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    Tatiana Blue


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  • Tandis que le Salar de Uyuna constitue la plus grande réserve de sel du monde, la caverne aux cristaux géants de Naica contient les plus grands cristaux de la planète, allant jusqu'à 11 mètres de long! Deux endroits magiques parmi 5 dans lesquels vous n'avez plus vraiment l'impression d'être sur Terre!
     



    Le Grand Trou bleu de Belize - The Great Blue Hole, Belize

    Non, il ne s'agit pas d'un orifice de Schtroumpf ni de la dernière folie de Salvador Dali, mais d'une merveille de la géologie marine : quasi circulaire, avec 300 mètres de diamètre et 120 mètres de profondeur, le Grand Trou bleu de Bélize est, selon le célèbre et regretté  J.J. Cousteau, l'un des 10 plus magnifiques emplacements pour faire de la plongée, en témoigne les photos ci-dessous.

    Les trous bleus (ou trous marins) surnommés ainsi à cause du contraste coloré qu'ils provoquent, d'un bleu profond aux abords du bleu turquoise des roches et récifs alentours, se sont formés après la dernière période glaciaire : pendant celle-ci, alors que le niveau des mers était relativement bas, les pluies acides ont creusés dans ces endroits calcaires, de gigantesques grottes. Certaines en ont vu leur plafond s'effondrer. Lorsque la période glaciaire s'est terminée, l'eau a inondé toutes les galeries calcaires souterraines, donnant naissance à ces cavités sous-marines merveilleusement insolites.

    Beaucoup de ces trous marins sont de très célèbres lieu de plongée, le plus profond étant le Trou bleu de Dean, profond de 202 mètres, l'un des plus dangereux étant le Trou bleu de la Mer Rouge : selon les autorités, près de 40 personnes se seraient laissées surprendre par la profondeur de celui-ci, en cherchant un emplacement célèbre connu sous le nom d'Arche, peu visible. Les plongeurs continuaient leur descentes sans voir l'arche, et finissaient par périr par les effets de la profondeur. L'un d'eux, l'israélo-russe Yuri Lipski, a même, sans le vouloir, filmé sa mort dans les profondeurs bleues, à 91 mètres de la surface. Les trous bleus se montrent de bien dangereuses et fascinantes merveilles.

     

     

     

     
     
    L'Oeil du Sahara - The Eye of the Sahara, Mauritania
     
    Big brother is watching you ! Officiellement connue sous le nom de structure de Richat, cette insolite curiosité de la nature s'est faite largement connaitre par les premières missions spatiales, du fait de l'image inquiétante que son apparence suscite lorsqu'on la voit depuis les hauteurs. En plein milieu du désert du Sahara (à propos et soit dit en passant, "désert du Sahara" est un pléonasme, puisque Sahara signifie "désert"), cette étonnante structure de 40 kilomètres de diamètre ressemble à un oeil scrutant le ciel.

    L'Oeil du Sahara était néanmoins connu auparavant, sa première description cartographique remontant à 1963. Il constituait jusque récemment une énigme géologique : premièrement imaginé comme résultant d'une collision météoritique, on sait désormais que le dôme de Richat est né d'un phénomène volcanique particulier, provoquant l'effondrement par couches successives (ce qui lui confère ses caractéristiques) du centre du volcan.


    La Grotte aux Cristaux Géants, mine de Naica - Cave of the Giant Crystals, Naica, Mexico
     
    Vous souvenez-vous de la célèbre planète Krypton des vieux films de Superman? C'est à elle que ressemble la Cave aux Cristaux géants, dans la mine de Naica : des cristaux de gypse grands de plusieurs mètres, si larges que l'on peut marcher dessus sans problèmes. Le plus gros cristal atteint 11,4 mètres de long pour 1,2 mètres de diamètre, et pèse près de 55 tonnes! Ce sont tout simplement les plus gros cristaux découverts jusqu'à présent.

    Il règne dans cette cave reposant à 300 mètres sous la surface, une humidité et une chaleur incroyable (58° C), témoignant de l'activité passée : située sur une faille, la cave était jadis inondée par les rivières thermales et fournie en éléments chimiques par le magma souterrain. Chaleur et eau ont permis la formation, depuis 500 000 à 600 000 ans, de ces cristaux. Leur croissance s'est interrompue lorsque la cave a été vidée pour le besoin de la mine, mais la grotte redeviendra immergée dans quelques dizaines d'années.
     

    Le lac de sel - Salar de Uyuni, Bolivia
     
    Avec une superficie de 12 500 km², ce reliquat d'un ancien lac géant des Andes, constitue actuellement la plus grande réserve de sel de la planète, avec près d'un tiers de la masse de sels de lithium exploitable sur Terre, soit 10 à 60 milliards de tonnes de sel. 25 000 tonnes en sont extraites chaque année.

    C'est également un paysage désertique particulier, surtout depuis l'île de cactus d'Incahuasi, à partir de laquelle on ne voit qu'un désert de sel à perte de vue sur 360°. La couche de sel atteint ainsi, de 2 à parfois 120 mètres de profondeur! 


    Le monde des Géants de Glace - Eisriesenwelt, Austria
     
    Découverte en 1879, cette grotte a toujours suscité la peur des villageois alentours, qui la considéraient comme une porte des enfers. Située dans les flancs de montagnes des Alpes de Werfen (40 km au sud de Salzburg), le Monde des Géants de Glace ("Eisriesenwelt") comprend une série de grottes dont la formation remonte à la dernière période glaciaire (de 110 000 à 10 000 ans), s'étalant sur 42 km de long! C'est la plus grande grotte de glace répertoriée sur Terre, et l'une des plus magnifiques, assurément.
     

     

    http://www.le-saviez-vous.fr/2012/01/les-5-endroits-les-plus-etranges-et.html

     


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  • En Provence, vers la fin juin chaque année, baladant on ne peut s'empêcher de remarquer, les buissons des genêts dorés.

     

    Chaque année ils nous rappellent leurs superbes couleurs, la lumière et les senteurs qu'ils dégagent... Ils font partie, de ces moments rappelant des souvenirs.... Ceux ci ont été photographiés dans la Drôme.

     

    Musique : cadent Waterfalls

    -Kevin Wood-

    (Scenic Listening)

     

    Danielle J.

    Danielle J.


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  • Il y avait une fois une goutte d’eau.blanchisseuse
    La plus jolie goutte d’eau que vous ayez jamais vue, pure, transparente, brillante comme une perle liquide. Elle était tombée du ciel, avec beaucoup d’autres gouttes, un soir d’hiver qu’il pleuvait. Elle s’était arrêtée sur une feuille de rosier sauvage et se tenait là, immobile, toute ronde. Un vent froid avait dissipé les nuages ; la pluie avait cessé. Dans le ciel pur et glacé, la lune brillait, et ses pâles rayons faisaient étinceler notre goutte.


    « Quelle froide nuit ! pensa la pauvrette. Je me sens geler ! »


    Elle gelait en effet. Et, quand vint l’aurore, quand le pâle soleil d’une matinée d’hiver éclaira la terre toute blanche de givre, la petite goutte d’eau était devenue une perle de glace, dure et limpide comme du verre.
    Cependant, à mesure que le soleil montait sur l’horizon et versait sur la nature entière ses rayons tièdes, le froid devenait moins vif, l’air moins âpre.


    « Tiens ! se dit la petite goutte d’eau, il me semble que je me dégourdis, que je redeviens une jolie gouttelette, libre de rouler, de courir où bon me semble. »
     

    En effet, le givre craquait de toute part, il fondait et s’égouttait de partout. Notre goutte d’eau toute joyeuse se pénétrait de chaleur, achevait de fondre. La voilà fondue, la voilà libre !
    D_cembre2012_002La première chose qu’elle fit, fut de se laisser rouler le long de la feuille du rosier et de tomber à terre. Elle avait aperçu, à quelques pas, une jolie mare pleine d’eau claire, où barbotaient les canards d’une ferme voisine. C’est là qu’elle voulait aller.
    Tantôt roulant le long des brins de gazon, tantôt serpentant à travers les pierres, après mille détours, notre voyageuse finit par arriver sur le bord. Elle se laissa aller à la pente, et la voilà mêlée, confondue parmi les millions de gouttes qui formaient la petite mare.


    Combien d’heures, combien de jours passa-t-elle dans cette paisible retraite ? Elle ne l’a jamais su. Les petites gouttes d’eau ne savent pas compter. Elles ne savent que courir joyeusement au gré du hasard.
    Un matin, la fermière apparut au bord de la mare, un baquet à la main. Elle le plongea dans l’eau, le remplit et l’emporta : notre goutte d’eau y était prisonnière.


    La fermière trempa dans le baquet un paquet de linge sale, le lava, le savonna, puis, quand il fut bien propre, elle alla l’étendre sur la haie du jardin, pour qu’il séchât. Notre amie la gouttelette était justement cachée dans la trame d’une grande nappe blanche.D_cembre2012_003
    Le soleil donnait en plein sur la haie, ses rayons frappaient le linge, qui s’échauffait peu à peu et commençait à fumer.

    « C’est singulier, se disait notre goutte d’eau. Je me sens devenir plus grande et plus légère et je ne tiens pas en place, il me semble que je vais m’envoler.

     

    C’est ce qu’elle fit en effet. La chaleur du soleil séchait le mouchoir. Chacune des gouttes d’eau que renfermaient les mailles se changeait en une légère buée, en une vapeur semblable au brouillard et se perdait dans l’atmosphère. Notre petite amie faisait comme les autres. Elle s’élargissait, elle devenait une petite vapeur, elle quittait le mouchoir et la haie et la terre, elle montait dans le ciel bleu comme un fin brouillard.

     

    Comme elle monta haut ! Plus haut que le toit de la ferme, plus haut que le clocher de l’église, plus haut que ne volent les hirondelles, toujours plus haut.

     

    A force de monter, elle arriva près d’un grand nuage gris qui flottait dans le ciel et se promenait doucement, poussé par la brise.

    La petite goutte, en approchant, vit qu’elle était dans un pays de connaissance : ce gros nuage était fait d’un multitude de petites gouttes d’eau que le soleil avait changées, comme notre amie, en de légères vapeurs, et qui étaient montées comme elle dans le ciel.

     

    Toute heureuse, elle se mêla à la troupe de ses compagnes, elle devint un petit morceau du nuage et commença à planer tranquillement, dans le ciel immense, au-dessus des champs, des collines et des bois.
     

    Que devint-elle ensuite ?
     

    C’est ce que nous verrons une autre fois.

     

    Dr Elie PECAUT.

     

     Source

    http://planete.qc.ca/


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  • AIGLE

     

    Comme un aigle toujours bien déployer ses ailes
    Quitter la basse-cour et aller vers les cimes,
    Survoler et connaître ses propres abîmes,
    Entreprendre vers le Soi la quête éternelle.

     

    Comme un aigle voir le soleil de vérité
    Et laisser ses rayons illuminer le cœur
    De lumière pour faire du Bien le vainqueur,
    Et puis s'efforcer de ne pas démériter.

     

    Comme un aigle manifester les vraies vertus
    de l'Initié, loin de l'avoir, du paraître,
    Apprendre à bien explorer les sommets de l'Etre,
    Chercher de la sagesse l'apport nourricier.

     

    Comme un aigle prendre vraiment de l'altitude
    En sachant quitter, abandonner sa propre aire,
    De la liberté prendre profondément l'air,
    Pour avoir réellement toute latitude

     

    Comme un aigle affronter, maîtriser son destin,
    Ne jamais surtout se laisser rogner les ailes,
    Cultiver le silence au-delà des querelles,
    Mais dans son milieu ne pas être un clandestin.

     

    Comme un aigle contempler le bien et le beau,
    S'envoler vers de magnifiques horizons,
    Pour enfin de l'Esprit découvrir la maison,
    Toujours porter plus haut de l'Amour le flambeau.

     

    Jphi

     

    Jean-Philippe Deterville


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