-
Par roda83 le 2 Novembre 2021 à 06:13
Modeste montage sur cette très belle chanson de Ferrat qu'est "Les Tournesols".
1 commentaire -
Par roda83 le 17 Février 2021 à 15:47
Tonton David / Geoffrey Oryema / Manu Katché (KOD) - Chacun sa Route (Clip Officiel)
Ecoutez le meilleur de Tonton David : https://tontondavid.lnk.to/essentials
Abonnez vous à la chaîne de Tonton David : http://smarturl.it/TontonDavidYT
TONTON DAVID. Il avait marqué les années 1990 de quelques tubes, encore entonnés par toute une génération. Tonton David est décédé à seulement 53 ans, d'un AVC, alors qu'il poursuivait sa carrière loin de l'agitation parisienne.
- Tonton David est mort mardi 16 février, à l'âge de 53 ans, a fait savoir sa famille à l'AFP. Selon les informations du Républicain Lorrain, le chanteur a été victime d'un AVC en descendant d'un train en gare de Metz. Conduit à l'hôpital de Nancy dans un état critique, il aurait été maintenu en vie pour que ses proches puissent lui dire un dernier au revoir.
- Le chanteur, star dans les années 1990, notamment pour ses tubes Chacun sa route, Peuples du monde, Allez leur dire ou Le Blues des racailles, avaient poursuivi sa carrière loin des projecteurs, des mondanités et loin de ses succès de jeunesse. Mais Tonton David a durablement marqué les adolescents et la jeunesse des années 1990. Pour preuve, c'est une pluie d'hommages qui lui est rendue depuis hier soir, par des milliers d'anonymes et de nombreuses personnalités sur Twitter. Des figures du reggae français, comme Pierpoljak et Nuttea, mais aussi l'animateur Nikos Aliagas, Omar Sy ou encore Doc Gyneco, ont tenu à saluer sa mémoire.
Article complet
votre commentaire -
Par roda83 le 3 Février 2021 à 17:01
La vie de Brassens s’est construite sur des notes légères et graves, des variations et des embardées, comme débute et s’achève une chanson. Découvrez aujourd’hui la biographie du célèbre « Croque-Notes » en compagnie de Clémentine Deroudille.
Cette semaine, La compagnie des œuvres muse à l’écart de la place publique avec Georges Brassens. Matthieu Garrigou-Lagrange retrace dans cette première émission la vie du « mauvais sujet repenti » sous la houlette de Clémentine Deroudille, autrice de Brassens, le libertaire de la chanson (éd. Gallimard, coll. Découverte, 2011) et co-commissaire de l’exposition « Brassens ou la liberté » organisée en 2011 par la Cité de la Musique.
« Si tu veux te faire une idée exacte de ma vie, dis-toi que tout est là : imaginer le démarrage d’une chanson et la construire. » Ainsi le poète païen répondait-il à qui l’interrogeait dans le but de peindre son existence à grands traits.
Son entrée dans la vie se fait certes en musique. Le jeune Sétois grandit dans une maison pleine de chants, qui circulent d’une bouche à l’autre. Au beau milieu du salon familial trône un phonographe vibrant des airs de l’époque : Jean Tranchant, Mireille, Paul Misraki, Charles Trenet…
Lire et écouter
2 commentaires -
Par roda83 le 11 Janvier 2021 à 13:13Merci pour tout Georgesde nous avoir ouvert les yeux sur le monde pendant plus de 40 ans. #ThalassaLe journaliste avait été aux commandes du « Magazine de la mer » sur France 3 pendant plus de quarante ans. Il est mort « des suites d’une longue maladie » à l’âge de 73 ans, a annoncé sa famille.
Hommage a un grand monsieur de l'océan!
votre commentaire -
Par roda83 le 31 Décembre 2020 à 13:34
INFO LE POINT. Robert Hossein, le géant du théâtre populaire, est mort
L'éternel amant d'Angélique, marquise des anges, est décédé à l'âge de 93 ans. Il avait su comme personne attirer des foules dans ses spectacles démesurés.
Par Marc FournyImpulsif, passionné et fonceur, imprévisible et brouillon, parfois insupportable et forcément attachant... Tel était Robert Hossein, décédé ce 31 décembre, pour ceux qui ont eu la chance de le croiser. Comédien et metteur en scène, il est mort des suites du Covid-19 à l'hôpital quelques heures après avoir soufflé ses 93 bougies. Il avait contracté le funeste virus lors d'une précédente hospitalisation. Pour les interviews, inutile d'apporter les questions, il entamait son show, porté par son propos, en faisant les dialogues à lui tout seul : vous repartiez avec des heures d'une logorrhée flamboyante où le tonitruant metteur en scène abordait tous les sujets qui lui tenaient à cœur. Un monument, une force, un torrent d'énergie, une fougue sans doute héritée de sa mère, qui quitta la Russie soviétique pour émigrer vers l'Europe occidentale dans les années 1920, avant de s'installer à Paris.
Son enfance est décousue, ses parents tirent le diable par la queue, un père musicien, une mère couturière, ils le mettent en pension, sans toujours payer la facture... Le jeune Hossein change souvent d'établissement, prend sur lui, ne s'attache guère, sauf à cette mère dont il admire la classe. Plus on le traite de « Russkoff » – ou pire de « Russecouille » –, plus il s'enferme dans le silence et les rêves, s'invente des histoires qui nourriront plus tard sa formidable créativité.
Découvreur de talents
Au début des années 1970, il envoie tout valdinguer et quitte Paris avec quelques livres et sa brosse à dents pour diriger le Théâtre populaire de Reims. Son idée ? Faire du théâtre comme au cinéma afin d'attirer le plus grand nombre de spectateurs. Personne n'y croit, lui s'accroche, court après les subventions, convainc les plus sceptiques, fonde sa compagnie – un vieux rêve – et persuade un certain Jacques Weber, prix d'excellence du Conservatoire, de le suivre dans l'aventure et d'intégrer sa troupe. Il y en aura d'autres qui seront formés sur les planches de Hossein, comme Isabelle Adjani, Isabelle Huppert, Jacques Villeret, Jean-François Balmer ou encore Francis Huster... Une liste à faire pâlir d'envie tout directeur de casting. Pour la première de Crime et châtiment, les mille spectateurs applaudissent quarante minutes debout devant des comédiens en pleurs. Le pari est gagné, mais son école modèle ne durera que quelques années, faute d'argent.
En 1975, il passe encore à la vitesse supérieure et monte Le Cuirassé Potemkine au palais des sports de Paris. La veille de rencontrer les producteurs, il n'a encore rien écrit, mais il les convainc de mettre 6 millions sur la table en mimant les scènes, les rebondissements, les sons et les effets spéciaux ! Du pur Hossein... Les 250 000 spectateurs qui vont se presser au spectacle ne seront pas déçus : un cuirassé de 26 mètres, des éclairs, des lumières, des musiques, des dizaines de figurants... La Révolution russe s'invite sur la scène.
« Je ne travaille pas pour une élite »
La recette est au point : de grands effets, un texte a minima, des tableaux inspirés par l'imagerie classique. C'est le début de l'ère des grands spectacles qui vont faire sa légende, avec la collaboration de son complice Alain Decaux : Notre-Dame de Paris et son décor de trente tonnes, Les Misérables et ses 400 000 spectateurs, Jules César, de Shakespeare, qui lui vaudra enfin un regard bienveillant de la critique, puis Marie-Antoinette, dont il remet en scène le procès avec la complicité du public... Plus c'est grand, plus c'est fou, plus il fonce, puisant dans sa poche, prêt à tout vendre pour financer ses rêves. Il montera même Ben Hur au Stade de France et nourrira toujours le regret de n'avoir pu reconstituer le siège d'Alésia avec… Depardieu et Christophe Lambert !
Scène de Jésus, la résurrection interprétée, le 5 avril 2000, sur la scène du Palais des Sports à Paris. © FRANCOIS GUILLOT AFPIl a souvent été critiqué par l'élite parisienne, qui se bouchait les oreilles en entendant la promotion de son énième spectacle, tout en reconnaissant que l'homme savait quand même s'y prendre pour convaincre les Français de quitter leur poste de télévision pour s'asseoir, au moins une fois, devant une scène vivante. « Le théâtre, c'est une chose qui ne doit pas être emmerdante, a-t-il un jour confié à sa biographe Cécile Barthélémy. Je le hurle, je le déclare, quitte à passer pour un simpliste et un primaire. Je ne travaille pas pour une élite, pour des gens qui ont la chance de savoir et sont totalement disponibles intellectuellement. »
Scandale et rédemption
Sa vie privée aussi fut également tumultueuse, passionnée, débordante... « En amour, je n'ai pas toujours été très bien, je suis obligé de le reconnaître. Sur ce point, l'âge m'aura amélioré. Du moins j'ose l'espérer... » Il y a d'abord la parenthèse russe avec la blonde Marina Vlady. Il a 28 ans, elle en a 16, un vrai coup de foudre, il la fait tourner dans plusieurs films (Toi le venin, La Nuit des espions), elle réveille son côté slave et bohème, ils ont deux fils, Igor et Pierre, et se quittent avec Les Canailles, de Maurice Labro.
Crime et châtiment en 1956, avec Marina Vlady. © Champs-Élysées Productions AFP
Trois ans plus tard, il fait à nouveau scandale en épousant Caroline Eliacheff, alors âgée de 15 ans, fille de la journaliste Françoise Giroud. Ils ont un fils, Nicolas, puis il divorce de nouveau, renoue avec son vagabondage, avant de rencontrer la comédienne Candice Patou, sa dernière compagne et mère de son fils Julien. « Elle m'a apporté la stabilité », confiait-il avec tendresse.
C'est lors du baptême de son dernier fils qu'il se convertit au catholicisme. Avec la même énergie qu'il met dans son métier, il affiche sa foi sans détour dans les interviews et sur scène, en montant des spectacles religieux dans la veine des grands mystères médiévaux. Au début des années 1980, avec Jésus était son nom, ce mystique concrétise un projet qu'il portait en lui depuis longtemps et fait à nouveau un triomphe. À tel point qu'il récidive plus tard avec Jésus la résurrection puis Une femme nommée Marie, en 2011, une pièce jouée dans le sanctuaire de Lourdes. « Ma seule certitude, c'est Dieu », répétait inlassablement celui qui voyait dans tout homme une raison d'espérer. Et quand on lui parlait de la mort, ce grand saltimbanque s'en sortait par une boutade : « Mourir est effrayant, car c'est pour la vie. »
À lire : Robert Hossein, de Cécile Barthélémy, éd. Pierre Marcel Favre.
Je crois en l'homme parce que je crois en Dieu, de Robert Hossein, éd. Presses de la Renaissance.
https://www.lepoint.fr/
Liberté surveillée est un film franco-tchécoslovaque coréalisé par Henri Aisner et Vladimir Voltchek, sorti en 1958. Synopsis Un jeune homme arrive à Paris et voyant un policier prêt à le cueillir, parvient à monter dans un train en partance pour Prague. Il tombe dans une équipe sportive (lui se rend à un festival et il est pris pour le « soigneur » qu'on attendait sans le connaître...
Acteurs principaux Robert Hossein Marina Vlady René Lefèvre
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique