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    Si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour les autres, il y a tellement de soignants, caissieres, livreurs de produits indispensables etc;  qui préfèreraient pouvoir rester chez eux, pour ne plus aller travailler la peur au ventre, et si les Hôpitaux sont engorgés qu'est ce qu'on va faire ...

    Soyez raisonnables !

     


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  • Je suis de la Generation Egalite: levez-vous pour les droits des femmes

     

    Les droits des femmes et l’égalité des sexes vont occuper le devant de la scène en 2020.

    Vingt-cinq ans après l’adoption de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing – une feuille de route pour favoriser l’égalité des sexes – le moment est venu de faire le point sur les progrès accomplis et de combler les lacunes qui subsistent en prenant des mesures audacieuses et décisives.

     

    Le thème de cette année pour la Journée internationale des femmes (le 8 mars) est « Je suis de la Génération Égalité : Pour les droits des femmes et un futur égalitaire ».

     

    La campagne Génération Égalité rassemble des personnes de tous sexes, âges, ethnicités, races, religions et pays, afin qu’elles prennent des actions qui feront advenir un monde dans lequel règne l’égalité des sexes que nous méritons tous.

     

    Ensemble, nous voulons nous mobiliser afin de mettre fin à la violence basée sur le genre ; nous lançons un appel en faveur de la justice économique et des droits pour toutes et tous ; de l’autonomie corporelle et de la santé sexuelle et reproductive et des droits ; et de l’action féministe pour la justice climatique. Nous voulons utiliser la technologie et l’innovation pour favoriser l’égalité des sexes et le leadership féministe.

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    https://www.unwomen.org/fr/news/in-focus/international-womens-day

     

    Vous avez peut-être entendu parler de la Journée internationale de la femme dans les médias ou entendu des amis en discuter. Mais à quoi cela sert-il ? Quand a-t-elle lieu ? Est-ce une célébration ou une protestation ? Et existe-t-il une journée internationale des hommes ?

    Depuis plus d'un siècle, les gens dans le monde entier marquent le 8 mars comme une journée spéciale pour les femmes. Lisez la suite pour savoir pourquoi.

    1-Quand tout cela a-t-il commencé?

    La Journée internationale de la femme est née du mouvement syndical pour, finalement devenir un événement annuel reconnu par les Nations unies.

    Les graines de cet événement ont été plantées en 1908, lorsque 15 000 femmes ont défilé dans la ville de New York pour réclamer des heures de travail moins longues, de meilleurs salaires et le droit de vote. C'est le Parti socialiste américain qui a déclaré la première Journée nationale de la femme, un an plus tard.

    L'idée de rendre cette journée internationale est venue d'une femme appelée Clara Zetkin.

    Elle a suggéré l'idée en 1910 lors d'une conférence internationale des femmes travailleuses à Copenhague. 100 femmes venues de 17 pays étaient présentes, et ont accepté sa proposition à l'unanimité.

    Elle a été célébrée pour la première fois en 1911, en Autriche, au Danemark, en Allemagne et en Suisse. Le centenaire a été célébré en 2011, et donc cette année nous célébrons techniquement la 109ème Journée internationale de la femme.

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    https://www.bbc.com/afrique/monde-51739317

     

     


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  • Journée Internationale des droits de l'enfant

    17 contributions
    Journée Internationale des droits de l'enfant

    "Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité."
    Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

     

    C'est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la "Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l'enfant" (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l'enfant de 1989.

    Une convention et des droits

    La Convention Internationale des Droits de l'Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu'un enfant n'est pas seulement un être fragile qu'il faut protéger mais que c'est une personne qui a le droit d'être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l'endroit du monde où il est né. Et aussi qu'il a le droit de s'amuser, d'apprendre et de s'exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s'engager.

    Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c'est tout d'abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C'est à ce prix que les droits de l'enfant seront véritablement respectés.

    L'UNESCO a toujours accordé une place significative à l'enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l'appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

    La situation en France et dans le monde

    La promotion et le respect des Droits de l'Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l'enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l'éducation.

    Enfant en France

    • Un million d'enfants pauvres
    • 19.000 enfants maltraités
    • 76.000 sont en danger dans un contexte familial dégradé et qui menace leur développement éducatif et/ou matériel
    • quelque 240.000 enfants placés ou pris en charge
    • 85 000 sont touchés par le saturnisme
    • record des suicides des 15-24 ans.
    • 150 000 filles et garçons quittent chaque année le système scolaire sans aucune perspective
    • 15 000 ne suivent pas leurs cours alors qu'ils sont inscrits au collège ou au lycée et qu'ils n'ont pas encore 16 ans.
    • 15 % des enfants qui arrivent au collège ne comprennent pas ce qu'ils lisent

    Même si la France traite globalement bien ses 15 millions de moins de 18 ans, elle "peut mieux faire", comme l'indique le Conseil français des associations pour les droits de l'enfant (Cofrade).

    L'Unicef, dans son rapport annuel intitulé "Enfants exclus, enfants invisibles" relève qu'il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l'Etat civil. Ce même rapport indique que plus d'un milliard d'enfants sur Terre "souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida".

    En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…

    Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l'UNICEF est surement l'une des plus connues, c'est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

    Un site à visiter : www.unicef.fr

     

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    Pour célébrer le trentième anniversaire de la signature de la Convention internationale relative aux droits des enfants, UNICEF France met en lumière l’importance de ce texte fondateur pour bâtir l’avenir des enfants.

    Depuis la signature de la Convention internationale relative aux droits des enfants (CIDE) le 20 novembre 1989, d’importants progrès ont été réalisés en faveur des enfants. Santé, éducation, protection, droits civiques : les enfants sont mieux reconnus et la qualité de vie de millions d’entre eux s’est améliorée. Mais les enfants d’hier ne sont pas ceux d’aujourd’hui. Il nous faut donc adapter notre approche.

    Il y a trente ans, Internet n’existait pas, les enjeux liés au changement climatique n’étaient pas pris en compte avec autant d’acuité, les guerres et les conflits – qui s’étalent dans le temps – ne provoquaient pas des flux de migration aussi importants. Tous ces défis constituent également des opportunités. Les enfants et les jeunes exigent la prise de mesures immédiates et nous nous devons de les écouter.

    À travers le monde, les enfants défendent leurs droits. Et vous, qu’allez-vous faire ?

    Des opérations symboliques pour un anniversaire marquant

    Ce que nous bâtissons, nous le bâtissons pour nos enfants. C'est pour eux qu'il y a 30 ans, le 20 novembre 1989, les dirigeant.e.s de la planète ont pris l'engagement de construire un monde plus digne. La Convention internationale des droits de l'enfant est devenue la pierre angulaire garantissant le droit de chaque enfant à survivre, se développer, à apprendre, s’épanouir et à faire entendre sa voix. Avec l'opération « Lumières sur les droits de l’enfant »*, nous avons pour ambition de rendre visible et de déclarer au monde entier que notre engagement collectif envers les droits des enfants reste entier.

    Dans la soirée du 19 au 20 novembre, des dizaines de lieux à travers la France seront illuminés en bleu pour rappeler cet engagement. Retrouvez la liste de ces lieux ci-dess

    Article complet

    Vu sur: https://www.unicef.fr/30ansCIDE

     


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  • Il n’a pas quatorze ans quand il quitte son pays, le Cameroun. Il rêve d’étudier en France où il arrive miraculeusement, ayant traversé cinq pays et la Méditerranée. Le 24 juillet 2019, Zachée est retrouvé mort, noyé dans une base de loisirs. Récit de vie de son périple à son destin tragique.

     

     

     

    Baignade InterditeBaignade Interdite Crédits : JEAN-CHRISTOPHE SANNICOLAS - Maxppp

    C'est au mois d'avril dernier que Jany trouve Zachée en train de dormir devant la gare de Besançon. Bénévole de l'association Sol Mi Ré (Solidarités Migrants Réfugiés), elle accueille Zachée chez elle, pendant que sa fille est en vacances. Timide et renfermé, il retrouve peu à peu un équilibre et continue d'être optimiste quant à sa situation. 

    Après ce qu'il avait vécu, il avait besoin de lien affectif. 

    Jany entame avec lui les démarches pour qu'il soit reconnu comme mineur, ce qui changerait sa situation et lui permettrait d'obtenir des papiers en règle. Début mai, il est scolarisé en classe de troisième et doit commencer un CAP de soudeur à Vesoul en septembre. 

    Il était toujours optimiste, il ne baissait pas les bras.

    Début juillet, il est enfin reconnu comme mineur. Il peut bénéficier d'aides sociales et chercher un logement. Sa situation avance. Il a entre temps été hébergé par deux autres bénévoles de l'association, Jean-Jacques et Frédéric. Tous deux ont gardé un bon souvenir de l'adolescent. 

    Sa solidité m'a bousculé. Moi à 14 ans j'étais un gamin. Je jouais encore aux gendarmes et aux voleurs. 

    La vie de Zachée est beaucoup moins mouvementée qu'auparavant. Il peut affronter l'avenir sereinement. Il arrive même à partir en colonie de vacances du 12 au 27 juillet,  via l'association du centre Beaumotte venant en aide aux migrants. Trois jours avant la fin du séjour, à la base de loisirs du Val de Bonnal en Haute-Saône, il se noie dans une zone de baignade pourtant surveillée. Tous choqués, les bénévoles de l'association Sol Mi Ré, sa conseillère pédagogique et son ami Mamadou racontent leurs souvenirs de Zachée, et leur incompréhension face aux circonstances de son décès. 

    Après avoir réussi à traverser la Méditerranée, se noyer dans un lac... C'est injuste...

    Reportage : Valérie Borst 

    Réalisation : Clémence Gross

    Chanson de fin : Mpodol - Blick Bassy. Album : 1958 Label: No format  (2019)

    France Culture

    Les Pieds sur terre

    Par Sonia Kronlund
    du lundi au vendredi de 13h30 à 14h

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  • Pourquoi une journée mondiale des réfugiés le 20 juin ?

    Décrétée en décembre 2000 par une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, cette journée est l’occasion de rendre hommage aux personnes qui ont dû tout fuir, afin de saluer leur espoir et leur courage de reconstruire leur vie en sécurité. (A/RES/55/76)

    La date du 20 juin a été choisie pour coïncider avec la Journée du réfugié africain qui préexistait.

    Elle a été célébrée pour la première fois le 20 juin 2001.

    Il ne s’agit pas vraiment de partager un fardeau. Il s’agit de partager une responsabilité mondiale, fondée non seulement sur le principe général de notre humanité commune, mais aussi sur les obligations particulières qui nous incombent en vertu du droit international. Les problèmes fondamentaux, ce sont la guerre et la haine, et non pas les personnes qui sont obligées de fuir; les réfugiés font partie des premières victimes du terrorisme.

    Article complet

    https://www.amnesty.fr/focus/20-juin-journee-internationale-des-refugies

     

    Réfugiés dans le port de Chios - 2016

     

    Journée Mondiale des réfugiés

      Journée Mondiale des réfugiés

    Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L'une parmi les plus connues est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays.

    Solidarité africaine

    En témoignage de solidarité avec l'Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.

    Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin. L'Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.

    Une seconde journée est consacrée aux réfugiés : la journée mondiale du migrant et du réfugié, instituée par l'église catholique et célébrée le 17 janvier.

    Un record dont on se passerait volontiers...

    Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a publié le 19 juin 2019 son rapport annuel. Il nous révèle que le monde comptait fin 2018 un nombre record de 70,8 millions de déracinés ayant fui des guerres ou des persécutions. Il s’agit d’un niveau jamais atteint depuis la création du HCR, il y a 70 ans.

    • 2 fois plus de personnes déracinées qu'il y a 20 ans
    • 2,3 millions de personnes supplémentaires par rapport à l'année 2017

    Le mode de calcul de l'ONU permet de catégoriser le nombre total de "déracinés" dans le monde de la façon suivante :

    • les réfugiés (25,9 millions)
    • les déplacés internes (41,3 millions)
    • les demandeurs d'asile (3,5 millions).

    Un site à visiter : www.unhcr.org


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