• Quitter la #rue, c’est retrouver la vie. Aidez-nous à agir !

    Un film d’Arnaud Desplechin Romain : Alexandre Hoesli

    Mère : Violaine Brebion

    Soeur : Alexia Chicot

    Beau-père : Jean-François Guerlach

    Collègue / commis : Vérone

    Mani Nyobe Bénévole FAP : Marc Quenum

    Réalisateur : Arnaud Desplechin

    Chef Opérateur : Paul Guilhaume

    Photographe : Aurélien Chauvaud

    Production : Phantasm

    Producteur : Gary Farkas

    Directeur de production : Adrien Chibatte

    Post producteur : Maxime Dabel

    Post-production image : Nightshift

    Post-production son : Benzene Musique : « DIS QUAND REVIENDRAS-TU ? » (Paroles et musique de Barbara) Interprété par Barbara

    © Editions Beuscher Arpege (P) 1966 BMG Rights Management (France) SARL Avec l’aimable autorisation de Sony Music Publishing France et BMG Rights

    Management (France) Tous droits réservés


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  • Moins bien diagnostiquées et soignées que les hommes, des milliers de femmes meurent à travers le monde en raison de leur sexe. La journaliste Véronique Préault a enquêté sur une discrimination souvent oubliée : l'accès aux soins. L'Instant M par Nadia Daam (9h40 - 19 Avril 2021 - Véronique Préault) Retrouvez L'Instant M sur https://www.franceinter.fr/emissions/...

     

     
    Aujourd'hui en France et partout dans le monde, des milliers de femmes meurent parce que ce sont des femmes. Moins bien diagnostiquées que les hommes, moins vite soignées, elles échappent aux radars médicaux. Cette enquête s'intéresse d'abord au retard constaté dans le diagnostic des maladies cardiovasculaires chez les femmes et retrace comment, à chaque étape, celles-ci subissent une perte de chances. Pour comprendre les raisons profondes de cette discrimination, il faut remonter aux origines de la médecine et à l'hystérie. Il faut aussi revenir sur l'histoire des femmes et des médicaments, marquée par les scandales de la Thalidomide et du Distilbène.
     

    Le monde en face

    https://www.france.tv/documentaires/science-sante/2387159-femmes-les-oubliees-de-la-sante.html

     


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    CRISE, DANGER ET CHANCE

     

    Soudain la machine tourne à vide,
    La terre respire enfin ;
    Une clef minuscule a pris possession de nos secrets les mieux gardés,
    Nous a mis à genoux :
    Et nous voici calfeutrés,
    Craignant partout l'intrusion d'un ennemi invisible.

    Le monde a peur,
    Certains souffrent plus que d'autres,
    Mais, paradoxalement, notre planète vit une sorte de cure de repos.
    Nous craignons pour nos proches vulnérables
    Et aussi pour nous-mêmes,
    Tout ce qui allait de soi est soudain devenu si difficile,
    Mais pourtant le ciel déjà s'éclaircit :
    Nous aussi, au fond, ne respirons-nous pas mieux ?

    Notre activité est au repos ;
    Pourra-t-elle reprendre et surmonter cette lente léthargie ?
    Tant d'efforts accumulés soudain mis à mal,
    Nos monnaies et nos empires défaits...
    Mais les arbres, les oiseaux, les insectes ont à nouveau une chance inouïe :
    L'air pur leur est gracieusement redonné !

    Tout redeviendra-t-il comme avant
    Et n'aurons-nous, alors, tiré aucune leçon de cette embellie au goût amer ?
    Ou bien emprunterons-nous désormais des sentiers neufs,
    Des chemins inédits,
    Abandonnant l'inutile,
     

    Ayant, une fois pour toutes, goûté à l'essentiel,
     

    Entrevoyant même une issue à cette apocalypse que nos insomnies préparaient à bas bruit ?

    Nous en tenir à l'indispensable,
     

    Prendre soin de ceux qui nous sont proches,
    Adopter la sobriété de l'herbe qui pousse,
    Imiter son courage,
     

    Regarder la nature enfin comme notre bien le plus précieux,
    Ce trésor qui appartient à tous,
     

    Si désirable depuis que nous nous sommes remis à cultiver nos jardins,
    A soigner les fleurs sur nos balcons, à y semer des graines d'espérance,
    A donner de la nourriture aux oiseaux,
    A nous saluer les uns les autres avec gratitude...

    Quand reprendra le flux de nos activités incessantes,
    Saurons-nous oublier la démesure qui auparavant nous tenait ?
     

    Nous souviendrons-nous qu'être vivant ne nous donne pas plus de droits qu'au moindre passereau,
    Mais seulement celui de remercier et de rendre grâce pour le simple fait d'être là,
    Ouverts à la profusion du monde ?

    Aucun de nous n'a plus de mérite que le plus humble paysan d'Afrique, des Andes ou d'Asie
    Dont la joie de vivre n'a jamais eu besoin
    De tous ces dominos de possessions que nous n'avons cessé d'accumuler
     

    Et qui s'écroulent tout à coup :
    Nos futiles jouets d'enfants qu'enfin, pour donner sa chance à la vie,
    Nous serons peut-être prêts à remiser au grenier de nos passions tristes,
    De nos allégresses oubliées...

    Jean Lavoué, 21 mars 2020
     

    www.enfancedesarbres.com

    Jean Lavoué.


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    Magnifique interprétation de Julien Laurence, Mady et Fred

     

    * PAROLES *

    Village au fond de la vallée Comme égaré,

    presque ignoré Voici dans la nuit étoilée

    Qu’un nouveau né nous est donné

    Jean-François Nicot il se nomme

    Il est joufflu, tendre et rosé

    A l’église beau petit homme Demain tu seras baptisé

     

    Une cloche sonne sonne

    Sa voix d’écho en écho Dit au monde qui s’étonne “ C’est pour Jean-François Nicot “

    Village au fond de la vallée Loin des chemins, loin des humains

    Voici qu’après dix-neuf années Coeur en émoi,

    le Jean-François Prend pour femme la douce

    Elise Blanche comme fleur de pommier

    Devant Dieu, dans la vieille église

    Ce jour, ils se sont mariés

     

    Toutes les cloches sonnent sonnent

    Leurs voix d’écho en écho

    Merveilleusement couronnent

    La noce à Jean-François Nicot

     

    Village au fond de la vallée Des jours, des nuits, le temps à fui

     

    Voici qu’en la nuit étoilée Un coeur s’endort François est mort

     

    Car toute chair est comme l’herbe

    Elle est comme la fleur des champs Epis, fruits mûrs, bouquets et gerbes

    Hélas tout va se desséchant

     

    Une cloche sonne sonne

    Elle chante dans le vent Obsédante et monotone

    Elle redit aux vivants

    “ Ne tremblez pas coeurs fidèles Dieu vous fera signe un jour

     

    Vous trouverez sous son aile Avec la vie Eternelle

    L’éternité de l’amour L’amour “

     

    31Sylou

     

    Compagnons de la chanson - Biographie, discographie et fiche artiste ...

     

    Les Compagnons de la Chanson, pot-pourri de leurs succès - Vidéo ..


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  • ambiance musicale

    pour accompagner cette soirée consacrée a la photographie

     

    au centre culturel d'Ormesson Sur Marne ce tient actuellement le salon de la photo

    et je vous convie a y aller faire un tour ,de quoi faire plaisir a vos yeux

     

    DIAMANTCOSMOS


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