable et émotif, la taloche caressante, précis et attentif. Parlons peu, parlons de moi, son deuxième livre au Dilettante, regroupe les chroniques données principalement à la revue suisse Vibrations (LA revue suisse sur la musique dans tous ses états), chroniques qu’il assortit d’exégèses attendries et distanciées.

    Comme dans ses proses il parle souvent de lui, j’entends déjà les commentaires : ah oui, du tout-à-l’ego sans passer par la case filtrage, irrespirable.

    Eh bien, non, car Berroyer berroie. D’abord, il nous parle des autres avec des larmes dans la plume ou des sourires plein la phrase : de Miles Davis souvent, sinon un peu de Miles Davis, parfois de Miles Davis, mais la plupart du temps des jazzmen et des soulwomen (dont la femme de Miles Davis), de Grant Green et de mille milliards d’autres musicos, de ses girlfriends passées, présentes et à venir, des potes de toujours et d’Emmanuel Lévinas et de Rory Gallagher, cite Corbière et Michel Serrault.

    Bref, « berroyer », c’est parler de soi pour mieux aimer les autres, s’aimer soi pour mieux parler des autres. Le genre de livre bouée qu’on rouvre à chaque tangage, au moindre coup de bleu. Vive les berroyeurs !

    J’ai toujours fonctionné comme le mauvais élève qui est en retard et qui dirait « il faut que je me mette à ma chronique », je manque un peu de rigueur, on pourrait même aller jusqu’à dire de dignité parfois, quand il fallait aller porter, à l’époque, le papier qu’on avait écrit au journal –je le relisais dans le métro et je voyais des fautes de goût... « ah, j’ai pas de stylo, bon bah tant pis c’est pas grave », je n’avais même pas cette appréhension. Je l’aurais davantage aujourd’hui, je n’ai pas envie que des gens qui m’estiment soient déçus par trop de laisser-aller.

    Intervenants


    2 commentaires
  •  

    Web TV : Meilleures musiques et chansons

     

    Mix

    https://www.youtube.com/watch?v=wRrKNk2Uncc&list=PLyRHVzBjL2JVkK2z8L0UcI_omaYH1Sars&index=2

     


    votre commentaire