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    L’équipe bénévole Aide et Action du sud des Hauts de Seine propose un concert :
    Chants du Monde  le samedi 28 juin 2014 à 21h

     
    en l’église luthérienne Saint Marcel 24 rue Pierre Nicole 75005 Paris.

     
    Métro Port Royal. Participation libre au profit d’Aide et Action


    Nasrin Pourhosseini, chef de chœur et metteur en scène, collecte et arrange des chants traditionnels de diverses ethnies. 27 choristes, un accordéoniste et un percussionniste interprètent sous sa direction des chants de divers pays et de France…

    Contact : chantsdumonde@yahoo.fr
    Nous serons heureux de vous y accueillir nombreux avec vos amis.
     



    L'équipe bénévole de Châtenay-Malabry

     


    Contact: Marie-Christin Martinerie 
    mcmartinerie@club-internet.fr

    06.07.64.96.49


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  • "Europe-passoire" contre "Europe-forteresse". La question des frontières de l'Union européenne peine à s'affranchir des slogans définitifs, en cette période de campagne pour l’élection des eurodéputés, le 25 mai. Pourtant, la nuance s’impose : si l’Europe des frontières existe bel et bien, elle peine à trouver son fonctionnement. Pixel, reportage multimédia et interactif, est signé Frédéric Says.


     

    (Zuchero © Fotolia.com)

     

    La suite et écouter (audio)

    http://www.franceculture.fr/emission-pixel-frontieres-l-echelon-europeen-est-il-le-plus-pertinent-2014-05-16#xtor=EPR-32280591


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  • ONE
     

    Beaucoup de choses ont changé en une décennie.

     

    Il y a 10 ans, Facebook n’existait que sur un ordinateur dans un dortoir d’étudiant. Les tweets, les hashtags ou les iPhones n’existaient pas. Les seules personnes qui « occupaient » Wall Street portaient des costumes et le Tea Party était empreint d’un accent colonial de Boston. Et ONE démarrait à peine.

     

    A dire vrai, tout a commencé à la demande de Nelson Mandela et Desmond Tutu. Et franchement, qui dit non à ces deux là ?

     

    Il était nécessaire, selon eux, que les citoyens du monde entier se mobilisent pour soutenir les pays les plus pauvres et appeler les dirigeants mondiaux à faire plus pour aider les populations les plus démunies de la planète.

     

    C’est ainsi que ONE est née.

     

    Plusieurs d’entre nous se sont rassemblés à la Liberty Bell à Philadelphie pour lancer une campagne permettant de sortir des millions de personnes de la pauvreté. Nous savions que chacun d’entre nous peut faire la différence, mais quand nous nous mobilisons tous ensemble – nous pouvons changer le monde.

     

    10 ans plus tard, je suis impressionné par tout ce que vous avez accompli, en travaillant ensemble à travers des continents et des idéologies diverses, et en ayant la ferme conviction que la lutte contre l’extrême pauvreté n’est pas une question de charité mais de justice et d’égalité.

     

    L’annulation de la dette envers une douzaine de pays d’Afrique a permis de scolariser 54 millions d’enfants. L’aide au développement est aujourd’hui plus efficace et transparente. Des lois ont été adoptées pour s’assurer que les entreprises pétrolières, gazières et minières basées dans les pays pauvres ne pillent pas les ressources de la population locale. 7,5 millions de personnes en Afrique vivent grâce aux traitements antirétroviraux ; le nombre de décès liés au paludisme a été réduit de moitié dans 13 pays à travers le continent. Vos appels, vos lettres, vos réunions publiques, vos tweets ont poussé les dirigeants politiques, qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre, à prendre position dans la lutte contre l’extrême pauvreté.

     

    Le slogan de ONE est une des rares choses qui est restée inchangée : “Nous ne vous demandons pas votre argent mais votre voix ». Aujourd’hui, dix ans après, nous voulions vous remercier d’avoir fait entendre votre voix – que ça soit à travers un clic, un e-mail, une lettre, un coup de téléphone, une conversation, une manifestation, un sit-in, un stand-up…

     

    Vous avez fait entendre vos voix, ensemble - ce qui a fait toute la différence.

     

    Merci.

     

    Bono

     

    ONE | Lutter contre la pauvreté et les maladies évitables


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    Caroline Simonds, 62 ans, anime depuis vingt ans une troupe de clowns hospitaliers, qui interviennent dans des services pédiatriques partout en France. Elle a ouvert l’an dernier un Institut de formation du rire médecin, pour diffuser son expérience.

    Laurence Lemoine

    Faire rire était dans ma nature, semble-t-il. Lorsque j’avais 5 ou 6 ans, mon oncle me demandait de lui faire des grimaces quand il était déprimé. Il m’a raconté ça récemment. Mais moi, je ne voulais pas devenir clown. Je voulais être “docteure”. À 18 ans, j’ai fait un stage dans le service de grands brûlés d’un hôpital de Philadelphie – je suis américaine. À l’époque, on ne donnait pas de morphine. J’avais la charge de trois enfants venus du Viêt Nam, brûlés au napalm. Je pense que c’est à ce moment-là, pendant que j’essayais d’enlever leurs bandages, que j’ai fait mes premiers pas dans l’accompagnement du soin par le rire. Au bout de deux mois, à force de pleurer sur l’état de mes petits patients et la cruauté de la hiérarchie, j’ai décidé d’abandonner la médecine. J’ai annoncé à mes parents qu’au lieu de faire du mal aux gens, j’allais leur faire du bien.

     

    L'appel de l'hôpital

    L'association

    Le Rire médecin a reçu en janvier dernier le prix de l’humour de résistance, décerné par le Phare (Parti de l’humour attitude et d’en rire ensemble).Leriremedecin.asso.fr

    Au début des années 1970, je suis venue m’installer à Paris. C’était juste après 68, l’atmosphère était géniale, poétique. Pendant dix ans, j’ai vécu une vie de saltimbanque au sein d’une troupe de rue, le Palais des merveilles. Nous vivions dans un camion, débarquions dans des villages, tendions un fil et un rideau. J’adorais la rencontre avec toutes sortes de publics ! À 30 ans, je suis rentrée à New York, seule avec mon nouveau-né. C’étaient les années 1980, il ne faisait plus bon faire la manche dans les rues. J’ai commencé à me produire dans des cabarets, où je chantais en français. J’ai élevé ma fille, rencontré un autre homme. Je ne sais pas pourquoi, l’hôpital s’est rappelé à moi, vingt ans après mon expérience d’aide soignante. En 1988, j’ai été conviée à me déguiser en dinde pour les enfants d’un service de cancérologie. J’ai débarqué avec des pattes d’oiseau et des ailes colorées. Je n’avais jamais côtoyé d’enfants cancéreux. Ça m’a bouleversée, dans le bon sens du terme.

    Les situations extrêmes demandent d’être à la hauteur, d’avoir de la créativité. À près de 40 ans, j’avais envie de ça. J’ai commencé à travailler avec Le Big Apple Circus Clown Care Unit. Nous étions six. C’était très nouveau. Mais je n’étais pas satisfaite. Aux États-Unis, le monde du spectacle est tourné vers la performance. Je préférais l’improvisation, m’ajuster à l’enfant. Mon mari et moi avions des envies de maison dans le sud de la France. J’ai commencé à rêver de ma propre compagnie de clowns, envoyé des dossiers à quelques hôpitaux parisiens. Je ne voulais pas seulement faire de l’animation, j’avais envie de travailler main dans la main avec les soignants. Je voulais des clowns professionnels, formés à leur art mais aussi à la douleur, au deuil, aux problématiques adolescentes… J’ai rencontré des gens extraordinaires à l’Institut Gustave-Roussy [à Villejuif, ndlr] et à l’hôpital Louis-Mourier [à Colombes]. Grâce à des subventions conséquentes, nous avons pu nous lancer.

    La suite :

    http://www.psychologies.com/Planete/Solidarite/Articles-et-Dossiers/Je-suis-clown-a-l-hopital


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  • Journée Internationale des familles

     

    Proclamée par l'Assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution du 20 septembre 1993, cette journée est une manifestation qui reflète l'importance que la communauté internationale attache à la famille, cellule de base de la société, ainsi que l'intérêt qu'elle porte à la situation des familles dans le monde. Et inciter les gouvernements à faire porter leurs efforts sur la politique familiale.

     

    La Journée internationale des familles est une occasion de mieux faire comprendre les problèmes que connaissent les familles et stimuler les initiatives appropriées. Elle pourrait devenir un facteur de mobilisation puissant dans tous les pays qui cherchent à apporter une réponse aux problèmes qui se posent aux familles de chaque société. La Journée internationale des familles offre également l'occasion de mettre en relief la solidarité qui unit les familles dans leur recherche d'une meilleure qualité de vie.

     

    La situation des familles en France

    Les statistiques sont formelles : la famille a la cote en France ! Depuis le début du troisième millénaire, les mariages et les naissances sont en augmentation constante. Avec 778 900 naissances en 2000 et 774 800 en 2001 (source : INSEE), les chiffres de la natalité française restent à un niveau élevé. Le nombre des mariages est lui aussi en augmentation, indépendamment de la progression du nombre de pacs.

    Les gouvernements, organisations non gouvernementales, établissements d'enseignement, groupes religieux et individus peuvent aider à faire connaître les fonctions remplies par les familles et leurs problèmes, leurs points forts et leurs besoins, en organisant des manifestations à l'occasion de la Journée internationale des familles. Cette journée est aussi l'occasion de mieux comprendre les processus économiques, culturels, sociaux et démographiques qui ont une incidence sur les familles.

    Un site à visiter : www.notrefamille.com

     

    Source :

     

    http://www.journee-mondiale.com/

    pps

    Sur ma planète :

    Pour rire un peu

    Lien de l'image

     

    http://roselyne.musicblog.fr/r52928/Rire-un-peu-parfois-ca-aide-a-comprendre/

     

    CE 15 MAI 2014 ... JOURNEE INTERNATIONALE DES FAMILLES ... ! !

     

    Cliquez ici pour télécharger le PPS/DIAPORAMA


    Pour sauvegarder le fichier sur votre pc, cliquez sur le liens avec le bouton de droite de votre souris.

    Source

    http://ma-planete.com/

     

     

     

     

     


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