• Une pétition est en ligne : Protégeons les enfants d'Hanane, sur le site www.change.org.

     

    Pour intégrer le comité de soutien : soutienhanane@gmail.com

     

    Yann Le Meur

     

    Petition · Laura Boldrini: PROTEGEONS LES ENFANTS D'HANANE ..

    Ploufragan. Le triste Noël d'Hanane, séparée de ses enfants [vidéo]

     


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  •  Animal cross se prépare à attaquer conjointement  avec les associations L.PEA et L 214 le décret du 6 décembre émanant du Ministère de l’Environnement  qui permet d’entasser 800 veaux à l’Usine, mais également de favoriser l’implantation de nouvelles fermes-usines. Notre cause sera brillamment défendue par Me JC Menard, avocat. 

     

    La consultation publique de ce décret est passée totalement inaperçue au mois de juin dernier. Pourtant cette décision est lourde  de conséquences : le décret double le seuil d’animaux avant procédure d’autorisation. De 400 à 800 pour les veaux de boucherie et à l’engraissement, de 200 à 400 pour les vaches laitières. Cela veut dire que l’Usine des 1000 Veaux va pouvoir tourner à 800 bêtes sans enquête publique, ni étude d’impact, en déposant simplement un dossier d’enregistrement en Préfecture.

     

    Signez la pétition pour l’annulation du nouveau décret en faveur des fermes-usines 

    Qu’est-ce que l’usine des 1000 veaux ?

    Il s’agit d’un centre d’engraissement géant, sur le modèle d’une agriculture intensive, à l’instar des 1000 Vaches de la Somme. Les veaux y passent un peu plus de 200 jours, le temps de doubler leur poids.

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     L’un des veaux de l’Usine…(c L-PEA)

     

    1000 veaux parqués dans de grands hangars, sans voir la lumière du jour ni l’herbe des prés. 
     

    Les veaux sont gavés à base de composés industriels, d’OGM et d’un cocktail d’antibiotiques : ce mode d’élevage représente un grave danger pour la santé publique mais également pour l’environnement, tout en représentant une atteinte au bien-être animal.
     

    Ils n’en sortent que pour être égorgés en pleine conscience, au sein d’un abattoir de la SVA Jean Rozé, à Vitré, en Ille et Vilaine.

     

    Pour en savoir plus sur la ferme des 1000 veaux : voir le site de l’association L-PEA

    source

    https://www.animal-cross.org/


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  • Les abeilles traversent une crise mondiale qui menace notre chaîne alimentaire. Aujourd'hui, le Canada pourrait changer la donne et interdire un des pire produits chimiques tueurs d'abeilles, mais les grosses firmes de l'agrochimie ripostent. C'est à nous de les arrêter! Formons un gigantesque essaim pour sauver nos abeilles:

     

    SIGNEZ ICI

     

    Partout dans le monde, nos abeilles traversent une crise gravissime. Étant donnée leur importance pour notre alimentation, c'est un désastre pour nous aussi. Mais si nous agissons vite, nous avons une chance unique de les sauver!

    Certains produits chimiques mortels utilisés dans l'agriculture sont considérés comme une cause clef de l'effondrement mondial des populations d'abeilles -- or, le Canada est sur le point d'interdire l'un des pires du marché. S'ils vont jusqu'au bout, cela créerait un fantastique précédent!
     


    Mais le géant de l'industrie chimique Bayer, en pleine fusion avec Monsanto, met le Canada sous pression pour garder leur produit tueur d'abeilles dans les rayons. C'est là que nous intervenons -- formons un essaim d'un million de personnes en faveur d'une interdiction, et remettons notre appel directement au Premier ministre canadien Justin Trudeau pour aider à sauver nos abeilles!

    Ensemble, sauvons les abeilles -- nous avons besoin de tout le monde!

    Les abeilles sont de remarquables créatures qui permettent la vie sur Terre. Elles pollinisent près des trois quarts des principales cultures du monde, mais selon les experts, l'agriculture chimique est la cause de l'effondrement de l'espèce.

    Aujourd'hui, la plus haute autorité sanitaire du Canada en appelle à une interdiction pour protéger l'existence des insectes, mais les grandes entreprises de l'agrochimie ripostent. Les abeilles, elles, n'ont pas de lobbyistes pour défendre leur cause -- elles n'ont que nous!

    Les abeilles ne sont pas les seules à courir un risque -- l'Imidaclopride, le produit chimique en question, empoisonne également les insectes aquatiques qui sont à leur tour mangés par les poissons, les oiseaux et d'autres animaux! Une interdiction au Canada créerait un précédent au niveau mondial, alors mobilisons-nous pour nos abeilles partout dans le monde contre les rois du tout-chimique.

    Ensemble, sauvons les abeilles -- nous avons besoin de tout le monde!
    Nous l'avons fait par le passé -- lorsque l'Europe a envisagé l'interdiction d'un produit tueur d'abeilles, nous avons inondé les ministres de milliers de messages, lancé une énorme pétition, financé des sondages d'opinion et mené des campagnes ciblant les principaux pays qui s'opposaient à cette mesure. Et nous avons gagné! Aujourd'hui, faisons résonner nos voix au Canada!!

    Avec espoir,

    Bert, Ari, Oli, Camille, Ricken et toute l'équipe d'Avaaz

    Pour plus d'informations:

    Un pesticide néonicotinoïde en voie d'être interdit au Canada (Equiterre)
    http://www.equiterre.org/actualite/un-pesticide-neonicotinoide-en-voie-detre-interdit-au-canada

    Des apiculteurs heureux de l'interdiction de certains pesticides (Radio Canada)
    http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1002089/abeilles-pesticides-elimination-neonicotinoide

    2017, année décisive pour les insecticides "tueurs d’abeilles" (Le Monde)
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/01/12/2017-annee-decisive-pour-les-insecticides-tueurs-d-...

    Les abeilles officiellement reconnues comme espèce en voie de disparition (Science Post)
    http://sciencepost.fr/2016/10/abeilles-officiellement-reconnues-espece-voie-de-disparition/

    Que se passerait-il si les abeilles disparaissaient? (Maxisciences) 
    http://www.maxisciences.com/abeille/que-se-passerait-il-si-les-abeilles-disparaissaient_art34737.htm...

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  • GREENPEACE

     

    Vous connaissez peut-être HSBC, la plus grande banque européenne. Nous avons mené un gros travail d’investigation qui prouve qu’elle finance largement des entreprises d’huile de palme. Certaines de ces entreprises, nous vous en avons souvent parlé, détruisent la forêt en Indonésie. Nous avons des images des dégâts catastrophiques causés par ces industries à la flore et la faune d’une forêt à la biodiversité exceptionnelle.
     

     Demandez à HSBC d'arrêter de financer la déforestation, signez la pétition : https://act.greenpeace.org/page/5284/...



    Ces images tournées secrètement montrent des bulldozers du groupe Salim – une entreprise qui a emprunté des millions à HSBC – en train de détruire des forêts indonésiennes.

     

     
    La déforestation conduit les orangs-outans au bord de l’extinction. Des vies humaines sont également en jeu : la déforestation cause des incendies dont les fumées toxiques sont pointées du doigt dans des milliers de morts prématurées chaque année. Le recul des forêts aggrave par ailleurs les changements climatiques en rejetant du gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

    Pourtant, HSBC finance sans vergogne à coup de centaines de millions de dollars ces destructions.

    Les sociétés incriminées sont responsables de pratiques scandaleuses : accaparement des terres appartenant à des communautés locales, opérations sans autorisation légale, exploitation des travailleurs, travail des enfants, feux de forêts, ou encore drainage et transformation des tourbières riches en carbone.

    Dites à HSBC d’arrêter de financer ces entreprises destructrices. Les forêts et les orangs-outans d’Indonésie ne doivent pas banquer !

     
     
     
    Signez la pétition
     

    Sur son site Internet, HSBC affirme que « le développement durable est à la base de ses priorités stratégiques ». Les informations que nous avons recueillies prouvent le contraire !

    Les banques sont très attentives à leur réputation. Ensemble, nous pouvons révéler leur hypocrisie au grand jour et les forcer à changer leurs pratiques. Que vont penser les clients de HSBC en apprenant que leur banque investit dans la destruction des forêts ? Si vous êtes clients HSBC, raison de plus pour interpeller votre banque !

    Plus nous serons nombreux à signer, plus HSBC prendra conscience que ce scandale est public et qu’il faut changer de stratégie, et vite.

    Merci pour votre participation,

     
     
      Mehdi, pour l’équipe Forêts de Greenpeace  

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  •  

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    Les autorités saoudiennes ont entamé la nouvelle année en intensifiant la répression contre les militants des droits humains, s'attaquant une fois de plus violemment aux derniers vestiges d'une société civile dans le pays.

     

    Ces dernières semaines, plusieurs militants ont été arrêtés ou ont comparu devant la justice pour des motifs liés à leurs activités pacifiques de défense des droits humains, ce qui indique que les autorités ont l'intention de poursuivre la répression contre les dissidents pacifiques.

    Les défenseurs des droits humains, une espèce en voie de disparition

     

    Actuellement, en Arabie saoudite, toute personne qui ose défendre publiquement les droits humains est en danger. Comme cette répression généralisée ne semble pas s'épuiser, il est plus que jamais important que les soutiens internationaux de l'Arabie saoudite la dénoncent à voix haute. Les militants des droits humains disparaissent les uns après les autres, étant poursuivis en justice, incarcérés, réduits au silence par des manœuvres d'intimidation ou contraints à l'exil, et cela témoigne de la politique de tolérance zéro des autorités à l'égard de la liberté d'expression.

     

    Parmi ces personnes figure un militant poursuivi en justice pour avoir fourni des informations à notre organisation.

    2017, déjà sous le signe de la répression

    Cette série d'arrestations incite à craindre que 2017 ne soit une nouvelle année noire pour les droits humains en Arabie saoudite, les autorités poursuivant leurs tentatives d'anéantissement de tout ce qui peut ressembler à un mouvement de défense des droits humains dans le pays.

     

    10 janvier 2017 Abdulaziz al Shubaily, défenseur des droits humains et membre fondateur de l'Association saoudienne pour les droits civils et politiques (ACPRA), une organisation indépendante de défense des droits humains aujourd'hui dissoute, a comparu devant le Tribunal pénal spécial, qui s'occupe des affaires de terrorisme. Il a été condamné à une peine de huit ans d'emprisonnement en raison de son travail de défense des droits humains. Il était accusé, entre autres, d’avoir « été en contact avec des organisations étrangères » et d’avoir fourni des informations à Amnesty International pour deux rapports de l’organisation. Tous les autres membres de l'ACPRA ont été poursuivis en justice ou incarcérés.

     

    8 janvier 2017 Essam Koshak, défenseur des droits humains, a été convoqué pour un interrogatoire par le Département de police judiciaire (CID) à La Mecque vers 17 heures (heure locale). Il s'est immédiatement rendu au commissariat d'al Mansour, mais il a été placé en détention et n'est depuis pas rentré chez lui. Amnesty International a appris qu'Essam Koshak n'a pas été autorisé à prendre un avocat et qu'il est interrogé au sujet de son compte Twitter, qu'il a principalement utilisé pour envoyer des tweets sur la situation des droits humains en Arabie saoudite.

     

    5 janvier 2017 Ahmed al Mushaikhass, membre fondateur du Centre Adala pour les droits humains, une organisation indépendante de défense des droits humains qui n'avait pas été autorisée à se faire enregistrer en Arabie saoudite, avait reçu un appel téléphonique du CID qui lui demandait de se rendre au commissariat de police d'al Qatif pour un interrogatoire. Le 8 janvier, il a été transféré au commissariat d'al Dammam, où il est toujours détenu. Il est depuis interrogé par le Bureau des enquêtes et des poursuites judiciaires (BIP). Ahmed al Mushaikhass est un défenseur des droits humains dont le travail est reconnu ; il aide notamment les proches de personnes détenues dans la province de l’Est à exposer leur cas auprès des autorités. Son frère, Yussuf al Mushaikhass, a été condamné à mort en janvier 2016 parce qu'il avait participé à une manifestation dans la province de l’Est, et il risque à tout moment d'être exécuté.

     

    Lire aussi : Ali al-Nimr : le combat d’une mère pour son fils

     

    18 décembre 2016 Issa al Nukhaifi, défenseur des droits humains et membre de l'ACPRA, a été convoqué pour un interrogatoire au BIP à La Mecque. Il a été interrogé au sujet, entre autres, de ses tweets soutenant des militants des droits humains saoudiens et d'autres détenus. Il est actuellement incarcéré à la prison générale de La Mecque. Il avait déjà été incarcéré en 2013 en raison de son travail en faveur des droits humains et était resté trois ans en prison avant d'être remis en liberté en avril 2016. Il a continué après sa libération à dénoncer les violations des droits humains perpétrées en Arabie saoudite, représentant ainsi une épine dans le pied des autorités.

     

    Signez la pétition : Arabie Saoudite : un mineur condamné risque d’être exécuté

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    http://www.itele.fr/monde/video/arabie-saoudite-50-personnes-risquent-detre-executees-145063


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