• Bretagne : disparition inquiétante d'une adolescente de 14 ans

     

    Image MSN

    Si vous disposez de renseignements, vous pouvez contacter la brigade de gendarmerie d'Etel au 02.97.55.32.11.

    La compagnie de gendarmerie de Lorient a lancé un appel à témoin concernant la disparition d'une adolescente de 14 ans, Maria Delval, qui a quitté le domicile familial à Belz le mercredi 14 mai dernier au matin.

    La jeune fille mesure 1,57 m et pèse 49 kg. Elle a des cheveux châtain clair et longs jusque dans le dos ainsi que des yeux marron. Son teint est mat. Elle peut être porteuse de lunettes de vue à monture noire.

    Le jour de sa disparition, elle était habillée en noir et portait deux sacs à dos (un sac à dos de couleur bleu de marque Longchamp et un sac à dos de couleur noire)

    http://www.lefigaro.fr/


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  • TAFTA

      

    TAFTA : une bonne raison d’aller voter le 25 mai !

    Derrière le projet d’accord commercial entre l’Union européenne et les États-Unis se profilent de nombreuses menaces dans les domaines de la santé, de l’accès aux médicaments, de l’énergie ou de la sécurité alimentaire. Depuis les années 2000, tous les lobbies sont favorables à la création d’un gigantesque marché transatlantique visant près de 800 millions de consommateurs. Ils peuvent être contents : la Commission européenne leur a donné raison, elle le négocie au nom des 28 États.

    L’objectif est clair : « Les multinationales veulent obtenir le monopole de la fixation des normes sociales, sanitaires, alimentaires, environnementales et culturelles. » Ces multinationales ont donc pour but de remplacer les États, avec l’aide de la Commission européenne et des Américains. Quand on prend connaissance de ce qui se prépare, cela fait froid dans le dos.

    Si nous n’avions qu’une raison d’aller voter le 25 mai, ce devrait être celle-là : empêcher la signature de ce traité ! Sans un vote massif d’opposition, il sera rapidement mis en place après les élections, tout est prêt pour cela. Il est évident que tous les défenseurs de l’Europe actuelle vont user des arguments les plus malhonnêtes pour vous expliquer qu’il n’en est rien, que ce traité est la clef de la fin de la crise, que les Européens (et les Français) ne craignent rien.

    Voilà ce qu’il en est réellement : le but de ce « TAFTA » (c’est ainsi qu’on le nomme en anglais) est de mettre en place une concurrence débridée et de niveler par le bas les règles sociales, économiques, sanitaires, culturelles et environnementales, tant en Europe qu’aux États-Unis. L’invasion des produits agricoles américains, avec OGM, poulets aux antibiotiques ou au chlore, et tous ces produits interdits du fait de nos normes sanitaires seront donc dans nos assiettes d’ici un an ou deux. L’industrie américaine, par exemple, se bat pour avoir le droit d’introduire en Europe un activateur de croissance (la ractopamine) utilisé dans les élevages de bovins américains, laquelle substance est actuellement interdite sur le Vieux Continent. Toutes les avancées obtenues par nos différents pays pour supprimer les substances cancérigènes comme le bisphénol des biberons ou les autres substances des contenants en plastique nous reviendront par les États-Unis…

    Ces quelques exemples ne sont qu’une toute petite partie des problèmes que pose ce traité transatlantique. Il est à se demander, tant ce pacte remet en cause la souveraineté des États, si ceux qui lui donnent le feu vert l’ont vraiment lu. Il est même remarquable que les socialistes, qui défendent avec tant de vigueur « l’exception culturelle française », n’attachent pas la même importance au sanitaire, à l’alimentaire ou à l’environnement. C’est une véritable résistance qui commence à s’organiser contre ce traité, et certains départements se sont déjà décrétés « zone hors TAFTA ».

    Vous avez compris : même si la tentation de l’abstention vous guette ce 25 mai, pensez TAFTA et allez déposer votre bulletin dans l’urne

      

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    Source :  

    http://www.bvoltaire.fr/

     


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  •  

    Journée Internationale de l'infirmière
     

    La Journée internationale de l'infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

    C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l'art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d'infirmiers et d'infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

     

    Qui est Florence Nightingale ?

    Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l'infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l'importance d'une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu' "une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d'études, d'enseignement, d'entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients.

    Objectif

    Durant la Journée internationale de l’infirmière, la FSSS-CSN (Fédération de la santé et des services sociaux de la Confédération des syndicats nationaux), qui représente près de 100 000 syndiqué(es) du réseau de la santé et des services sociaux, souhaite qu’une meilleure organisation du travail dans les soins infirmiers diminue les surcharges de travail et les burn-out dont sont victimes, entre autres, les infirmières. Ces femmes représentent plus du tiers de la main-d’œuvre du réseau de la santé et travaillent dans des conditions difficiles en raison de la pénurie de main-d’œuvre.

      

    Un site à visiter : www.infirmiers.com

     

    Source

     

    http://www.journee-mondiale.com/

     

     

    Carte virtuelle :

     

    http://www.cybercartes.com/apercu/21241/cc/journee-internationale

     


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  • Un insurgé pro-russe à Slaviansk, dans l'est de l'Ukraine, le 7 mai 2014

     AFP

    La consultation annoncée pour dimanche dans l'Est sur une "déclaration d'indépendance" de la république autoproclamée de Donetsk aura bien lieu "le 11 mai", ont annoncé des responsables simultanément à Donetsk et Slaviansk.

    Ukraine: les insurgés remercient Poutine mais maintiennent le référendum.

    "La date du référendum ne sera pas reportée", a insisté Denis Pouchiline, chef indépendantiste de la république autoproclamée, tout en déclarant "remercier" M. Poutine, "quelqu'un qui se préoccupe des gens du sud-est de l'Ukraine".

    "Le désir du peuple de tenir le référendum se renforce. Il y a eu un vote et une décision de ne pas changer la date a été prise à l'unanimité", a-t-il expliqué.

      

    M. Poutine avait surpris mercredi en semblant adopter un ton plus conciliant que de coutume à l'égard de Kiev. Il avait proposé un scénario de "dialogue" prévoyant l'arrêt de l'opération militaire en cours dans le sud-est en échange d'un report du "référendum".

    "Le référendum est pour dans quelques jours et tous les bulletins de vote sont imprimés et sont en train d'être envoyés", a affirmé de son côté un représentant de la commission électorale des séparatistes à Donetsk. Un journaliste de l'AFP a pu en apercevoir une pile apparemment destinée à la ville de Kramatorsk.

      

    Une décision similaire a été adoptée "à l'unanimité" dans la région voisine de Lougansk, a rapporté l'agence Interfax, citant un porte-parole de l'"armée du sud-est".

      

    Une porte-parole de l'Union européenne à Bruxelles a immédiatement critiqué cette décision: "Nous insistons avec force sur le fait que ce référendum ne doit pas se tenir" car "il aggraverait encore la situation" et "pourrait mener à une nouvelle escalade", a-t-elle déclaré.

      

    Le Kremlin a pris acte jeudi de la réponse des séparatistes à sa proposition, son porte-parole Dmitri Peskov jugeant que les "nouveaux développements" devaient être "analysés".

    Moscou avait déjà affirmé plus tôt cette semaine ne plus avoir d'influence sur les rebelles pro-russes d'Ukraine en raison de la dégradation de la situation sécuritaire. Mais pour le journal en ligne Ukraïnska Pravda, "Poutine fait semblant ne pas avoir d'influence sur les séparatistes".

      

    Les autorités de Kiev ont quant à elles déjà fait savoir qu'elles ne reconnaissaient pas la légitimité de ce projet de "référendum terroriste".

    "Tout appel à le +reporter+ n'est donc qu'une moquerie et aucunement un signe de bonne volonté. La Russie a déjà mis en oeuvre un tel scénario en Crimée", a souligné le ministère des Affaires étrangères. Cette péninsule du sud de l'Ukraine a été rattachée en mars à la Russie, au grand dam de la communauté internationale.

    - Poursuite de l'opération -

    Le gouvernement ukrainien a de son côté répété jeudi qu'il n'avait nullement l'intention de renoncer à rétablir l'ordre dans l'Est.

    "L'opération antiterroriste va se poursuivre, quelles que soient les décisions (sur le référendum) des groupes subversifs ou terroristes de la région de Donetsk", a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité nationale et de défense, Andriï Paroubiï.

    Les autorités ukrainiennes se trouvent depuis vendredi engagées dans une opération militaire dans cette zone, qui s'est déjà soldée par des dizaines de morts.

     

    Dans les villes rebelles de Slaviansk et Donetsk, la population a semblé réagir favorablement à la décision des chefs insurgés de maintenir le référendum.

     

    "Le référendum doit se dérouler le plus vite possible avant l'élection présidentielle" prévue le 25 mai, a estimé Sergueï, un habitant de Slaviansk. "Quoi qu'il arrive, j'irai voter", a-t-il ajouté.

    - Tension avant la présidentielle -

     

    Référendum ou non, la tension va rester vive en Ukraine à l'approche du scrutin présidentiel du 25 mai, qui doit permettre l'élection du successeur de Viktor Ianoukovitch.

    Le Premier ministre Arseni Iatseniouk a mis en garde contre des "provocations" lors des cérémonies du 9 mai, qui marquent la victoire de l'URSS contre l'Allemagne nazie en 1945. Il a également tendu la main aux russophones en promettant un rôle étendu pour la langue russe dans les régions russophones d'Ukraine, où seul l'ukrainien est actuellement langue officielle.

    Les Occidentaux, qui jugent crucial que le scrutin se déroule correctement, accusent la Russie de tout faire pour déstabiliser l'Ukraine et empêcher sa tenue.

    Le secrétaire général de l'OSCE, Lamberto Zannier, était de nouveau attendu à Kiev jeudi et vendredi.

    Les Occidentaux se sont par ailleurs déclarés sceptiques quant au retrait annoncé par M. Poutine des dizaines de milliers de soldats russes déployés ces dernières semaines le long de la frontière avec l'Ukraine.

    L'Otan a déclaré n'avoir noté "aucun signe" d'un tel retrait.

    "J'ai une très bonne vue", a ironisé jeudi le secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen, interrogé sur un tweet du ministère russe des Affaires étrangères qui l'accusait d'être "aveugle" pour ne pas avoir remarqué ce retrait.

      

    Source :

    http://news.fr.msn.com/m6-actualite/default.aspx


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  • Nigeria : mobilisation pour la libération des lycéennes enlevées - Le 05/05/2014 à 11h00

     

    Si par hasard, la vidéo n'apparaît pas

     

    http://www.itele.fr/monde/video/nigeria-mobilisation-pour-la-liberation-des-lyceennes-enlevees-81520

     

    Trois semaines après l'enlèvement de 234 lycéennes revendiqué par Boko Haram, la mobilisation prend de l'ampleur.

    Sur internet, plusieurs personnalités font part de leur soutien. Sous la pression internationale, le président Godoluck Jonathan répond enfin aux familles.

    Il a donné l'ordre aux autorités de "tout faire" pour libérer les jeunes filles.

    Le président Goodluck Jonathan a déclaré dimanche que son gouvernement espérait l'aide du président Barack Obama pour aider son pays à résoudre ses graves problèmes de sécurité, au moment où une campagne pour libérer les étudiantes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram commence dans le monde.

     

    Appel à l'aide


    Le Nigeria, pays africain le plus peuplé en butte à de graves problèmes sécuritaires depuis des mois, et où 234 étudiantes ont été enlevées par le groupe Boko Haram, a aussi approché d'autres pays comme la France, le Royaume-Uni et la Chine, a-t-il précisé samedi soir au cours d'un entretien radio-télévisé depuis la capitale fédérale Abuja. Il a aussi demandé la coopération des pays voisins - Cameroun, Tchad, Niger et Bénin -.

     

    Les lycéennes "sûrement" libérées


    "Nous parlons à des pays dont nous espérons une aide (...) Les États-Unis sont numéro un. J'ai déjà parlé deux fois avec le président Obama", pour qu'il aide le Nigeria à résoudre ses problèmes sécuritaires, a-t-il poursuivi, sans préciser quand ces entretiens ont eu lieu. Goodluck Jonathan a donné dimanche l'ordre de "tout faire" pour garantir la libération des lycéennes enlevées le 14 avril par les islamistes de Boko Haram. Il a aussi promis que son gouvernement les libérera "sûrement".

     

    Attaque la plus choquante

    Boko Haram, qui revendique la création d'un État islamique dans le nord du pays le plus peuplé d'Afrique, a déjà pris pour cible des écoles, des églises, des mosquées et des symboles de l'Etat et des forces de l'ordre depuis 2009. Mais cet enlèvement de masse, visant particulièrement des filles, n'a pas de précédent. Il constitue l'attaque la plus choquante depuis l'existence de ce mouvement qui a déjà fait 1 500 morts depuis le début de l'année.

     

    Article rédigé par la rédaction web i>TELE  

    http://www.itele.fr/


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