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Par roda83 le 9 Février 2022 à 14:20
• Crédits : Schon - Getty
Les arbres sont les fondations de la biodiversité terrestre. Or, avec le réchauffement climatique et les épisodes de sécheresse qui se multiplient, une surmortalité des espèces à l'échelle planétaire a été constatée par les scientifiques. Depuis des années, leurs fonctionnements et modèles de développement sont scrutés, analysés pour permettre d'en percer les mystères et pouvoir ainsi prédire la santé de nos forêts.
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Comment continuer de vivre avec les arbres et les préserver, à l'ère du réchauffement climatique ? #SauverLePrésent
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Par roda83 le 8 Mars 2021 à 17:33
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La circulation méridienne de retournement atlantique (Amoc) est l'un des principaux systèmes de circulation océanique de la Terre. Elle redistribue la chaleur sur la planète avec un impact majeur sur notre climat. Et aujourd'hui, c'est justement le réchauffement climatique en cours qui semble affaiblir ce courant.
La circulation méridienne de retournement atlantique, aussi connue sous le nom de Amoc, transporte chaque seconde des millions de mètres cubes d'eau de surface chaude de l'équateur vers le nord et d'eau profonde froide et à faible salinité dans le sens inverse. Et des chercheurs du Potsdam institute for climate impact research (Allemagne) montrent aujourd'hui qu'après avoir connu une certaine stabilité, ce courant océanique s'affaiblit de façon marquée depuis le milieu du XXe siècle.
Les relevés sur l'Amoc n'ayant commencé qu'en 2004, les chercheurs ont combiné diverses informations indirectes pour donner une image de l'évolution de ce courant océanique au cours des 1.600 dernières années. Cernes d'arbres, carottes de glace, sédiments océaniques, coraux et même journaux de bord de marins. Le tout mis en relation avec les modèles de température dans l'océan Atlantique, les propriétés de la masse d'eau et la taille des sédiments dans les grands fonds.
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Par roda83 le 13 Février 2021 à 10:45
Depuis le 1er janvier, plus de 400 dauphins se sont échoués sur le littoral français. Du jamais vu. En cause ? Les pêcheurs, qui les capturent accidentellement. Face à l’« hécatombe », les mesures mises en place — observateurs embarqués, répulsifs acoustiques… — ne satisfont pas biologistes et associations de défense animale.
En déposant des carcasses de dauphins devant l’Assemblée nationale, l’association Sea Sheperd a une nouvelle fois choisi un mode d’action spectaculaire pour alerter l’opinion publique, mardi 2 février. « Des milliers de dauphins sont massacrés pour que vous mangiez du poisson », pouvait-on lire sur la banderole déployée par les militants antispécistes pour accompagner cette action en plein cœur de Paris. Lamya Essemlali, présidente de Sea Sheperd France déplorait « l’inaction du gouvernement français pour éviter les captures de cétacés dans les filets de pêche, malgré les recommandations européennes ».
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Par roda83 le 10 Juillet 2020 à 11:19
Sans faire la morale ni culpabiliser, Aurélien Barrau nous dresse le bilan de notre civilisation actuelle et de la catastrophe qui est à nos portes. Il le précise lui-même, il est astrophysicien et non écologue. Son discours et son dernier opus « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité » n’a nullement prétention à la rigueur universitaire. C’est en tant qu’habitant de le Terre et membre de la tribu des vivants qu’il tente ce cri d’alerte, parmi tant d’autres plus savants et plus approfondis.
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Par roda83 le 6 Juin 2020 à 06:32
Non loin de Norilsk, ville arctique du Grand Nord russe, l’effondrement le 29 mai d’un réservoir de carburant d’une centrale thermique a provoqué la fuite de 21.000 tonnes d’hydrocarbures, provoquant une marée noire d’une ampleur inédite. Les autorités russes ont tardé à réagir, aggravant la pollution.
Moscou, correspondance
Non loin de Norilsk, ville arctique du Grand Nord russe, l’effondrement le 29 mai d’un réservoir de carburant d’une centrale thermique a provoqué la fuite de 21.000 tonnes d’hydrocarbures dans l’environnement, provoquant un désastre écologique.
Des images de la rivière Ambarnaïa et des nombreux cours d’eau alentour – colorés de rouge du fait de la contamination – ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant la colère et l’incompréhension des internautes russes. Des réactions d’autant plus vives que les responsables de la centrale ont tenté durant les deux premiers jours de cacher l’incident, avant d’être dépassés par l’ampleur de la catastrophe. L’état d’urgence de niveau fédéral a été décrété le 3 juin.
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https://reporterre.net/Desastre-ecologique-en-Arctique-les-autorites-russes-ont-reagi-trop-tard
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