• Rosen, ancienne prostituée, demande aux Sénateurs de voter la loi qui propose de lutter contre la prostitution en aidant les victimes et en pénalisant les clients. Rejoignez son appel . 

      

    Rosen Hicher est une "survivante". Tombée dans la prostitution après la perte de son emploi, elle a vendu son corps pendant 22 ans. Aujourd'hui, maman et mamie, elle s'en est sortie et se bat pour venir en aide aux victimes de cette "terrible violence sexuelle" qu'est la prostitution.

    Elle vient de parcourir 800 kilomètres à travers la France pour sensibiliser le public sur ce que subissent les prostituées et pour demander aux Sénateurs de voter la loi contre la prostitution adoptée fin 2013 par les Parlementaires mais qui est bloquée depuis cette date.

     

    Arrivée dimanche devant le Sénat à Paris, Rosen a aujourd'hui besoin de vous.

    Elle a lancé une pétition sur Change.org demandant au Sénat de voter cette loi qui prévoit notamment la pénalisation des clients et l'aide aux prostituées.

     

    Cliquez ici pour signer sa pétition.

      

    En entamant sa marche, Rosen n'était pas certaine d'être entendue. Mais elle a obtenu de nombreux soutiens dont celui de la secrétaire d'État en charge des Droits des femmes Pascale Boistard venue l'accueillir, ainsi que de 200 élus de tous bords qui ont publié une

    tribune le jour de son arrivée à Paris. Tous demandent au Sénat d'examiner la loi sans attendre.

    Rosen a plus que jamais besoin d'être épaulée dans son combat car les Sénateurs sont sous la pression des opposants à la pénalisation des clients, à l'image des "

    343 salauds", des personnalités qui l'an dernier ont défendu "leur droit à leur pute". Pour Rosen et les auteurs du texte de loi, la pénalisation du client est primordiale car les réseaux mafieux dont sont issues la majorité des prostituées vivent de l'argent des clients.

     

    Selon Rosen, "il nous faut tenter d'obtenir un monde meilleur, dans lequel plus aucune femme ne serait "à acheter", où plus aucun homme ne trouverait à "violer", abuser, et meurtrir, les femmes." 

    Si vous partagez sa vision, cliquez ici pour rejoindre la mobilisation.

    Merci pour votre action,

     

    Benjamin et toute l'équipe de Change.org

     


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    UN PAYSAN REFUSE D'ETRE EXPROPRIÉ PAR LE FOOT BUSINESS
    Lien de la pétition pour le soutenir:
    Il est le dernier paysan à s’opposer au tracé des voies d’accès à l’ « OL Land », le nouveau grand stade lyonnais. Neuf des 25 hectares de Philippe Layat, agriculteur céréalier, sont soumis à une procédure d’expropriation. Prix du rachat de ses terres ? 1 euro le mètre carré... La raison de l’expropriation ? Le projet pharaonique porté par le président de l’Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas en vue de l’Euro 2016 de football. Ce projet comporte notamment un nouveau stade de 60 000 places et nécessite l’aménagement de nouvelles infrastructures routières (notre précédente enquête).

    Le 14 mai dernier, la Cour administrative d’appel a annulé les déclarations d’utilité publique autorisant les expropriations.
    Aux yeux de la loi, cette annulation a un caractère « exécutoire, mais pas définitif ».
    Une nuance qui permet au chantier de se poursuivre. Depuis début septembre, le Grand Lyon a donc décidé de démarrer les travaux sur le terrain de Philippe Layat, dans le cadre des aménagements de l’accès sud du futur OL Land. « Un passage en force », dénoncé par Etienne Tête, l’avocat du cultivateur.

    Ces derniers jours, les appels à rassemblement se sont multipliés autour des terrains de Philippe Layat à Décines (Est lyonnais), afin d’exiger la suspension des travaux. Le 17 septembre, une délégation comprenant notamment le syndicat Confédération paysanne a été reçue par le cabinet de Gérard Collomb, Président du Grand Lyon. Dans un courrier du 4 septembre, le syndicat de paysans a demandé au Grand Lyon, au même titre que d’autres associations, de réviser le tracé de cette voirie desservant le stade, et coupant en deux son exploitation agricole. Le cabinet de Gérard Collomb a assuré que ces courriers ne resteraient pas lettre morte. Depuis 11 heures ce 1er octobre, une vingtaine de paysans de la Confédération paysanne et trois moutons se sont introduits par surprise dans le bâtiment du Grand Lyon. Ils entendent y rester jusqu’à avoir obtenu un rendez-vous avec le Président du Grand Lyon.

    Le tribunal de grande instance de Lyon rendra sa décision sur la légalité des arrêtés d’expropriation le 21 octobre. Les associations locales appellent à « agir vite ». Car même en cas de victoire de Philippe Layat au tribunal, les travaux risquent d’être trop avancés d’ici mi-octobre pour que les terrains puissent être restitués à l’agriculteur. Une pétition de soutien à Philippe Layat est en ligne. « Tous les 7 ans, nous perdons l’équivalent d’un département entier de terres agricoles qui sont transformées en routes, parkings et autres centres commerciaux, rappelle la pétition. Défendre Philippe Layat, c’est défendre notre avenir à tous, notre souveraineté alimentaire, et la démocratie contre les logiques spéculatives ».
     
      
    Vidéo plus longue sur FB  

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    Si le CETA était signé, les pays membres de l'UE empêchant l’importation de sables bitumineux pourraient devoir payer des compensations financières aux entreprises canadiennes

     

    Chers ami(e)s de la forêt tropicale,

    L’Union européenne négocie dans le plus grand secret des accords de libre-échange avec les Etats-Unis (TAFTA) et le Canada (CETA). S’ils étaient signés, ces Traités transatlantiques offriraient aux sociétés multinationales la possibilité de réclamer des compensations financières importantes à tout pays membre ou collectivité qui, pour préserver la nature par exemple, entraveraient leurs investissements ou leurs profits.

    Le samedi 11 octobre 2014 aura lieu dans toute l’Europe une Journée d’action contre le TAFTA et le CETA. À cette occasion, envoyons ce message clair à nos représentants politiques : n’abdiquez pas face aux multinationales ! Entendez vos concitoyens et rejetez les Traités transatlantiques :

    PÉTITION

    En remerciant toutes celles et tous ceux qui, régulièrement, nous aident à diffuser nos pétitions !

    Sylvain Harmat


    Sauvons la forêt


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    CCFD-Terre Solidaire République Démocratique du Congo : Enfer au pays de l'or noir !
    Tous Humains contre la faimJe me mobilise. JE SIGNE pour refuser le pillage de la RDC.
     
      En République Démocratique du Congo (RDC), l'exploitation pétrolière menace la survie même des populations et de l'environnement. L’exemple de Muanda, ville côtière du Congo, est particulièrement frappant.

    Exploitée depuis plus de 30 ans, ses gisements auraient dû faire la fortune de ses habitants. Or, il n’en est rien. Pire encore, tout s’est dégradé ! Au point qu'ils la nomment la « cité pétrolière la plus pauvre du monde ».

    La population de la ville vie dans un dénuement alarmant depuis des années. Absence de voirie et faible accès à l'eau potable et à l'électricité contribuent à un taux de mortalité infantile élevé et à une malnutrition rampante qui touche 90 % de la population de la province.

    Alors que le taux de chômage approche les 95 %, la majeure partie des travailleurs agricoles se retrouvent aujourd’hui menacés par la pollution des sols. Dans le même temps, les marins-pêcheurs voient leur nombre de prises s’amoindrir de jour en jour.
     
         
      « La population a le sentiment d’être assiégée. Elle se retrouve peu à peu privée de ses moyens de subsistance, alors que les autorités restent, la plupart du temps, indifférentes à son sort »  
     
    Jean-Marie Muanda, responsable de l’organisation ADEV,
    allié du CCFD-Terre Solidaire en RDC
     
         
      Mais tout cela peut changer : pour venir en aide à la population locale, des organisations congolaises soutenues par le CCFD-Terre Solidaire, travaillent sans relâche et soutiennent la population dans son combat contre une exploitation pétrolière non encadrée sans limites qui ravage petit à petit Muanda et sa région.

    En signant notre appel à soutien, en le diffusant autour de vous,
    vous nous aidez à leur apporter les moyens nécessaires à leur lutte
    pour la survie !


    L'équipe du CCFD-Terre Solidaire
     
     
    Je me mobilise. JE SIGNE.

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  • Manifestation contre la peine de mort © AI

    Manifestation contre la peine de mort © AI

      

    Un jeune iranien a été condamné à mort alors qu’il avait moins de 18 ans, accusé d’avoir participé à des activités armées à l’encontre de l’État..Il peut être exécuté à tout moment.

      

    Saman Naseem, maintenant âgé de 21 ans, est issu de la minorité kurde d’Iran. Ce jeune homme a été condamné à mort en avril 2013 par un tribunal pénal de Mahabad, dans la province de l’Azerbaïdjan occidental, pour « inimitié à l’égard de Dieu » et « corruption sur Terre » en raison de son appartenance à un groupe d’opposition armé kurde et de son implication supposée dans des activités armées à l’encontre de l’État. Sa sentence a été confirmée par la Cour suprême en décembre dernier.

      

    Condamné à mort pour des faits commis lorsqu’il était mineur

      

    Saman Naseem a déjà été condamné à mort en janvier 2012 par le tribunal révolutionnaire de Mahabad mais la sentence a été annulée par la Cour suprême en août suivant. Le jeune homme a alors été renvoyé devant une juridiction inférieure pour être rejugé, étant donné qu’il avait moins de 18 ans au moment des faits qui lui sont reprochés.

     

    Pour en savoir plus : Iran : un jeune kurde risque l’exécution

    Signez notre pétition adressée au Guide suprême de la République islamique

    d ’Iran, l'Ayatollah Sayed ‘Ali Khamenei   

    http://www.amnesty.fr/AI-en-action/Violences/Peine-de-mort/Actions/Empechez-execution-un-jeune-iranien-mineur-12646

    Source et plus de pétitions  :    http://www.amnesty.fr/


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