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Par roda83 le 22 Janvier 2016 à 10:51
Qu’il s’agisse de l’Indonésie, de l’Amazonie ou de la forêt boréale canadienne, partout dans le monde, les espaces de forêts vierges reculent jour après jour.
Par chance, au Québec, il existe encore des espaces forestiers immenses qui n’ont pas été touchés par l’industrie. Si je vous écris aujourd’hui, c’est parce qu’une nouvelle menace s’annonce pour la fôret de la Broadback et nous allons avoir besoin d’un fort soutien de votre part.Le gouvernement du Quebec, par le biais du COMEX (bureau d’audiences publiques en environnement de la Baie James), étudie actuellement la possibilité d’autoriser la construction de deux grandes routes d’une longueur totale de 126 kilomètres à travers une des dernières forêts vierges située au coeur du territoire traditionnel de la petite communauté crie de Waswanipi. Ces deux routes représentent une nouvelle menace pour la biodiversité unique de la forêt Broadback puisqu’elles induisent la construction de dizaines de routes secondaires qui fragmenteraient radicalement l’habitat de nombreuses espèces ménacées.
DITES AU COMEX
DE PROTÉGER LA BROADBACK !Le projet n’ayant pas encore été approuvé, nous pouvons empêcher la construction de ces routes. Mais nous devons être nombreux pour appuyer les Cris de Waswanipi.
La mission première du COMEX étant de protéger les intérêts et l’environnement des communautés de la Baie James, il ne peut donner son aval à un tel projet.
Nous avons jusqu’au 18 février pour apporter notre soutien à la communauté de Waswanipi. La forêt ne peut se défendre elle-même, et les Cris de Waswanipi ont besoin du maximum de soutiens possibles. Envoyez un message à André Boisclair, Président du COMEX, dès maintenant.
Merci pour votre implication !
Solidairement,
Nicolas Mainville,
Responsable de la campagne Forêt
Greenpeace CanadaSite France :
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Par roda83 le 21 Janvier 2016 à 13:56
C'est en voyant un mimosa magnifique dans ma ville, que je l'ai photographié pour l'immortaliser et pour partager ce texte avec tous mes amis...
Musique : Eternally -Roger Saint-Denis
(Génération : Music for Lifes Special Moments)
Le mimosa et ses pompons d'or,
Au cœur de l'hiver,
Au loin, sur le ciel bleu
Or flamboyant, lumineux,
Attirant le regard
Un mimosa prend toutes ses couleurs.
Et vient embaumer, l'air de ses senteurs
Ses branches couvertes de petits pompons d'or
Rappellent la douceur
Des poussins, qui viennent d'éclore,
Ses petites fleurs
Dès qu'on les touche , réagissent
plante sensitive...elles se rétractent.
Le mimosa est apprécié,
Pour ses couleurs vitaminées
Autrefois, il ne poussait pas dans notre pays
Mais, Faisant partie de l'aventure Humaine
Ses graines furent ramenées d'Australie,
Importées en France sur la côte méditerranéenne
Le mimosa, s'adapta formidablement
à son nouvel environnement...
Dès le mois de janvier
Il est connu
Pour être vendu,
Souvent utilisés
Dans la confection de bouquets
Pour apporter une note ensoleillée,
Et ainsi venir parfumer
l’intérieur des Foyers.
Le mimosa fait partie
De la famille de l' acacia
La légende dit
Qu'en hiver il fleurit
Parce qu'il a gardé
De ses Origines en Australie.
La mémoire de sa date de floraison...
Le mimosa, pluie d'or parfumée,
D'une senteur subtile,
Nous parle de l'accent du midi, du soleil,
Il en symbolise la magnificence.
Il évoque l’élégance, la tendresse,
Les amours secrètes, non avouées
C’est la fleur des retrouvailles.
l’image de la vie triomphante,
En rapport de sa robustesse
la victoire sur les forces du mal.
En Australie le mimosa
Représente la Fleur Nationale
il est aussi l’emblème de la sécurité,
Et délivre un message de Paix et d’amitié.
Danielle J. DanyAngel2 commentaires
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Par roda83 le 18 Juin 2015 à 07:24
Extrait d'une émission sur les murs végétaux, avec une interview de Patrick blanc.
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http://www.francetvinfo.fr/invite-patrick-blanc-et-le-mur-vegetal_408181.html
On l'appelle l'homme vert parce qu'il a crée il y a 30 ans le premier mur végétal.
Il installe des tableaux de plantes sur les façades du monde entier. Il inaugure aujourd'hui une nouvelle fresque végétale à Paris.
Voici maintenant l'invité des Cinq Dernières Minutes. Et cet invité c'est Patrick Blanc.
Vous avez créé 250 murs de végétaux dans le monde.
Vous en inaugurez un nouveau aujourd'hui en plein Paris.
L'Oasis d'Aboukir, parlez-nous de ce projet. Comment est-il né ?
Pourquoi était-ce si important de remettre du vert dans ce quartier.
Patrick Blanc :
Ce quartier est le 2e ardt de Paris, le quartier des textiles Il n'y a pas beaucoup de place pour le vert, donc c'était important.
Le propriétaire de l'immeuble a décide de me faire faire un jardin extérieur pour les passants
C'était une belle aventure, excitante, d'autant que c'était oriente sud-ouest. Les plante sont très fleuries contrairement au Quai Branly qui est au nord.
Comment avez-vous procédé ? On va voir la façade vierge puis la mise en place de votre réalisation.
Patrick Blanc :
Ce qu'il y a en haut est plus exposé au soleil et a la déshydratation Donc il faut choisir les plantes comme des strates; C'est comme en forêt, la canopée et en dessous le sous-bois. J'ai choisi 250 espèces différentes en haut et en bas.
Cela fait 30 ans que vous avez invente le premier mur végétal.
Vous avez mis en place des techniques qui permettent de ne pas endommager le bâtiment.
Patrick Blanc :
La technique c'est agrafer une serpillière sur une planche en plastique
C'est simple et très léger. je l'ai créée il y a 40 ans.
Au départ je voulais faire un filtre.
Cela pèse moins de 20 kg par m2. Mais ça veut dire qu'il n'y a aucune limite de travail sur la hauteur.
Que souhaitez-vous susciter chez le promeneur qui passe devant ce jardin vertical.
Patrick Blanc : Il y a une forme d'émotion car les immeubles dans le quartier sont "à touche-touche". Cette petite place, on la voit de loin avec le vert qui dépasse. C'est une oasis. Ce qui importe pour le promeneur, c'esst une impression de nature dans la ville. Il y a longtemps on vivait dans des cavernes avec des plantes qui poussaient On était lié aux plantes, même quand on était dans les grottes.
C'est utile aussi parce que ces murs végétaux deviennent des refuges pour la biodiversité. C'est un oasis mais aussi un isolant hors pair.
Patrick Blanc : Oui, les oiseaux et insectes s'en fouttent de savoir d'où vient la plante, Chine ou ailleurs. Ce qui les intéresse, c'est le nectar, les fruits, les refuges pour les nids. Différents animaux trouvent leur zone d'intérêt. Plus on a d'espèces, moins on a de maladies.
De quoi rêvez-vous maintenant? Quel bâtiment aimeriez-vous recouvrir.
Patrick Blanc : C'est pas en terme de bâiments, la prouesse ne m'intéresse ps Mon rêve est de réinstaller la ville où on ne l'attend pas. J'ai un projet sur 13 km à Kuala Lumpur. Faire dans des parkings, comme au Bharein. C'est très important car la nature doit revenir vers nous. Il y a ce tryptique : la ville, l'homme, la plante.
Patrick Blanc, merci. Pour voir votre nouveau mur végétal, l'Oasis d'Aboukir à l'angle de la rue d'Aboukir et de la rue des Petits-Carreaux à Paris. Fin de cette édition, merci de l'avoir suivie. Tout de suite, la météo de Philippe Verdier. A 20H, vous avez rendez-vous avec David Pujadas.
Silence ça pousse
http://www.france5.fr/emissions/silence-ca-pousse
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