• https://www.leparisien.fr/resizer/zaY2w8UadxTS53J7YTEY7Q58vh4=/932x582/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/lpguideshopping/UVWBWWM2LBBVPHJJMMUQWJCVPA.jpg
     
    Un élève pose cette question à son maitre : « J'ai lu beaucoup de livres et j'en ai oublié la plupart ; mais alors quel est le but de la lecture ? "
     
    L'enseignant n'a pas répondu à ce moment-là ; cependant, au bout de quelques jours, alors que lui et le jeune élève étaient assis près d'une rivière, il a dit qu'il avait soif et a demandé à l'enfant de lui apporter de l'eau avec une vieille passoire sale qu'il y avait le sol.
    L'élève a été sursauté parce qu'il savait que c'était une requête sans logique.
     
    Cependant, il n'a pas pu contredire son maître et, après avoir pris la passoire, il a commencé à accomplir cette tâche absurde.
    Chaque fois qu'il plongeait la passoire dans la rivière pour apporter un peu d'eau à son maître, il ne pouvait même pas faire un pas vers lui car il ne restait plus une goutte dans la passoire.
     
    Il a essayé et essayé des dizaines de fois mais, même si il a essayé de courir plus vite de la rive jusqu'à son maître, l'eau a continué à traverser tous les trous du tamis et s'est perdue en chemin.
     
    Épuisé, il s'est assis à côté du Maître et a dit :
    - Je ne peux pas trouver de l'eau avec cette passoire ; pardonnez-moi, maître, c'est impossible et j'ai échoué dans mes devoirs.
    - Non ! Dis le vieil homme souriant - tu n'as pas échoué.
    Regarde la passoire : maintenant elle brille, elle est propre, comme neuve. L'eau, qui s'infiltre dans ses trous, l'a nettoyée.
    - Quand tu lis des livres - a poursuivi le vieux Maître, - tu es comme une passoire et ils sont comme de l'eau de rivière.
     
    Peu importe si tu ne peux pas garder dans ta mémoire toute l'eau qu'ils laissent couler en toi, parce que les livres, avec leurs idées, leurs émotions, leurs sentiments, leurs connaissances et la vérité que tu trouveras entre les pages, nettoiera ton mental et ton esprit, et feront de toi une personne meilleure et renouvelée.
    Voilà le but de la lecture.
    Mery Rodriguez

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  • For the suffering people in Tibet and over the world.
    Lyrics:

    Nous vivons sous le même soleil
    Que des être en tous points pareils
    Qui partagent leur existence
    Entre l'espoir et la souffrance

    La Tibétaine au coeur si pur
    Qui chantait à  l'ombre des murs
    Attendra jusqu'à ses tente ans
    Pour revoir le soleil levant

    Les oubliés du Toit du Monde
    Nous appellent à chaque seconde
    Et leur chant se heurte en silence
    Au vacarme de l'inconscience

    C'est la voix d'un peuple brisé
    De ces moines martyrisés
    Qui nous offrent en un seul regard
    Des milliers de vies de mémoire

    C'était hier
    C'était ailleurs
    On disait " plus jamais l'horreur"
    C'est là tout près
    C'est maintenant
    Et je pleure pour tous ces gens

    Nous gardons la blessure au coeur
    Du chagrin des peuples qui demeurent
    Par la force ou par la violence
    En perdant jusqu'à l'espérance

    Cette lignée si elle s'éteint
    Avec le dernier Tibétain
    Laisserait pour l'éternité
    Tant de portes à jamais fermées

    Les oubliés de Toit du Monde
    Nous appellent à chaque seconde
    Mais leurs chants se perdent en silence
    Au désert de l'indifférence

    C'est la voix d'un peuple épuisé
    De ces femmes paralysées
    Qui revivent en un seul regard
    Tout ce que leur coeur a pu voir

    C'était hier
    C'était ailleurs
    On disait, ah " c'était une erreur»
    C'est là  tout près
    C'est maintenant
    Et je rêve pour tous ces enfants

    D'un pays libre sur la Terre
    A des milliers d'années-lumière
    De ces uniformes barbares
    De la peur et du désespoir

    Pour revivre sous le soleil
    Une histoire en tous points pareille
    Et pour pouvoir enfin raconter
    Les chapitres inachevés

    Il est dit que jamais la flamme
    De la vérité dans nos âmes
    Ne peut s'éteindre tout à fait
    Et qu'elle nous éclaire en secret

    Comme du miel sur les blessures
    J'entends toujours la voix si pure
    De la Tibétaine chanter
    Avec ses soeurs emprisonnées

    Quelque part au-delà des murs,
    J'entends toujours la voix si pure
    De la Tibétaine chanter
    Leur espoir en la liberté.

     

    Playlist

    Yves Duteil


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  • herbe bleue
     
    http://rosatubes.eklablog.com/bienvenue-chez-mamy-rosa
     
    Un âne dit au tigre :
    - L'herbe est bleue.
    Le tigre rétorque :
    - Non, l'herbe est verte.
     
    La dispute s'envenime et tous deux décident de la soumettre à l'arbitrage du lion, "le roi" de la jungle. Bien avant d'atteindre la clairière où le lion se reposait, l âne se met à crier :
    - Votre Altesse, n'est-ce pas que l'herbe est bleue ?
    Le lion lui répond :
    - Effectivement, l'herbe est bleue.
     
    L âne se précipite et insiste :
    - Le tigre n'est pas d'accord avec moi, il me contredit et cela m'ennuie. S'il vous plaît, punissez-le !
    Le lion déclare alors :
    - Le tigre sera puni de 5 ans de silence.
     
    L âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant :
    - L'herbe est bleue... l'herbe est bleue...
    Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion :
    - Votre Altesse, pourquoi m'avoir puni ? Après tout, l'herbe n'est-elle pas verte ?
     
    Le lion lui dit :
    - En effet, l'herbe est verte.
    Le tigre, surpris, lui demande :
    - Alors pourquoi me punissez-vous ???
     
     
    Le lion lui explique :
    - Cela n'a rien à voir avec la question de savoir si l'herbe est bleue ou verte. Ta punition vient du fait qu'il n'est pas possible qu'une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions. Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n'ont aucun sens... Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu'on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre. Et d'autres, aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu'une seule chose : avoir raison même s'ils ont tort.
     
    Or quand l'ignorance crie, l'intelligence se tait.
    Ta paix et ta tranquillité n'ont pas de prix...

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  •  L’image contient peut-être : plante

    Dis pépé, c'est quoi le bonheur ?

    Le bonheur mon enfant, c'est d'avoir des yeux,
    Même en vitrine, sous d'horribles lorgnons.
    Pouvoir observer, sur la fleur, un bourdon
    Gorgé de nectar, s'arracher vers les cieux.

    Le bonheur, mon petit, c'est d'être fasciné
    Par une perle de rosée, courant sur le fil de la vierge,
    Dans une aube radieuse au soleil qui émerge,
    Cordiale promesse d'une belle journée.

    Le bonheur, tu sais, c'est pouvoir admirer,
    Dans l'azur doré d'un printemps qui s'éveille,
    Un magnifique rapace qui, de là-haut, surveille
    Le lapereau étourdi qui a quitté son terrier.

    Le bonheur, mon garçon, c'est pouvoir arpenter
    La garrigue provençale, ta main dans la mienne :
    Balade matinale, avant que ne survienne
    Le vent brûlant, au zénith de juillet.

    Le bonheur, mon enfant, c'est quand la pluie est tombée
    Et fait que la terre craquelée et agonisante,
    Exhale soudain une odeur douce et enivrante,
    Pour remercier le ciel de la bienfaisante ondée.

    Le bonheur, vois-tu, c'est, quand finit l'été,
    Cueillir une pomme au sein du verger familial,
    L'essuyer sur sa blouse, d'un geste machinal,
    Puis mordre à belles dents, dans sa chair sucrée.

    Le bonheur, tu sais, il se trouve n'importe où :
    Se coucher dans le pré, écouter chanter l'herbe,
    Le souffle du Mistral dans le chêne superbe,
    Le murmure du ruisseau, polissant ses cailloux...

    Je te souhaite des choses pures, du bonheur!
    Point n'est besoin d'honneurs et de richesses.
    Qu'un avenir utopique, et de folles promesses,
    Ne puissent jamais, ô jamais ! Endurcir ton cœur.

    Pierre Clérico

     

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  • Afficher l'image d'origine"Une petite histoire"

    Il s'appelait Fleming, c'était un pauvre fermier écossais...

    Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille,
    il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.
    Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé
    jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.

    Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être

    une mort lente et cruelle.


    Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.
    Un noble, élégamment vêtu, en sorti et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.

    Je veux vous récompenser", dit le noble. "

    Vous avez sauvé la vie de mon fils".

    "Non, je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait",

    répondit le fermier écossais.

    A ce moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

    "C'est votre fils?" demanda le noble.
    " Oui!", répondit fièrement le fermier.

    "Je vous propose un marché.

    Permettez-moi d'offrir à votre fils

    la même éducation qu'à mon fils.

     

    Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme
    duquel tous deux nous seront fiers". Et le fermier accepta.

    Le fils du fermier Fleming

    suivit les cours des meilleures écoles et au final,
    fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie-de-Londres.
    Il continua jusqu'à être connu du monde entier.

     

    Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.
    Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage avait une pneumonie.

    Qui lui sauva la vie cette fois ?...

    La pénicilline.

    Comment s'appelait le noble ?

    Sir Randolph Churchill.

    Son fils ? Sir Winston Churchill.

    Quelqu'un a dit un jour : Tout ce qui s'en va revient.

    Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.

    Aime comme si tu n'avais jamais été blessé.

    Danse comme si personne ne te regardais.

    Chante comme si personne ne t'écoutais.

    Vis comme si le Ciel était sur la Terre.

     

    Source: Anonyme...www.lespasseurs.com


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