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Par roda83 le 8 Juillet 2013 à 07:53
Asséchée pour irriguer des champs de coton, les eaux de la Syr-Daria se déversent à nouveau dans la petite mer d'Aral.
Autrefois quatrième plus grande mer intérieure du monde, la mer d'Aral symbolisait une catastrophe écologique, l'URSS ayant détourné ses eaux pour irriguer les champs de coton du Kazakhstan des décennies durant. Provoquant ainsi l'assèchement progressif de cette magnifique étendue d'eau qui avait été divisée en deux bassins.Jusqu'à ce que, dans sa partie septentrionale, ses riverains suggèrent l'idée d'un barrage. Un prêt de la Banque mondiale a permis son édification en 2005 à Kok-Aral.
Les eaux de la Syr-Daria se déversent ainsi à nouveau dans la petite mer d'Aral.
L'ancienne cité portuaire d'Aralsk, qui s'était retrouvée à 150 kilomètres de la côte, n'en est plus qu'à 20 kilomètres. Les pêcheurs, partis la mort dans l'âme tenter leur chance au loin, dans les années 1960, peuvent revenir exercer le métier de leur père et de leur grand-père.
La Chaîne
http://www.youtube.com/channel/UCeTOVyx2tB-9YTiT5ayPA5g?feature=watch
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Par roda83 le 7 Juillet 2013 à 10:08De nombreux apiculteurs pratiquent ce qu’on appelle l’apiculture pastorale en référence au mode d’élevage méridional des moutons.Ils transhument leurs ruches plusieurs fois au cours de l’année pour faire bénéficier leurs abeilles des floraisons successives et de la diversité des espèces mellifères, sauvages ou cultivées.Certains font voyager leurs colonies pour offrir à leurs butineuses des menus diversifiés et obtenir ainsi des miels spécifiques, mono ou polyfloraux.D’autres fuient leurs régions d’hivernage au moment où les agriculteurs traitent leurs cultures, craignant l’impact des pesticides sur la santé de leurs abeilles.Autrefois les ruches étaient portées à dos d’homme, de mulet ou sur des charrettes tiréesArticle Région pacasur Fréquence terreLien pour écouter la radio
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