• Documentaire Les mystères de la physique quantique

     

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  • daveachuk

     

    Avez-vous déjà vu la plus grande photo jamais prise ?

    Le record est un cliché de 1,5 milliards de pixels (69 536 x 22 230) qui nécessite 4,3 GB de d’espace sur le disque dur !

    La video suivante va vous faire halluciner…

     C’est le 5 janvier dernier que la NASA a présenté cette image de la galaxie d’Andromède, la plus proche de notre planète. La photograhie est l’oeuvre du ‘NASA/ESA Hubble Telescope’.

     L’image représente en détails plus de 100 millions d’étoiles et montre cette galaxie qui se situe à plus de 40 000 années lumières de la Terre. Bref, un véritable miracle technologique.

     C’est fou comme on se sent petit tout d’un coup !


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  • D'après des scientifiques de la Nasa, la planète rouge possédait dans sa jeunesse un vaste océan aussi grand que l'Arctique.

    D'après des scientifiques de la Nasa, la planète rouge possédait dans sa jeunesse un vaste océan aussi grand que l'Arctique. Nasa

    L'océan qui occupait l'hémisphère nord de Mars occupait 19% de sa surface, selon la Nasa. La planète rouge n''est plus aujourd'hui qu'un vaste désert.

    En astronomie comme dans n'importe quel science, ce qui compte, ce sont les preuves. Et la Nasa vient d'en fournir une très attendue, attestant de la présence, il y a quelques milliards d'années, d'un gigantesque océan de la taille de l'Arctique sur la planète Mars.

     

    Les chercheurs, qui ont publié les résultats de leurs études jeudi dans la revue Science, ont également estimé en analysant l'atmosphère martienne que la planète rouge avait perdu 87% de son eau dans l'espace.

     

    Si la présence d'eau à l'état liquide sur Mars ne fait plus débat parmi les scientifiques, les conditions de sa disparition reste une énigme.

     

    Quand dans sa jeunesse Mars était encore une planète humide, il y avait suffisamment d'eau pour la recouvrir entièrement sur une profondeur de 137 mètres, précisent-ils.  Mais la réalité était probablement que cette eau formait un océan qui recouvrait la moitié de l'hémisphère nord de la planète, atteignant par endroits des profondeurs de plus de 1,6 km. Vu la géologie de cette partie de Mars, elle est considérée depuis longtemps par les scientifiques comme la zone la plus propice pour contenir un océan, qui devait couvrir 19% de la planète.

     

    En comparaison, l'Atlantique occupe 17% de la surface de la Terre.

    VIDEO. Les explications de la Nasa

     

     

    Les chercheurs ont calculé la quantité d'eau s'étant échappée dans l'atmosphère

    «Notre étude fournit une bonne estimation de l'eau qui se trouvait sur Mars en déterminant les quantités perdues dans l'espace», explique Geronimo Villanueva, un chercheur du centre Goddard des vols spatiaux de la Nasa à Greenbelt, dans le Maryland (est), l'un des principaux auteurs. «Avec ces travaux, nous pouvons mieux comprendre l'histoire de l'eau sur Mars», ajoute-t-il. Cette nouvelle estimation est basée sur des observations très détaillées de formes légèrement différentes d'eau, la plus familière formée d'un atome d'oxygène et de deux atomes d'hydrogène (H20), et l'eau lourde (HDO) dans laquelle un des deux atomes d'hydrogène est remplacé par du deutérium. 

     

    Utilisant le télescope Keck 2 à infrarouge de la Nasa situé à Hawaii, et un puissant télescope européen de l'ESO (European Southern Observatory) au Chili, ces scientifiques ont pu faire la distinction entre les signatures chimiques des deux eaux. C'est en comparant le ratio de l'eau lourde dans l'eau normale que les chercheurs ont pu en déduire la quantité d'eau qui s'était échappée dans l'espace. Ils ont effectué leurs mesures à de nombreuses reprises pendant six ans, environ trois années martiennes. La carte qu'ils ont produite révèle aussi des changements saisonniers et des microclimats sur Mars, même si la planète n'est aujourd'hui qu'un vaste désert.

     

    Mars aurait pu être habitable plus longtemps

     

    «Avec Mars perdant autant d'eau, la planète a très probablement été humide plus longtemps qu'estimé jusqu'alors, suggérant qu'elle aurait pu être habitable plus longtemps», souligne Michael Mumma, un scientifique du centre Goddard, co-auteur de ces travaux. Avant cette étude, on estimait que la période chaude et humide de Mars appelée Noachien s'était achevée il y a environ 3,7 milliards d'années.

     

    Il est aussi possible que Mars contenait dans le passé encore plus d'eau dont une partie se serait infiltrée sous la surface, relèvent ces chercheurs. Selon eux, les nouvelles cartes des ratios d'eau qui révèlent des microclimats et des fluctuations dans les quantités d'eau contenues dans l'atmosphère pourraient être utiles dans la recherche de nappes d'eau dans le sous-sol.

     

    Source

    http://www.leparisien.fr/

     


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  • Et si le secret de l'origine de l'eau sur Terre, et donc de la vie, était actuellement en train de tournoyer dans l'espace, autour du soleil ? S'il résidait dans le noyau des comètes, qui sont en grande partie constituées de glace et ont l'âge de notre système solaire ? Rosetta, c'est d'abord le nom d'une mission de l’Agence spatiale européenne débutée il y a vingt ans. C'est aussi celui d'une sonde spatiale qui est parvenue, ce 12 novembre, à larguer un petit atterrisseur tout équipé d'instruments d'analyse sur le sol d'une comète savamment nommée : 67P/ Churyumov-Guerasimenko (une joie à nuancer cependant, car les harpons d'arrimage ne se seraient pas plantés dans le sol).

    Alors que la réussite de la mission était encore incertaine, nous avions rencontré Francis Rocard, responsable des programmes d’exploration du système solaire au CNES.

     

    Voir l'article

     

    http://www.franceculture.fr/2014-11-13-rosetta-objectif-comete

     


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  •  

    Ce court métrage d'animation ouvre une fenêtre spectaculaire sur ce à quoi pourrait ressembler la vie dans l'espace.

     

    Adoptant une posture à la fois scientifique et artistique, Sidney Goldsmith convie le spectateur à un voyage aux confins de notre système solaire.

     

    Tout au long du parcours, un narrateur explique quelques-uns des grands phénomènes (météorites, tempêtes de poussière, anneaux de Saturne) se déroulant à des millions de kilomètres de la Terre.

     

    L'ensemble conserve une remarquable fraîcheur malgré les avancées scientifiques enregistrées depuis la parution du film dans les années 1970.

    Réalisé par Sidney Goldsmith - 1975

      


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