• Ils étaient nombreux à nous dire que nous caressions un rêve, mais les puissants de ce monde rassemblés au sommet du G7 viennent de s’engager à débarrasser définitivement l’économie mondiale des énergies fossiles!!!

     

    Même les médias les plus cyniques applaudissent et reconnaissent que c’est un engagement déterminant.

     

    Par dessus tout, c’est un pas de géant nous faisant enfin espérer que le sommet de Paris en décembre pourrait être un succès - là où le monde entier pourrait s’unir derrière l’objectif commun d’un monde sans énergies fossiles, l’unique moyen de nous préserver d’un changement climatique catastrophique.

     

    Depuis deux ans, notre mouvement a suscité une mobilisation citoyenne mondiale pour faire avancer cet objectif, incluant:

    • la gigantesque Marche des Citoyens pour le Climat, rejointe par près de 700 000 personnes dans le monde, qui a véritablement changé la donne;
    • une pétition signée par 2,7 millions de personnes demandant une énergie 100% renouvelable, remise à des dizaines de dirigeants clefs;
    • quantité de rassemblements, réunions de plaidoyer au plus haut niveau, sondages d’opinion, campagnes publicitaires, le tout financé par notre communauté;
    • 2 mois de pression intense auprès des leaders du sommet du G7, particulièrement auprès de la Chancelière allemande Angela Merkel, pour que cet objectif soit inscrit à l’agenda et fasse l’objet d’un accord.


     

    Notre travail est loin d’être terminé, mais prenons le temps aujourd’hui de célébrer cette victoire; cliquez ci-dessous pour en savoir plus, et pour féliciter notre extraordinaire communauté!!

    https://secure.avaaz.org/fr/paris_here_we_come/?bfLYWab&v=60929

    “The Nous avons été le fer de lance de la gigantesque Marche des Citoyens pour le Climat, rejointe par près de 700 000 personnes dans le monde et qui a véritablement changé la donne.
     

    L’année dernière encore, le changement climatique ressemblait pour beaucoup d’entre nous à un mastodonte inattaquable condamnant nos espèces à un destin tragique, voire à une possible extinction du fait de notre propre stupidité et corruption.

    Mais grâce à une bonne dose d’espoir et une stratégie adaptée (“l’effet Avaaz” :)), grâce aux efforts de nombreux leaders comme Angela Merkel, le Pape François, au travail sur le désinvestissement des énergies fossiles d’organisations soeurs comme 350 et du journal britannique The Guardian, grâce encore aux recherches de haut niveau de groupes comme le World Resources Institute, la plupart des experts pensent aujourd’hui que le vent a tourné, et que la pression monte pour obtenir un accord international à Paris cette année qui mettra le monde sur la voie d’une solution. C’est encore un combat de longue haleine qui nous attend et il n’est pas question de baisser notre garde, mais aujourd’hui, nous pouvons célébrer une bataille remportée!!

    Avec gratitude et espoir,

    Ricken, Alice, Emma, Iain, et toute l’équipe d’Avaaz

    PS: la déclaration du G7 n’est qu’un engagement, et il faudra demander des comptes, mais ce type d’engagement est important. Il envoie aux investisseurs des énergies sales et renouvelables un signal immédiat qui contribuera à accélérer le boom des énergies durables dont nous avons désespérément besoin. Retrouvez plus d’informations sur le sommet et sur le rôle que nous avons joué sur cette page de célébration:

    https://secure.avaaz.org/fr/paris_here_we_come/?bfLYWab&v=60929


    Pour plus d'informations:

     

    Climat: le G7 prend ses distances avec les énergies fossiles (AFP)
     

    http://www.afp.com/fr/info/climat-le-g7-prend-ses-distances-avec-les-energies-fossiles

    Le G7 progresse sur le climat et discute de nouvelles sanctions envers Moscou (Le Monde)


    http://www.lemonde.fr/international/article/2015/06/08/le-g7-progresse-sur-le-climat-et-discute-de-nouvelles-sanctions-envers-moscou_4649913_3210.html

     

    Mobilisation pour le climat: New-York réussit son pari (L'Humanité)


    http://www.humanite.fr/mobilisation-pour-le-climat-new-york-reussit-son-pari-552366

     

    Merkel convainc le Canada et le Japon sur le CO2 (Politico, en anglais)
     

    http://www.politico.eu/article/germany-canada-japan-emissions-pledge/


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  • Le changement climatique par CNES

     

    Le changement climatique. 
    Film réalisé à l'occasion du lancement du satellite
    d'océanographie Jason-2 le 20 juin 2008.

     

    Le changement climatique. Film réalisé à l'occasion du lancement du satellite d'océanographie Jason-2 le 20 juin 2008. 

    Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/terre/climatologie_meteo/changement-climatique.php

     

    "Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s'adaptent le mieux aux changements" (Charles Darwin).

     

     

    Le climat 

     

    Le climat se définit comme une description des moyennes et des extrêmes météorologiques en un endroit limité. Le climat est naturellement variable comme en témoigne l'irrégularité des saisons d'une année sur l'autre.

     

     

    Cette variabilité est normale, et tient aux fluctuations des courants océaniques, aux éruptions volcaniques, aux variations du rayonnement solaire et à d'autres composantes du système climatique encore partiellement incomprises. De plus, notre climat aussi a ses extrêmes (inondations, sécheresses, grêle, tornades et ouragans), qui peuvent devenir dévastateurs.

     

     

    Cependant, depuis quelques décennies, un certain nombre d'indicateurs fiables et d'études montrent que le climat se réchauffe à l'échelle du globe... Un phénomène inquiétant qui nous interpelle sur nos activités massivement émettrices en "gaz à effet de serre".

     

    Effet de serre : histoire et découvreurs

     

    Carotte de glace

     

    Carotte de glaceCarotte glaciaire prélevée sur le site de Dome Concordia

     

    © CNRS

     

    En 1824, Joseph FOURIER, physicien français, surnomme "effet de serre" le phénomène démontré par l'hélio thermomètre d'Horace Bénédict De Saussure à la fin du 18ème siècle : la température sur Terre est accrue par l'atmosphère qui piège une partie du rayonnement infrarouge émis par la Terre.

     

     

    Svante ARRHENIUS annoncait dès 1896, qu'en brûlant le charbon, les hommes allaient réchauffer la planète via un effet de serre renforcé et fût donc le premier à mettre en évidence le risque de réchauffement climatique. Il indiquait déjà avec beaucoup de clairvoyance que le doublement de la concentration en dioxyde de carbone dans l'atmosphère devrait entraîner l'augmentation de la température de 4°C à 6°C, ce qui correspond à peu près aux estimations actuelles.

     

     

    En 1958, Charles David KEELING commence à mesurer les concentrations de CO2 sur le volcan Mauna Loa à Hawaï : elles sont alors de 315 ppm puis passent à 330 ppm en 1974 : première preuve locale d'une augmentation de la concentration en CO2, abstraction faite de l'activité volcanique.

     

    En 1979, l'Académie nationale des sciences américaine lance la première étude rigoureuse sur le réchauffement de la planète intitulée "Carbon Dioxyde and Climate : a Scientific Assessment". Le comité Charney qui en eu la charge concluait déjà que "si les émissions de dioxyde de carbone continuent d'augmenter, le groupe d'étude ne voit aucune raison de douter que des changements climatiques en résulteront, et aucune raison de penser que ces changements seront négligeables".

     

    Au début des années 1980, le glaciologue grenoblois Claude LORIUS entreprit une coopération avec ses collègues soviétiques de la station Vostok, installée au coeur de l'Antarctique. En 1985, les foreurs russes parviennent à extraire des carottes de glace jusqu'à un kilomètre de profondeur. Publiées en 1987, leur analyse réalisée à Grenoble et à Saclay par les équipes de Dominique RAYNAUD et Jean JOUZEL, démontre que, depuis cent mille ans, il existe une corrélation étroite entre températures moyennes et teneurs en gaz à effet de serre.

     

    En 1999, la démonstration s'est étendue aux 400 000 dernières années. Sur cette période, jamais la teneur en gaz à effet de serre n'a atteint les valeurs actuelles. Enfin, en 2008 confirmation a été apportée sur une période de 800 000 ans....

     

    Depuis 1988, plusieurs milliers de chercheurs internationaux se sont réunis sous l'égide des Nations Unies pour constituer le Groupe Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) ou IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) afin de travailler sur ce bouleversement climatique global (planétaire) et rapide.

     

    Effet de serre : définition

     

    L'effet de serre est un phénomène naturel, indispensable à la vie sur Terre et qui assure une température moyenne de +15°C environ au lieu de -19 °C. En fait, une température de -19°C ferait geler les océans, ce qui augmenterait considérablement leur albédo (pouvoir réflecteur) faisant chuter les températures autour de -100°C...

     

     

    La Terre reçoit la majeure partie de son énergie du soleil (principalement sous forme de lumière visible), un quart est directement réfléchi, environ 20% est absorbée par l'atmosphère et 45% touche le sol puis est rayonnée sous forme d'infrarouges (rayonnement thermique) par la Terre. Or, le rayonnement infrarouge émis par la Terre est en partie intercepté par les gaz à effet de serre de l'atmosphère terrestre tandis que le reste est diffusé vers l'espace.

     

     Un gaz à effet de serre est donc relativement transparent à la lumière du soleil mais capable d'absorber une partie du rayonnement thermique de la Terre. La Terre équilibre le rayonnement solaire entrant par l'émission de rayonnement thermique. La présence de substances à effet de serre limite le rafraîchissement par rayonnement thermique et amène donc à un certain réchauffement (Richard Lindzen).

     

     

    Le terme "effet de serre" est quelque peu abusif car c'est le blocage de la convection qui maintient la température élevée à l'intérieur de la serre.

     

    La vapeur d'eau, le méthane, le dioxyde de carbone et le protoxyde d'azote, qui sont les principaux gaz à effet de serre (GES) contribuent à piéger l'énergie renvoyée, augmentant la température moyenne de la Terre. En effet, ce sont les gaz à structure polyatomique (au moins 3 atomes) qui retiennent le rayonnement infrarouge au contraire des molécules diatomiques (99% de l'atmosphère) qui ont une structure trop simple.

     

     

    Notons le double rôle des nuages dans l'effet de serre : vis-à-vis du rayonnement solaire, les nuages agissent principalement comme un parasol qui renvoie vers l'espace une grande partie des rayons du Soleil. Le pouvoir réfléchissant, ou albédo, des nuages épais à basse altitude, est ainsi très élevé, de l'ordre de 80%. Par contre, les cirrus qui sont des nuages d'altitude constitués de cristaux de glace, ont un effet parasol très faible puisqu'ils sont transparents mais participent fortement à l'effet de serre.

     

    Bilan radiatif

     

    Les températures moyennes du globe (mesurées à 2 m au-dessus du sol sous abri) sont de : +15,1 °C en moyenne (régions polaires : -20°C, tempérées +11°C, équatoriales : +26°C).

     

    Sur Mars où l'atmosphère est tenue et donc l'effet de serre absent, la température moyenne est de -50°C. Sur Vénus, où l'atmosphère est très chargée en gaz carbonique, la température moyenne est de +420°C. Nous comprenons donc que les concentrations en gaz à effet de serre sur Terre ont permis l'apparition des formes de vie que nous connaissons qui sont sensibles aux températures.

     

    La suite

     

    http://www.notre-planete.info/terre/climatologie_meteo/changement-climatique-donnees.php

     

    Actualités sur le site

     

    http://www.notre-planete.info/actualites/actualites.php

     

     

     

     Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/terre/climatologie_meteo/changement-climatique.php

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  • Il était une fois le littoral par FranceEcologieEnergie

     

    Pourquoi le Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres ?

     

    Créé en 1975, la mission du Conservatoire, établissement public sous tutelle du ministère du développement durable, est d’identifier, d’acquérir et d’aménager des espaces naturels sur le littoral et les rives des grands lacs. Son objectif est de valoriser le patrimoine naturel et culturel de ces territoires sensibles et de lutter contre leur artificialisation.

     

    Aujourd’hui, le Conservatoire du littoral et l’ensemble de ses partenaires, qui oeuvrent avec lui depuis près de 40 ans, constituent un dispositif original, protégeant plus de 156 000 hectares. Ce sont environ 700 sites sur nos littoraux qui sont ainsi gérés et valorisés par 250 gestionnaires dont plus de 80% sont des collectivités. 900 gardes surveillent et animent quotidiennement les sites.
     

     

    Dans quel cadre le Conservatoire agit-il ?

    Le littoral, espace entre terre et mer, est caractérisé par la diversité de ses paysages, la richesse de ses ressources, mais aussi par sa vulnérabilité.
    Pour conserver définitivement l’affectation naturelle d’une partie de ce territoire, garantir l’accès à la mer et se donner des moyens adaptés de gestion, le législateur a considéré qu’il était nécessaire d’assurer la maîtrise foncière publique des sites les plus menacés du littoral.
     

    De manière complémentaire aux autres mesures de protection des espaces naturels qui s’appliquent à tout le territoire, un dispositif partenarial spécifique de préservation et de valorisation des espaces naturels du littoral a ainsi été mis en place en 1975 pour atteindre d’ici à 2050 le « Tiers naturel ».
     

    Le Conservatoire et ses partenaires interviennent donc en appui à la mise en œuvre de la loi « littoral » de 1986 qui prévoit des coupures d’urbanisation, limite la concentration urbaine dans la bande côtière des 100 mètres, encourage la densification des zones déjà urbanisées et le développement en profondeur, en rétro-littoral.  

     

    Venez découvrir l’exposition « Littoral, 40 ans de merveilles préservées » :

    Pour son 40ème anniversaire, le Conservatoire du littoral a demandé au photographe Frédéric Larrey de saisir, depuis son ULM, la beauté et la richesse des rivages. Une exposition à découvrir sur les grilles du Jardin des plantes, 47 rue Cuvier, Paris Ve.

     

     Site du Conservatoire du littoral

     

     

    Date Du Jeudi 14 Mai 2015

    au Dimanche 27 Septembre 2015

     
    Lieu
     
    Grilles de l’École de botanique, allée centrale du Jardin des Plantes

    Expositions
     
     
    Ravine Sèche, littoral de La Réunion © Frédéric Larrey - Conservatoire du littor
     
    Descriptif
    Afin de célébrer ses 40 ans, le Conservatoire du littoral a demandé au photographe Frédéric Larrey de saisir, depuis son ULM, la beauté et la richesse des rivages, afin que chacun puisse découvrir ou redécouvrir ces territoires, témoins du prodige qui s'accomplit lorsque la terre rencontre la mer.
    Frédéric Larrey, photographe naturaliste, parti explorer les rivages préservés en France métropolitaine et dans certaines régions d’Outre-mer nous en rapporte de somptueux clichés. Ou comment humer l’air du large dans la capitale avant l’été !
    Sur les grilles du jardin de l’École de Botanique du Jardin des Plantes, 65 photographies couleur en grands et moyens formats, nous emmènent en promenade entre terre et mer. Mais il ne faudra pas se fier aux apparences ! Ces images n’ont pas été prises aux confins des océans, ni sur des côtes lointaines et exotiques mais en France, et c’est bien le spectacle de nos rivages de la côte d’Opale à la Méditerranée, des grands lacs à l’Outre-mer… qui sera au rendez-vous.
    Il s’agit ici de photographies conjuguant  splendeur de la nature et art de la photographie, douceur des couleurs et subtilité des motifs et du grain de l’image.
    À bord d’un ULM, Frédéric Larrey a suivi cette ligne de côte, saisi la richesse, la fragilité mais surtout la beauté, la grâce émergée des contours et des lumières. Il nous offre une immersion dans ce que la France compte de plus beaux et plus émouvants paysages, justifiant cent fois le travail et les moyens déployés pour protéger ces lieux. Cette part naturelle de nos côtes est un patrimoine irremplaçable. Cette exposition, qui en porte témoignage, est un précieux regard. Elle incite à prolonger ce rêve et parcourir ces sentiers, ces grèves et ces baies avec respect et enthousiasme, attentifs, comme l’a été le photographe, à la poésie des lieux.
    Les sites à découvrir :
    Manche mer du Nord, Normandie, Bretagne, Centre-Atlantique, Aquitaine, Languedoc-Roussillon, Provence Alpes Côte-d’Azur, Corse, lacs alpins, lacs du grand Est, Guyane, Martinique, Guadeloupe, La Réunion, Mayotte.
    Biographie de Frédéric Larrey
    Photographe professionnel depuis près de 15 ans, Frédéric Larrey, à travers son association Regard du vivant, a signé ou cosigné plusieurs ouvrages naturalistes et exposé ses photographies sur la faune locale terrestre et marine de la Méditerranée et sur les paysages de France, de Madagascar, de Nouvelle-Zélande, des Galápagos... Il collabore régulièrement avec la presse spécialisée (Terre Sauvage, Images et Nature...), la télévision (Thalassa, Sept à Huit, des Racines et des Ailes...) et des institutions comme le Conservatoire du littoral. Son travail a été récompensé par le BBC Wildlife Photographer of the Year en 2003 et en 2009.
    Le Conservatoire du littoral
    Établissement public du Ministère de l’Écologie créé en 1975, le Conservatoire du littoral est chargé de protéger les espaces naturels maritimes et lacustres les plus remarquables de notre territoire. En quarante ans, le Conservatoire a acquis près de 160 000 hectares d’espaces fragiles et menacés de notre littoral, soit 1400 kilomètres de rivages. La gestion des sites est ensuite confiée aux collectivités locales et organismes gestionnaires qui emploient près de 900 gardes du littoral, chargés de la mise en valeur des espaces naturels et de l’accueil du public. L’objectif du Conservatoire est d’atteindre en 2050 « le tiers sauvage», c’est-à-dire un tiers du littoral préservé définitivement de l’urbanisation.
    L’exposition sera visible durant l’année 2015 à Paris Bordeaux, Vannes, Montpellier, Fort-de-France, Saint-Denis de La Réunion, Pointe à Pitre, Argelès-sur-Mer, Port Camargue...

    Afin de célébrer ses 40 ans, le Conservatoire du littoral a demandé au photographe Frédéric Larrey de saisir, depuis son ULM, la beauté et la richesse des rivages, afin que chacun puisse découvrir ou redécouvrir ces territoires, témoins du prodige qui s'accomplit lorsque la terre rencontre la mer.

     

    Frédéric Larrey, photographe naturaliste, parti explorer les rivages préservés en France métropolitaine et dans certaines régions d’Outre-mer nous en rapporte de somptueux clichés. Ou comment humer l’air du large dans la capitale avant l’été !

     

    Article complet

    http://www.jardindesplantes.net/littoral-40-ans-de-merveilles-pr-serv-es

     

     

    Photographe depuis 15 ans, amoureux de la nature, Frédéric Larrey publie "Littoral", un ouvrage composé de clichés du littoral français. Il a parcouru toutes les côtes françaises de métropole et d'outre-mer, soit 5 550 kilomètres.

     

    Frédéric Larrey s'est déplacé en ULM, à 150 mètres de hauteur, pour prendre ses photos. Il a ainsi pu capter de multiples détails. Son livre sort alors que l'on fête les 40 ans du Conservatoire du littoral, qui milite pour préserver ces trésors français. "Le but était de montrer de belles choses pour donner envie de repartir sur 40 années de plus de conservation", confie le photographe à France 2.

    Un littoral "merveilleux"

    Parce qu'il a constaté les ravages que peut causer l'homme, Frédéric Larrey entend sensibiliser le public sur ce "littoral merveilleux dans sa diversité". Ses photographies sont d'ailleurs exposées sur les grilles du Jardin des plantes à Paris.

     

    Source

    http://www.francetvinfo.fr/

     
     

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  • Les énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) représentent près de 80 % de la consommation d’énergie dans le monde et les deux tiers en France. Nous l’utilisons pour nous loger, nous chauffer, nous déplacer… elle est donc présente à tout moment ou presque dans notre quotidien. En brûlant, ces énergies fossiles émettent du CO2 et deviennent la plus grande cause du changement climatique. Ainsi, la consommation d’énergie est responsable de plus de 70% des émissions de gaz à effet de serre françaises.

     

    A cet impact sur le climat, s’ajoute la raréfaction de ces énergies fossiles puisque celles-ci sont par définition des ressources finies à la surface de la planète. Cela entraîne une augmentation tendancielle du prix de l’énergie qui contribue à l’augmentation du nombre de ménages en situation de précarité énergétique : plus de 8 millions de personnes en France sont concernés soit 13% de la population française.

     

    Pour réduire l’impact de l’énergie sur le climat, quoi de mieux que de moins en consommer ? Le premier levier de réduction est en effet de réduire notre consommation globale dans les transports par la mobilité douce ou encore dans les bâtiments - secteur qui représente 45% de la consommation d’énergie - par l’isolation par exemple. Nous pouvons ensuite développer les énergies renouvelables et développer l’efficacité énergétique. C’est tout l’enjeu de la loi sur la transition énergétique qui sera finalisée en 2015.

     

     

    En savoir plus et découvrir nos propositions

     

    Documents

    - Veille et Proposition n°15 : Construire la transition énergétique (2012)

    - Etude - L’énergie solaire photovoltaïque (2011)

    - Etude - Agrocarburants, cartographie des enjeux (2008)

    - Financer massivement la transition énergétique (2014)

     

     

    « Et si on prenait enfin au sérieux ceux qui peuvent nous sauver ? Donnons le pouvoir à ceux qui ont des solutions pour le climat, en votant sur



    www.mypositiveimpact.org

     

     

    Liste des projets 

    http://www.mypositiveimpact.org/projets/liste


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    A chaque épisode de pollution de l’air, la réaction de l’Etat ne se fait pas attendre… Entre actions énergiques et polémiques iniques, la ministre de l’Ecologie semble privilégier systématiquement la seconde option. Mais brasser du vent n'a jamais réduit la pollution de l'air, à la grande différence de la circulation alternée.

    A l’irresponsabilité succède donc la certitude ministérielle d’œuvrer à l’édification d’une écologie positive, synonyme d’un laisser-faire criminel.

    Faute d’actions préventives, la ministre se retrouve à gesticuler de plateaux de télévision en studios de radio. Cette omniprésence médiatique cache pourtant mal le peu de cas qu’elle fait d’une population souffrant d’une pollution automobile chronique.

    La circulation alternée, bien que loin d’être la mesure qui permettrait de mettre fin à la pollution de l’air, est néanmoins une décision nécessaire. Elle permet de réduire l’amplitude des pics et permet de sauver des vies.

    L’inaction coupable de la ministre ne laisse pas d’étonner et révèle la place prise par l’automobile, symbole sacrée et intouchable. Il est grand temps de mettre en terme à cette autotisme politique et prendre les décisions qui s’imposer. Vite ! Il y a urgence, Madame la ministre !

    --

    Pour ne rien manquer d'Agir pour l'Environnement et ses actions, comme plusieurs dizaines de milliers d'autres citoyens :

     

     

    Accueil

    http://www.agirpourlenvironnement.org/blog

     


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