• Un petit exercice amusant à faire
    pour se rassurer.
     (Le texte plus bas m’a été envoyé sans mentionner son origine.) 
    L'ANOSOGNOSIE OU LE SYMPTÔME DE L’ÂGE  

    Si vous avez déjà 50 ou plus, ne passez pas! lisez, plutôt, ça...
    Depuis un certain temps...

    En parlant, il m’arrive de m’arrêter et ne plus savoir de quoi je parlais... Avant, je craignais qu’il s’agissait d’un début d’Alzheimer... mais aujourd’hui, à la lecture de cet article, je suis rassuré.
    Si quelqu’un a conscience de ses problèmes de mémoire, c’est qu’il n’a pas l’Alzheimer.
    1. J’oublie les noms de familles... 2. Je ne me souviens plus où j’ai rangé certaines choses...
    Il arrive souvent chez les personnes de 50 ans et plus qu’elles se plaignent que la mémoire leur fait défaut ... « les informations sont toujours dans le cerveau, c’est le "processeur" qui fait défaut. »
    Il s’agit de *l’anosognosie* ou l’oubli temporaire.
    La moitié des gens de 50 ans et plus présentent certains symptômes qui sont plutôt dus à l’âge qu’à la maladie. Les cas les plus répandus sont :

    - l’oubli du nom d’une personne, - le fait de se rendre dans une pièce de la maison et ne plus se rappeler pourquoi on y allait, - un blanc de mémoire pour un titre de film ou d’un acteur, d’une actrice, - une perte de temps à chercher où on a laissé ses lunettes ou ses clés.

    Après 60 ans, c'est très remarquable, la plupart des gens présentent une telle difficulté, ce qui indique qu’il ne s’agit pas d’une maladie mais plutôt une caractéristique due au passage des années.

    Bien des gens sont préoccupés de ces oublis. D’où l’importance de l’affirmation suivante : « Ceux qui sont conscients de souffrir de ces oublis n’ont pas de problème sérieux de la mémoire.

    Ceux qui souffrent d’une maladie de la mémoire, dont l’Alzheimer, ne se rendent pas compte de ce qui se passe. »

    Le professeur Bruno Dubois, Directeur de l'IMMA, rassure la majorité des personnes préoccupées par leurs oublis :

    « Plus on se plaint de pertes de mémoire, moins il est probable de souffrir d’une maladie de la mémoire. »

    Maintenant un petit Test Neurologique N'utilisez que vos yeux !
    1- Trouvez le C dans le tableau ci-dessous !

    OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOCOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
     

    2- Si vous avez déjà trouvé le C, trouvez alors le 6 dans le tableau ci-dessous.
    999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999699999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999
     

    3- Trouvez maintenant le N dans le tableau ci-dessous. Attention, c'est un peu plus difficile!
    MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMNMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
     

    Si vous passez ces trois tests sans problème :
    - vous pouvez annuler votre visite annuelle chez le neurologue, - votre cerveau est en parfaite forme, vous êtes loin d'avoir une quelconque relation avec Alzheimer.

     
    (Le texte m’a été envoyé sans mentionner son origine.) 

    Sophie

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  • La désinformation des jeunes au sujet du Sida ne semble pas s’arranger. Un récent sondage montre que les idées reçues concernant la maladie sont bien ancrées, pouvant engendrer des conduites à risque. On fait le point à l’occasion du Sidaction qui se tient tout le weekend.

    25 mars 2022

    Le constat est alarmant depuis de nombreuses années. Les jeunes de 15 à 24 ans sont en maque cruel d’informations concernant le VIH/Sida. Ce n’est pas ce récent sondage Ifop sur la perception des jeunes qui dira le contraire. Les choses on même l’air de s’aggraver. Un exemple : 2 jeunes sur 3 s’estiment bien informés sur la question du VIH/Sida. Il y a 2 ans, ils étaient 3 sur 4.

    Mais dans les faits, sont-ils réellement bien informés ? Sur ce point, les données sont inquiétantes :

    • 27 % considèrent qu’il existe des médicaments pour guérir du Sida ;
    • 18% estiment encore que la pilule contraceptive d’urgence ou un produit de toilette intime peut empêcher la transmission de virus ;
    • 23% des 15-24 ans pensent que le virus du sida peut se transmettre en embrassant une personne séropositive ;
    • 17% des personnes sondées estiment qu’on peut contracter le VIH en entrant en contact avec la transpiration d’une personne séropositive ou en buvant dans son verre.

    « Le VIH s’éloigne des préoccupations des jeunes car il est invisibilisé et ce, depuis plusieurs années », explique Frédéric Dabi, directeur général Opinion du Groupe Ifop. La banalisation de la maladie se confirme : 37% des jeunes interrogés indiquent ne pas en avoir peur et beaucoup estiment que, de toute façon, ils ne sont pas concernés. Ce qui conduit immanquablement à des conduites à risques : seules 66% n’utilisent pas systématiquement un préservatif lors d’un rapport sexuel.

    Quid des cours d’éducation sexuelle ?

    Alors pourquoi ce manque de connaissance ? Depuis 2001, l’éducation à la sexualité est pourtant inscrite dans la loi. Objectif, « apporter aux élèves des informations objectives et des connaissances scientifiques ». Mais dans la réalité, est-ce vraiment mis en place ? Aux vues des idées reçues persistantes, cela semble peu probable. Une récente enquête du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes montrait que « : l’application effective des obligations légales en matière d’éducation à la sexualité en milieu scolaire demeure encore parcellaire, inégale selon les territoires car dépendante des bonnes volontés individuelles. »

    Le Sidaction est peut-être l’occasion de rappeler aux lycéens et étudiants l’importance de rester vigilant.

    Pour en savoir plus rendez-vous sur www.sida-info-service.org

    • Source : Enquête Ifop menée auprès d’un échantillon de 1 002 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 à 24 ans.

    • Ecrit par : Vincent Roche

    • Source : https://destinationsante.com/

      VIH et sida

      27 juillet 2022

      Principaux faits

      Le VIH reste un problème majeur de santé publique de portée mondiale, qui a entraîné jusqu’ici plus de 40,1 millions de décès [33,6 à 48,6 millions].

    La suite : https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/hiv-aids

     

    Que se passe-t-il dans cet extrait de Philadelphia ? Alors que l'affaire se déroule devant le tribunal, Miller (Denzel Washington de Training Day, Glory et Malcolm X) tente de prouver que le licenciement de Becket (Tom Hanks de Forrest Gump, Cast Away et Inferno) était dû au fait qu'il est gay, en démontrant que les gens ont peur des homosexuels parce qu'ils sont différents.

    Cliquez pour acheter Philadelphia sur iTunes : https://apple.co/3pFIrWC 

    De quoi parle le film Philadelphia ?

    Andrew Beckett (Tom Hanks de Forrest Gump, Cast Away et Inferno) est un brillant avocat homosexuel. Son début de carrière dans le cabinet de Charles Wheeler et associés, un des plus grands cabinets d'avocats de Philadelphie, est prometteur. Il est adulé par son milieu, et rien ne semble pouvoir ralentir son ascension.

    Mais un jour, il est licencié pour faute professionnelle. Convaincu qu'il a été chassé parce qu'il a le sida, Andrew décide d'attaquer le cabinet pour licenciement abusif.

    Aucun avocat ne souhaitant se saisir du dossier, il se résigne à assurer sa propre défense. Jusqu'au jour où il rencontre son collègue Joe Miller (Denzel Washington de Training Day, Glory et Malcolm X), avocat noir très ambitieux et légèrement homophobe qui, dans un premier temps, refuse de le défendre puis se ravisant et dans un sens de justice, se décide finalement et prend le dossier en mains. Crédits : © 1993 TriStar Pictures,Inc All Rights Reserved.

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    Dans les années 80 - 90 lorsque le VIH a été découvert, on ne savait pas vraiment de quoi il s'agissait, on ne savait pas comment cela se transmettait ! on a vu des juges portant des masques lors d'un procès, et la peur de manger dans une assiette qui avait servi de couvert à une personne infectée ... 
    En 1993 dans un stage de formation, une personne malade,  qui était logée sur place, a été obligé de signer des document certifiant qu'elle passerait à la javel son lavabos ainsi que toute sa chambre pour éviter la contagion !!
     
    Le VIH c'était le diable, et au départ on a accusé en particulier les homosexuels, alors qu'une personne Hétéro peut en être atteinte .
     
    Et on ne sait toujours pas le guérir, un adolescent m'a raconté que lors d'une cession concernant les informations sur la sexualité la personne qui était là, aurait dit "oh le Sida actuellement il y a des traitements !!" c'est vrai mais ils ne guérissent pas, et j'imagine qu'ils ne sont pas si simple que ca ...
     
    Alors il serait logique que plus d'informations soient donnés à la jeunesse (et aux moins jeunes) car il n'existe pas de barrière d(âge ...

    https://www.france.tv/films/4312015-philadelphia.html


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    Documentaire d'Ovidie. Diffusé sur Arte en juin 2019 (VOF).

    Partout en Europe, des femmes dénoncent les maltraitances qu'elles ont subies durant leur accouchement. Ovidie signe une enquête rigoureuse et bouleversante sur les violences obstétricales et les tentatives pour y mettre fin.

    "Il a tout suturé à vif, ç'a duré quarante-cinq minutes." "Je n’étais plus dans un accouchement, c’était une scène de massacre." "On préférerait mourir plutôt que de sentir ça"…

    S'ils sont glaçants (et bouleversants), les témoignages réunis dans ce documentaire montrent aussi la volonté des femmes de rendre publiques les maltraitances subies durant l'accouchement, longtemps tues.

    En France comme dans le reste de l’Europe, leurs voix s’élèvent pour les dénoncer, amplifiées par les réseaux sociaux et une forte mobilisation militante. Également victime de violences obstétricales, la secrétaire d'État chargée de l'égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, interviewée dans ce film, a jeté un pavé dans la mare, en commandant un rapport sur le sujet. Violence systémique Épisiotomie imposée, césarienne à vif, infantilisation,

    remarques sexistes... : ces violences bafouent une notion fondamentale : le consentement des femmes. Nombre d'entre elles assimilent alors ce qu'elles ont vécu à un viol.

    La réalisatrice féministe Ovidie (Là où les putains n'existent pas) analyse la situation sans manichéisme, en interrogeant tous les acteurs concernés : des victimes, des militantes, des experts, des sages-femmes mais aussi des gynécologues qui dénoncent le manque cruel de moyens du système de santé publique.

    Son enquête rigoureuse explore également l’histoire pour comprendre la source de cette violence systémique, et rappeler, avec des expériences passées ou présentes (l'accouchement sans douleur, la naissance à domicile) qu'un autre modèle, moins médicalisé, peut constituer une solution.

    lostinthiswhirlpool

     

    Groupe de militantes protestant contre les violences obstétricales et gynécologiques à Bruxelles, extrait du documentaire «Tu enfanteras dans la douleur».

     

    Groupe de militantes protestant contre les violences obstétricales et gynécologiques à Bruxelles, extrait du documentaire «Tu enfanteras dans la douleur». © Magneto Presse

    Tu enfanteras dans la douleur», auscultation des violences obstétricales

    https://www.liberation.fr/france/2019/07/16/tu-enfanteras-dans-la-douleur-auscultation-des-violences-obstetricales_1739170

     


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  • Le 18 décembre 2007, l'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté la résolution 62/139 initiée par l'Etat de Qatar qui déclare le 2 avril Journée Mondiale de la Sensibilisation à l'Autisme.

    La France en Bleu - Autisme France

     
     

    www.autisme-france.fr/577_p_33502/la-france-en-bleu.html

     


    Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme


    Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme

    Le 2 avril a lieu la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme. Elle vise à mieux informer le grand public sur les réalités de ce trouble du développement.

    L'autisme est une réalité très présente dans la mesure où ce type de handicap touche 1 personne sur 150 dans le monde.

    La France compte environ 430 000 personnes atteintes d'autisme à des degrés divers, dont 25% d'enfants. Le gouvernement français a mise en place un "plan Autisme" sur 2008-2011, qui vise tout d'abord l'augmentation de la capacité d'accueil en établissements spécialisés et sur la diversification des méthodes de prise en charge et de dépistage précoce.

    Mobiliser les acteurs

    Une des difficultés rencontrée par les parents d'enfants présentant des troubles de ce type réside dans l'établissement du diagnostic et la mise en place d'une prise en charge efficace. Le monde médical est encore aujourd'hui trop divisé et les différents intervenants ont du mal à s'accorder.

    A ce titre, les psychomotriciens adressent aux enfants et aux familles un message de soutien, en espérant que la mobilisation voulue pour la journée mondiale puisse continuer à sensibiliser un maximum d'acteurs autour de cette cause.

    "En attendant une reconnaissance plus juste et de moyens à la hauteur, nous continuons nos démarches éducatives, rééducatives et thérapeutiques pour soutenir au mieux nos patients".

    Un site à visiter : www.fondation-autisme.org

     

    Playlist

     Simplement Autiste

    (Quelques signes de l'autisme)

     

    de Debbie Bloc

     

    Sur Facebook

     

    https://www.facebook.com/simplementautiste?fref=ts


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  • Soumis à la pression scolaire, sociale et familiale, de plus en plus d’adolescents s’enfoncent dans une souffrance physique et psychologique inédite. Émilie, 15 ans et hospitalisée pour "burn-out", raconte.

     Vincent Lacoste et William Lebghil dans le film "Première année", réalisé Thomas Lilti 

    Vincent Lacoste et William Lebghil dans le film "Première année", réalisé Thomas Lilti Crédits : Denis Manin / 31 Juin Films

     

     Émilie est élève en première S dans un lycée de la région parisienne. Bien qu’elle soit bonne élève, ses parents la poussent à en faire toujours plus. 

    Quand je n’avais pas la meilleure note, je me disais que j’étais nulle, que je ne réussirai jamais. 

    Un jour, Émilie craque. Elle est épuisée, ne se sent plus capable d’aller au lycée. Avant la rentrée scolaire, elle est hospitalisée dans un centre qui prend en charge les pathologies propres aux adolescents de 12 à 17 ans. 

    J’ai l’impression d’être adulte dans ma tête, de ne pas avoir eu d’enfance. 

    Notre productrice a suivi Émilie pendant les trois semaines qu’a duré son hospitalisation. L’adolescente raconte les ateliers de thérapie, les entretiens, ses doutes et ses envies. 

     Reportage : Olivia Müller

    Réalisation : Cécile Laffon

     

    Article entier 

    https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/ados-en-burn-out#xtor=EPR-2-[LaLettre15102018]

     
     

    Les Pieds sur terre

    par Sonia Kronlund

    du lundi au vendredi de 13h30 à 14h

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