• ALIMENTATION CONSCIENTE Quand l'alimentation soigne

     

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     Mal s’alimenter serait-il le nouveau mal du siècle ? À n’en pas douter, les modèles alimentaires hérités de nos parents et l’excès de choix engendré par la société de consommation dans laquelle nous vivons sont en partie responsables de nombreuses pathologies : le cancer, bien sûr, mais également des maladies qui semblent plus anodines comme les rhumatismes, l’asthme, ou mêmes les otites. Pourtant, force est de constater que de petits gestes mais surtout une base de savoirs simples, peuvent être d’un grand secours pour mieux s’alimenter. Décryptage de l’infiniment petit au service de nos assiettes et de notre santé.Être bien informé pour bien manger, une urgence mondialeNutri-score,

     Mal s’alimenter serait-il le nouveau mal du siècle ? À n’en pas douter, les modèles alimentaires hérités de nos parents et l’excès de choix engendré par la société de consommation dans laquelle nous vivons sont en partie responsables de nombreuses pathologies : le cancer, bien sûr, mais également des maladies qui semblent plus anodines comme les rhumatismes, l’asthme, ou mêmes les otites. Pourtant, force est de constater que de petits gestes mais surtout une base de savoirs simples, peuvent être d’un grand secours pour mieux s’alimenter.

     

    code couleur etc. : nombreuses sont les initiatives lancées, souvent au niveau national, pour aider les consommateurs à s’y retrouver lorsque ceux-ci font leurs courses alimentaires. À raison ? Totalement, il est plus qu’urgent d’éduquer les populations, et à plus fortes raisons les enfants qui seront les adultes de demain à prendre soin d’eux de la façon la plus simple possible, dans un monde bombardé d’images marketing et d’injonctions toutes plus abracadabrantes les unes que les autres. En effet, selon un rapport publié début février par l’OMS, aucun pays ne protège de manière appropriée la santé des enfants, leur environnement et leur avenir. Ce rapport, intitulé A Future for the World’s Children ?, met en lumière le fait que l’avenir de chaque enfant ou adolescent dans le monde soit compromis par la menace imminente que représentent notamment les pratiques commerciales abusives qui poussent les enfants à la consommation d’aliments lourdement transformés issus de la restauration rapide et de boissons sucrées. Dès lors, la première solution serait l’éducation au bien manger, qui, naturellement, ne peut se faire sans Décryptage de l’infiniment petit au service de nos as

     Être bien informé pour bien manger, une urgence mondiale Nutri-score, code couleur etc. : nombreuses sont les initiatives lancées, souvent au niveau national, pour aider les consommateurs à s’y retrouver lorsque ceux-ci font leurs courses d’éduquer les populations, et à plus fortes raisons les enfants qui seront les adultes de demain à prendre soin d’eux de la façon la plus simple possible, dans un alimentaires.

     À raison ? Totalement, il est plus qu’urgent monde bombardé d’images marketing et d’injonctions toutes plus abracadabrantes les unes que les autres. En effet, selon un rapport publié début février par l’OMS, aucun pays ne protège de manière appropriée la santé des enfants, leur environnement et leur avenir. Ce rapport, intitulé A Future for the World’s Children ?, met en lumière le fait que l’avenir de chaque enfant ou adolescent dans le monde soit compromis par la menace imminente que représentent notamment les pratiques commerciales abusives qui poussent les enfants à la consommation d’aliments lourdement transformés issus de la restauration rapide et de boissons sucrées.

    Dès lors, la première solution serait l’éducation au bien manger, qui, naturellement, ne peut se faire sans une base de quelques savoirs empiriques qui permettent de connaître ce qui se cache réellement dans nos assiettes. « Les processus mis en place par les différents gouvernements sont certes une bonne initiative, mais cela rend une fois de plus les consommateurs passifs dans leur approche de la nourriture. Ils doivent savoir ce qui se cache derrière les termes inscrits sur le moindre emballage », explique Julie, nutritionniste.Micronutriments, macronutriments : la baseAussi chacun des aliments – et même les produits bruts, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas été transformés par l’industrie agro-alimentaire, comme les fruits, les légumes ou la viande, par exemple - que nous ingérons sont composés de macronutriments (du grec macro, « grand », ndlr.) qui sont les glucides, protéines et lipides, et dont le rôle est d’assurer le bon fonctionnement de notre organisme et de lui apporter l’énergie nécessaire. On trouve également des micronutriments (du grec micro, « petit », ndlr.), c’est-à-dire les différents vitamines et minéraux, sans apports énergétiques mais ayant un rôle fonctionnel. Afin de retrouver et de conserver un organisme en bonne santé, il est nécessaire de combiner un apport équilibré en micronutriments et macronutriments pour que tous les organes, la peau, etc. puissent profiter de toutes leurs vertus.Les mésonutriments: le haut du panier

    Si micronutriments et macronutriments sont encore relativement connus car souvent mentionnés dès lors qu’on aborde les questions de nourriture et d’équilibre alimentaire, les mésonutriments, eux, sont un peu la cerise sur le gâteau et apportent un nouvel éclairage sur la façon d’appréhender l’alimentation. Cette troisième classe de nutriments se compose de substances actives dont le rôle est bénéfique pour nos organismes. Plus simplement, il s’agit de molécules dites « santé » qui peuvent aidé à prévenir ou à soigner. La plupart, d’ailleurs, sont issus des super aliments (ou superfoods, ndlr.), soit ces aliments naturels, réputés pour leurs ancestrales et impressionnantes vertus alimentaires et médicinales. Les mésonutriments ont ainsi différents pouvoirs, tant sur la santé que sur la beauté : anti-inflammatoires, apaisants, coupe-faims, anti-douleurs, brûle-graisse, etc.Parmi les mésonutriments les plus connus, on trouve notamment les omégas trois (dans le saumon ou des huiles végétales comme l’olive, le lin, etc.) dont les vertus pour le système cardio-vasculaire ne sont plus à prouver ; la curcumine, elle issue du curcuma, curcumine, à qui l’on attribue un pourvoir hypocholestérolémiant, hépatoprotecteur et antioxydant. Les gingérols, eux, proviennent du gingembre et ont des vertus pour réduire les migraines ou encore prévenir des maux de transports et autres désagréments digestifs. Si les bienfaits et leur conséquences sur les organismes varient assez largement d’un mésonutriment à un autre, il faut ainsi noter qu’ils ne constituent pas la raison la plus importante de choisir tel ou tel aliment mais qu’ils interviennent dans un processus plus global d’approche de l’alimentation et que leur rôle est avant tout de booster le potentiel bien-être de sa façon de consommer

     

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