• L’hiver n’est pas une saison morte. Le vent glacial, le tapis de neige, les longues nuits ne sont pas suffisants pour interrompre le processus de la vie. En janvier, dans le Jura, la nature se prête plus que jamais à l'observation. Stylisé sur le ciel blanc ou dans les arbres nus, tout un peuple d'oiseaux… Parmi nos oiseaux, le lagopède est de loin le mieux équipé pour affronter l’hiver. Une isolation thermique qui est affaire de plumes et de poils : au pôle nord, le pelage de l’ours polaire et du renard blanc les rend presque invisibles sur la neige ou la glace. Le blanc semble d’ailleurs être la couleur de l’hiver et ici les bouleux blancs nous rappellent ceux du Nord du Québec. La nature reprend son souffle. Les marmottes, le muscardin, les grenouilles et les salamandres hibernent, endormis. D’autres, comme les hérissons, les paupières mi-closes, sont très calmes, mais il ne faudrait pas grand chose pour les réveiller. L’éclosion printanière se prépare...

     

    Documentaire Animalier


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  • Pour en savoir plus : Site Internet Vivre avec les oiseaux
     

    http://vivre-avec-les-oiseaux.pagespe...

     

    Yann Le Meur


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  • l'habituel parc ou il y a toujours une bonne raison de s'y balader et de photographier selon mon envie.
     

    le parc d'ormesson sur marne

     

    DIAMANTCOSMOS

    DIAMANTCOSMOS


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  • Ouragans

     

    Inondations

     

    La terre en colère 122014

     

     

     

    Les colères de la Terre - Tornades

     

    Lorsque les cumulo-nimbus, les plus menaçants des nuages, deviennent tournoyants, les éclairs et les tornades se rencontrent, souvent de manière inexpliquée.

     

    Aux Etats-Unis, «l'allée des tornades», qui traverse plusieurs Etats au pied des Rocheuses, essuie plus d'un millier de tornades par an.

     

    Grâce à de nouveaux outils, les météorologues peuvent aujourd'hui mieux comprendre les phénomènes qui sont à l'origine des tornades. A travers les témoignages d'experts et à l'aide d'images numériques, découverte des dégâts engendrés par le passage d'une tornade de type F5 sur une grande ville des Etats-Unis.

     

    La Kapsule

     

     "L'homme pille la nature,

    mais la nature finit toujours par se venger."

     

    "Les Blancs se moquent de la terre, du daim ou de l'ours. Lorsque nous, Indiens, cherchons les racines, nous faisons de petits trous. Lorsque nous édifions nos tipis, nous faisons de petits trous.

    Nous n'utilisons que le bois mort.

     

    L'homme blanc, lui, retourne le sol, abat les arbres, détruit tout. L'arbre dit « Arrête, je suis blessé, ne me fais pas mal ».

    Mais il l'abat et le débite.

     

    L'esprit de la terre le hait. Il arrache les arbres et les ébranle jusqu'à leurs racines. Il scie les arbres. Cela leur fait mal.

    Les Indiens ne font jamais de mal, alors que l'homme blanc démolit tout. Il fait exploser les rochers et les laisse épars sur le sol.

     

    La roche dit « Arrête, tu me fais mal ».

    Mais l'homme blanc n'y fait pas attention.

    Quand les Indiens utilisent les pierres, ils les prennent petites et rondes pour y faire leur feu... Comment l'esprit de la terre pourrait-il aimer l'homme blanc?... Partout où il la touche, il y laisse une plaie."

    Vieille sage Wintu (Indiens de Californie)

     

    Le message prémonitoire des Indiens d'Amérique - Syti.net

     

    " l'Homme est l'espèce la plus insensée, il vénère un Dieu invisible et massacre une Nature, elle, bien visible, sans savoir que cette nature qu'il massacre est ce Dieu invisible qu'il vénère. "

     

    - Hubert Reeves -


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  • s

     

    Au regard de l'état critique de la biodiversité et des relations exclusivement mercantile et réifié d'une grande partie des sociétés humaines à la nature, est-il envisageable d'espérer un changement de paradigme ?

     

    Peut-on espérer tirer enseignement des rapports très intégrés et égalitaires que les sociétés améridiennes entretiennent avec la Nature ?

     

    L'éthique et les solutions scientifiques proposées pourront-elles faire évoluer les prééminences économiques et politiques ?

     

    Intervenants

    • Vincent Devictor : chargé de recherche au CNRS, Institut des sciences de l’évolution de Montpellier (ISEM)
    • Philippe Descola : Professeur d'anthropologie au Collège de France

    Planète terre

     
     
     
    Sur France Culture

     

     


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