• Aujourd'hui, la nourriture nous intéresse pour ses invendus et ses aliments déclassés : comment lutter contre le gaspillage alimentaire ? Avec militants associatifs et professionnels du sujet, nous parlons économie sociale, solidaire et collaborative, mais aussi cuisine et lien social.

    illustration de la tribune LA GUERRE AU GÂCHIS AURA BIEN LIEU,  écrite par Bastien Beaufort, co-fondateur de Disco Soupeillustration de la tribune LA GUERRE AU GÂCHIS AURA BIEN LIEU, écrite par Bastien Beaufort, co-fondateur de Disco Soupe Crédits : Les Gars’Pilleurs / D.S

     

    Avec Antoine Vernier, chargé de mission au Service prévention et gestion des déchets de l'ADEME - Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie ; avec Samanta Vergati, fondatrice de l’association ALTRIMENTI, qui sensibilise au gaspillage alimentaire en donnant une deuxième vie aux produits déclassés ; William Perrault et Mathieu Eisinger de DISCO SOUPE, mouvement solidaire et festif qui s'approprie l'espace public et le rebut alimentaire, à travers des RDV dans toute la France ; avec Aladdin Charni, fondateur de la cantine participative FREEGAN PONY (Paris 19). Table ronde autour du gâchis alimentaire et des alternatives de lutte, comme la récupération d’invendus de la grande distribution.

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     https://www.franceculture.fr/emissions/les-nouvelles-vagues/la-nourriture-25-le-grand-gachis#xtor=EPR-2-[LaLettre01032017]


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  • Ne voyez vous pas le danger qui est en train de se mettre en place avec votre consentement ?

    Si le cash disparait, chacun de nous n'aura plus aucune liberté d'action

    car tout passera par les banques qui auront tout pouvoir sur nos fonds et nos vies puisque nos vies dépendront uniquement de leur système. 

    En laissant faire, nous leur donnons TOUT NOTRE pouvoir !

    Dites NON ! Bougez !  

     La lente et inexorable disparition du cash, un phénomène dangereux

    La lente et inexorable disparition du cash, un phénomène dangereux

    Christine Defraigne, la très dynamique présidente du Sénat, a organisé ce lundi 17 octobre un colloque très intéressant sur le respect de la vie privée des citoyens et la protection de nos données personnelles face aux nouvelles technologies.

     

    © iStock

     

    L'occasion d'écouter plusieurs experts de divers horizons et pour ma part, de revenir modestement sur un phénomène silencieux, qui ne fait pas de vague, mais qui s'il se concrétise un jour pourrait s'avérer très dangereux.

    Et ce phénomène, c'est la suppression lente et inexorable du cash dans nos sociétés. Exemples : en Belgique, par exemple, tout paiement au-delà de 3000 euros ne peut plus se faire en cash et doit passer par virement bancaire. En France, comme toujours, le gouvernement se montre excessif, et l'interdiction porte sur tout paiement supérieur à 1000 euros, autant dire rien !

    Par ailleurs, en Europe, le billet de 500 euros a été supprimé par la banque centrale européenne sous prétexte qu'il sert également de couverture au terrorisme. C'est oublier que les terroristes utilisent aussi nos routes et notre éclairage public, et qu'il n'est pas question pour autant de les supprimer. C'est aussi omettre, que l'un des terroristes de Paris a acheté sa Kalachnikov via Cetelem, un organisme de crédit, et donc sans cash.

    La suppression du cash est pourtant à la mode dans les discours politiques et la révolution numérique ne fait rien pour arranger les choses puisque les paiements se font et se feront de plus en plus virtuellement, via notre smartphone.

    Sans le cash, les citoyens seront à la merci des gouvernements surendettés qui pourront d'un coup de clavier bloquer ou taxer leur épargne.

     

    Les festivaliers qui se sont rendus à Tomorrowland ont pu constater que ce festival est 100% sans cash : le bracelet qu'ils ont reçu à domicile et qui donne accès au site servait également de porte-monnaie électronique pour les boissons et la nourriture.

     

    En clair, tout est fait pour décourager l'usage du cash. Les économistes les plus distingués au monde encouragent aussi sa disparition. C'est là que le danger apparait en toutes lettres : sans l'option du cash, les citoyens seront à la merci des gouvernements surendettés qui pourront d'un coup de clavier bloquer ou taxer leur épargne.

     

    Ne rigolez pas, c'est ce qui s'est passé en gros à Chypre, il n'y a pas si longtemps. N'oublions pas que si le cash disparaît les gouvernements pourront aussi plus facilement imposer un taux d'intérêt négatif sur nos comptes d'épargne vu qu'il sera impossible de retirer l'argent de la banque puisque l'argent sera totalement dématérialisé !

     

    Or, un taux d'intérêt négatif n'est rien d'autre qu'un impôt qui ne dit pas son nom et qui n'a pas été voté et débattu au parlement ! Sans oublier qu'une société sans cash est une société qui garde la trace de toutes nos transactions financières même les plus anodines, ce serait donc une société totalitaire.

     

    Dans cette discussion sur la protection de nos données, une discussion qui est majeure aujourd'hui en raison de la révolution numérique, mais également en raison de son usage par les terroristes, nos députés et sénateurs doivent également éviter d'aller vite en besogne. Ils doivent prendre bien soin de ne pas jeter le bébé cash avec l'eau du bain numérique. Ne perdons pas non plus de vue ce que disait Benjamin Franklin, "un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre et finit par perdre les deux".

     

    http://trends.levif.be/economie/

     

     


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    Un rapport du Conseil d’orientation pour l’emploi paru en janvier indique que près de la moitié des emplois sont susceptibles d’être fortement modifiés du fait de l’automatisation et de la numérisation de l’économie.

    François Hollande viste la plateforme Platinium 3D à Charleville-Mézières le 19 janvier 2017François Hollande viste la plateforme Platinium 3D à Charleville-Mézières le 19 janvier 2017 Crédits : FRANCOIS NASCIMBENI - AFP

     

    Plus que l’hypothèse de la raréfaction du travail, dont l’ampleur est encore largement débattue, ce sont de ses mutations dont nous parlons ce matin.

     

    Mutations quantitatives d’une part : la multiplication des contrats courts et la paupérisation de certaines catégories de travailleurs interrogent sur la valeur du travail et les protections à apporter à ceux qui le produisent.

     

    Mutations qualitatives d’autre part, à l’heure où les nouvelles technologies modifient les modes d’organisation du travail, la plateforme de VTC Uber constituant à cet égard un des exemples les plus emblématiques de cette nouvelle économie.

     

    Pour en discuter ce matin, Guillaume Erner reçoit deux sociologues : Didier Demazière sociologue, spécialiste du travail et de l’emploi, directeur de recherche du CNRS rattaché au Centre de Sociologie des Organisations de Sciences Po, et Danièle Linhart également sociologue du travail, et directrice de recherche émérite au CNRS. En deuxième partie, ils seront rejoints par Grégoire Kopp, porte-parole d’Uber France.

     

    Intervenants

     L'Invité des Matins

     

    À découvrir

    Le travail, un avenir en pointillé ? (2ème partie)


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  • Depuis la rentrée de septembre 2016, sept lycéens du lycée général technologique Auguste Blanqui de Saint-Ouen, aux portes de Paris, se sont retrouvés sans toit, à la rue avec leurs familles. Ils dormaient sous des abris-bus, des parkings. Deux d'entre eux racontent leur histoire, jour après jour...

    . Crédits : PHOTOPQR/LE PARISIEN - Maxppp

     

    Chanson de fin : "Taro" par Alt-J - Album : "An awesome wave" (2012) - Label : Infectious.

    • Reportage : Leila Djitli
    • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

    Les dons, aides ou soutiens sont à adresser au collectif : « Les Blanquisards » Amicale du Lycée Auguste Blanqui, 54 Rue Charles Schmidt, 93400 Saint-Ouen ou à l'adresse mobilisation.blanqui@gmail.com

     

     

    Les Pieds sur terre

     

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    Séverine Mayer a lancé une pétition pour demander la suppression du délai de prescription pour les crimes pédophiles, ce délai qui l'a empêché de porter plainte contre son bourreau, elle qui a "mis bien plus de 20 ans pour être prête à parler vraiment".

    Séverine en est convaincue : il faut "donner le temps aux victimes de parler" et cela ne peut selon elle pas se faire sans un changement dans la législation.

    Grâce à son courage et à sa détermination, Séverine a réussi à remettre au coeur du débat public un sujet difficile et tabou qui a réveillé chez elle de douloureux souvenirs.

    De nombreuses personnalités ont rejoint son combat en appelant via les réseaux sociaux à supprimer ce délai de prescription qui empêchent toujours de nombreuses victimes de faire condamner leur agresseur.

    A trois mois de l’élection présidentielle, elle souhaite adresser la pétition aux candidats pour connaître leur position sur le sujet et obtenir des engagements de leur part.

    Séverine a besoin de vous. Plus vous serez nombreux à signer sa pétition, plus elle aura du poids auprès des candidats et plus elle aura de chance de faire aboutir son combat.

    Pour signer la pétition cliquez ici.

    Merci d’agir pour le changement.

    Naïma et toute l’équipe de Change.org

     


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