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    La Corse est une île de la mer Méditerranée et une région française, ayant toutefois un statut spécial, composée de deux départements : la Corse-du-Sud et la Haute-Corse, Elle fut indépendante le 30 janvier 1735, puis fut conquise par la France lors de la bataille de Ponte Novu,Elle est surnommée Île de Beauté.

     

    L'île abrite un parc marin international, des réserves naturelles (de Scandola, Finocchiarola, Biguglia, Cerbicale, Bouches de Bonifacio et le Parc naturel régional de Corse ,La Corse est située à 177 km environ au sud-est de la Côte d'Azur, à l'ouest de la Toscane (85 km) et au nord de la Sardaigne (12 km).

     

    Île plutôt boisée et montagneuse, sa côte méridionale est formée de hautes falaises

      

    (Thank you to rate this video), Corsica is an island in the Mediterranean Sea and a French region, having a special status, however, consists of two departments: Corse-du-Sud and Haute-Corse, it was independent on 30 January 1735, then was conquered by France in the Battle of Ponte Novu, It is called island Beauté.L island is home to an international marine park, nature reserves (Scandola, Finocchiarola Biguglia Cerbicale, Straits of Bonifacio and Regional Natural Park of Corsica, Corsica is located approximately 177 km southeast of the Riviera, west of Tuscany (85 km) north of Sardinia (12 miles). Island rather forested and mountainous, its southern coast consists of cliffs

     

       


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  • Les légendes et l'histoire vraie des Illuminations ou de la Fête des lumières



    « Le 8 ».

    A Lyon tout le monde sait ce que veut dire cette affirmation sibylline.
    Les Illuminations... Il ne viendrait à l’idée de personne que ce put être autre chose que le 8 décembre, la fête de la lumière.

     

    Les Illuminations et non la fête des Lumières.

    Curieuse coutume que de sortir un soir de 8 décembre pour aller admirer une ville complètement illuminée par ses habitants. Se promener à pied à travers celle-ci, avec femme, poussette, enfants et grand-parents, tout cela par un temps souvent frisquet et même sous la pluie, au milieu de milliers d’autres personnes.

    Qu’est ce qui fait sortir les lyonnais ce jour-là ? Et qu’est ce qui pousse les lyonnais à illuminer leur ville ?

    Une première légende - la peste !

    Une légende bien installée, dit que la peste s’est arrêtée au abord de la ville au moyen âge et qu’en remerciement les lyonnais ont commencé à éclairer leurs fenêtres de bougie.
    Petite erreur, ce n’est pas au moyen-age que la peste ravage le plus gravement la ville, mais à la Renaissance. Il est vrai que de 1550 à 1643 - une centaine d’année - plusieurs milliers de lyonnais meurent de cette terrible maladie – la moitié de la population de Lyon disparaît. Après avoir compté sur la Faculté de médecine et en désespoir de cause, le 12 mars 1643, l’équivalant de notre maire d’aujourd’hui, le Prévost Alexandre Mascary, entouré des adjoints au maire de l’époque : les Echevins, s’en remet à la vierge Marie :

    ... Nos Echevins s’engagèrent à élever deux statues de la Vierge, l’une sur la place des changes, l’autre sur la pile du pont de Saône. Enfin ils firent vœu pour eux et pour leurs successeurs, d’aller...
     

     

    "toutes les fêtes de la nativité de Notre Dame qui est le huitième jour de septembre, sans robe, néanmoins avec leurs habits habituels, en la chapelle de Fourvière pour ouïr la messe, y faire les prières et les dévotions à la dite Vierge et lui offrir en forme d’hommage et reconnaissance, la quantité de sept livres de cire blanche en cierges et flambeaux et un écu d’or au soleil... et ce pour la disposer à recevoir en sa protection particulière la ville de Lyon..."
    extrait du livre de Louis Jacquemin, Histoire des églises de Lyon, publié aux éditions Elie Bellier


     

    L’épidémie de peste s’arrête cette année là, à Lyon, alors qu’elle continue ailleurs, en France. Pour remercier la vierge de sa protection, nos Echevins assistent le jour de la nativité de Marie - le 8 septembre, à une « grand messe » et remettent ce que promis à l’évêque de Lyon, écu d’or et cire blanche. De nos jours, la tradition continue, le vœu est respecté et la pièce d’or est toujours remise à l’évêque de Lyon le jour de la naissance de la Vierge.


    C’est ce Vœu des Echevins du 8 septembre qui sera confondu dans la mémoire collective avec les « Illuminations ».

    Seconde légende - les Prussiens !

    La seconde légende : celle des Prussiens qui envahissent Lyon ? et de la vierge Marie qui les arrête juste avant ?

    Et bien, oui, les lyonnais ont encore raison, mais nouvelle petite erreur. En 1870 les Prussiens arrivent sur Lyon, ils ont déjà pris Dijon. Et il y a bien un vœu qui en appelle encore à Marie. Monseigneur Ginoulhiac, alors évêque de la ville parle au nom des lyonnais : « une Basilique sera édifiée à la place de la petite église, si Lyon échappe à la fureur des allemands ». Les prussiens s’arrêtent, Lyon est épargnée et les Lyonnais doivent une cathédrale à Marie.
    Voilà, encore une erreur de date, le Vœu est bien là, mais notre Fête des Lumières, nos Illuminations, elles, datent de 20 ans avant ce second vœu des Lyonnais.


    La Véritable Histoire du 8 décembre

    Les Lyonnais ont pris l’habitude, depuis le premier Vœu des Echevins, de demander l’intercession de la Vierge, pour une maladie, le retour d'un soldat, un enfant...
    Ils se rendent fréquemment au sommet de la colline de Fourvière dans une petite église qui domine la ville - celle qui encore aujourd'hui est là, blottie contre la basilique.

    Les années passent et les pèlerins sont toujours plus nombreux. La vieille église doit être restaurée. A partir de 1848 on se pose la question de refaire le vieux clocher. En 1852 la restauration du clocher est terminée et l’on va placer sur celui-ci une magnifique statue de Marie en bronze dorée.
    Bien entendu la date choisie est celle du 8 septembre 1852, celle de la Nativité de Marie. Malheureusement le ciel n’est pas d’accord, quelques jours avant, les nuages grondent, la ville se retrouve sous des torrents d’eau et la Saône déborde. Une nouvelle date est choisie : le 8 décembre, elle aussi fête de la Vierge, c’est la fête de Notre Dame des Advents qui deviendra deux ans plus tard, en 1854, par une Bulle Ineffabilis Deus, du pape Pie IX, la fête de l’Immaculée Conception.

    Mais ce jour là, des orages terribles éclatent et de nouveau la Saône menace. Les notables décident de repousser une seconde fois la cérémonie – mais miracle, en fin de journée les nuages poussés certainement par un doigt divin vont mouiller d’autres terres et le ciel se fait clément. Les Lyonnais, installent alors à la nuit tombée sur leur fenêtre, lumignons, bougies, bougeoirs qui vont illuminer la ville d’une douce lumière. Les bougies brûleront jusqu’au petit matin.

    "Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu... La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure. Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs... Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. A huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaître, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait : "Vive Marie ! " Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée".


    Et traversant le temps, ce qui était un geste de Foi s’est dilué dans le patrimoine laïque lyonnais et le fait de mettre quelques bougies à la fenêtre le 8 décembre, se perpétuera dans toutes les familles – toutes religions confondues. Comme pour écarter un ancien malheur, comme le remerciement d’une ville d’être encore vivante, comme un geste de joie.

    Rien n’oblige les lyonnais à mettre ces petites bougies et pourtant j’en connais, qui loin de Lugdunum, à Paris, à Rome, à Hong Kong ou à New York, le 8 décembre prochain mettront dans un verre à moutarde ou un verre de cristal un morceau de bougie et le déposeront sur le rebord de leurs fenêtres, en pensant « je suis de Lyon, moi aussi ».

     

    Source

    http://www.lyonweb.net/

     

     

     

    Une atmosphère féerique a envahi les rues de Lyon. C'est parti pour quatre jours de Fête des Lumières, un évènement artistique et populaire, qui devrait attirer, cette année encore, entre deux et trois millions de visiteurs. Ils pourront admirer plus de 70 installations, mises en lumière par des artistes de tous horizons.

    L'origine de la fête remonte au XIXème siècle, en 1852, quand la ville inaugura la statue de la Vierge Marie, pour la remercier d'avoir sauvé ses habitants de la peste. Les L…
     

     

    LIRE L’ARTICLE: http://fr.euronews.com/2014/12/05/lyo...

     

    Aujourd'hui dans l'actualité : les titres en vidéo https://www.youtube.com/playlist?list...

     

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  • Pour tous les Hyèrois d'ici et d'ailleurs...

    Version complète ( Parties 1,2 & 3 )

     

    Kijan ay


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  • Lizio est une commune de 700 habitants, au sud de Josselin. Son nom viendrait du vieux breton "lis" ou "lez" qui veut dire "cour".

      

    A Lizio, il y a justement une cour, celle des artisans, où s'établissaient autrefois les tisserands. Aujourd'hui, le poète ferrailleur et les clowns l'ont investi.

    • E. Colin avec Isabelle Rettig
    Les créations de Robert Coudray, poète ferrailleur de Lizio © I. Rettig - France 3 Bretagne
    © I. Rettig - France 3 Bretagne Les créations de Robert Coudray, poète ferrailleur de Lizio
     
    La suite
     
     

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    Le bras du Chapitre à Créteil, né de la Marne et tôt y mourant, tire son nom du chapitre des chanoines de Notre-Dame-de-Paris, qui furent seigneurs des lieux. 

    Première zone artisanale de Créteil, en raison de la proximité du port, le bras accueillait trois moulins : le moulin vieux, ancien moulin banal attesté depuis le XIIIe siècle, transformé au XIXe siècle en filature et démoli en 1904 ; le moulin neuf, construit en 1684, utilisé à partir du XIXe siècle comme usine hydraulique et qui disparaît en 1905 ; le moulin d'en-haut, moulin à farine datant de 1794 qui fut détruit lors des combats de 1870. 

    Bordé de platanes plus que centenaires, le bras du Chapitre, avec ses multiples passerelles – dont celle installée sur les piles de l'ancien moulin banal – est sans aucun doute l'un des lieux les plus enchanteurs du vieux Créteil.

    Bras du chapitre

    Adresse : Chemin du Bras du Chapitre, Créteil, France

             


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