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Comparable aux essaims d'insectes ou au groupes de poissons se déplaçant comme une seule entité vivante, le "murmure" des oiseaux ("murmuration" en anglais) est un phénomène naturel rare et magnifique ! ... Cela consiste en des centaines de petits oiseaux volant comme une masse unique dotée de conscience.
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Composer: Gnomusy (David Caballero) http://www.gnomusy.com/
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Thank you all for viewing and comments! All the best!
http://www.youtube.com/user/bluesensa...
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Le village des Vieux Métiers d’Azannes Au Village des Vieux Métiers d'Azannes, 80 métiers du XIXème siècle reprennent vie avec 400 artisans bénévoles dans la pure tradition Lorraine. 5 jours de fête en Mai et Juin pour revivre les Vieux Métiers à Azannes en Meuse
Depuis 29 ans, les quelques 400 bénévoles de tout âge s'engagent à sauvegarder le patrimoine architectural lorrain à travers le Village des Vieux Métiers d'Azannes, recréant un village témoin avec pas moins de 80 métiers et présentant un grand nombre de nouveautés tous les ans.
Un village des vieux métiers en perpétuelle évolution est crée pour vous faire revivre la vie de vos parents, grands-parents... Renseignements et contacts Tel: 03.29.85.60.62 PPS de www.vieuxmetiers.com mis en vidéo par Jean Marc Coquelle
Vous l'aurez deviné, je suis effectivement trés intéressée par le patrimoine, par notre histoire, ainsi que par les gestes de nos ancêtres. Pour que l'on sache d'où nous venons, il est important de transmettre ces savoir-faire.
Merci donc aux bénévoles de prendre le temps de recréer ces ambiances, d'expliquer aux visiteurs le sens de vos gestes. Merci les charbonniers. www.isabellelefort.fr
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Les Enfantastiques chantent « ET J’AI MAL A LA TERRE »
chanson écrite d’après le roman « Céleste , ma planète » de Timothée de Fombelle.
Cette chanson est extraite de l'album « Tu fais de moi...», volume 10 de la chorale « Les Enfantastiques » :
16 chansons sur les thèmes de l'écocitoyenneté, du développement durable, de la biodiversité.
Les chansons ont été écrites par Monsieur Nô dans le cadre de « Chansons en création » avec des classes d'écoles élémentaires. Elles sont interprétées par des Enfantastiques du Finistère.
► Pour découvrir et commander les albums : http://lesenfantastiques.fr/
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SOLIDARITE - Les bénévoles et parrains de l’association Toit à Moi achètent des appartements pour donner un toit à ceux qui n’en ont pas. Comme François, vagabond dans l’âme et locataire modèle depuis quatre mois…
- L’association Toit à Moi achète des appartements pour y loger des sans-abri
- Grâce à ses parrains et à ses bénévoles, l’antenne toulousaine s’apprête à faire sa quatrième acquisition en deux ans.
- L’idée est de faire de ses protégés des locataires plutôt que des hébergés.
- Comme François, 46 as dont 20 à la rue, en fait l’expérience depuis quatre mois.
Ils sont chef d’entreprise, ingénieur, retraité et ont acheté quatre appartements en l’espace de deux ans dans la Ville rose. Spéculation immobilière de groupe ? Loin de là. Les bénévoles de l’association Toit à Moi, créée à Nantes il y a dix ans, offrent un toit à ceux qui n’en ont pas. Ils font dans la solidarité en circuit court, préférant transformer directement les SDF en locataires, moyennant un tout petit loyer, plutôt que de les héberger d’une adresse provisoire à une autre.
Vie monacale
François* P., 46 ans, fait partie de ceux dont la volonté de rebondir a attiré l’attention de l’association. Celui qui se définit lui-même comme « un vagabond » a posé son sac à dos et sa guitare au mois de décembre dans un appartement du quartier d'Empalo.
Il y mène depuis une vie monacale : un canapé, une table basse vide, un minimum de vaisselle pour s’astreindre à la laver, pas de télé, juste un poste radio pour la musique. Le locataire résiste aux sirènes d’une vie normale. Par peur de s’habituer et aussi parce qu’il n’aime pas les carcans. La journée, il joue de la musique et « marche, marche du côté du Canal du Midi ». Il gamberge, s’ennuie même, maintenant qu’il n’a plus à se préoccuper de comment manger et où dormir.
Une occasion de se retaper
« La liberté absolue, c’est dehors », reconnaît-il. D’ailleurs, « s’il n’y avait pas d’hiver en France », il se serait déjà envolé. D’un autre côté, il est « usé », il vieillit et sait qu’il est temps de se poser. Bref, « je cherche ma place et si j’en ai une », résume-t-il.
Et Toit à Moi lui donne le luxe d’avoir le temps de peser le pour et le contre. François a passé un « contrat d’accompagnement » avec l’association. Mais personne ne l’appelle pour savoir s’il s’est inscrit à Pôle emploi. En revanche, pour un repas en famille, une sortie en rando, un concert, s’il est partant, les bénévoles aussi. « Il doit se retaper, se requinquer, on peut se reconstruire en dehors des schémas habituels », souligne Richard Bastien, le responsable de l’antenne toulousaine.
Pour l’instant, aussi bizarre que ça puisse paraître, le principal problème de François, c’est d’avoir un toit sur la tête. Chaque chose en son temps.
* Le prénom a été changé
USA : de plus en plus de SDF vivent dans leur voiture
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