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  • Les caisses régionales du Crédit agricole, de la Caisse d’épargne, de la Banque populaire et du Crédit Mutuel incitent toujours leurs clients à devenir sociétaires. Pour elles, c’est l’occasion de renforcer leurs fonds propres à moindres frais. Mais pour l’épargnant ce placement de « bon père de famille » a perdu de sa superbe. Les caisses régionales du Crédit agricole, de la Caisse d’épargne, de la Banque populaire et du Crédit Mutuel incitent toujours leurs clients à devenir sociétaires. Pour elles, c’est l’occasion de renforcer leurs fonds propres à moindres frais. Mais pour l’épargnant ce placement de « bon père de famille » a perdu de sa superbe. © Thomas Hodel / Reuters / REUTERS

    À la belle époque, c’est-à-dire avant 2009, les parts sociales faisaient le bonheur de leurs détenteurs. Considérées comme un placement sans risque, elles offraient plus de 4 % de rendement brut par an et ne supportaient aucun frais. Alors quand les banques mutualistes (ce sont les seules pouvant proposer des parts sociales) conseillaient à leurs clients de souscrire des parts, souvent lors de la signature d’un prêt immobilier, histoire de les fidéliser, ils avaient l’impression de faire un bon placement.

    Aujourd’hui les caisses régionales du Crédit agricole, de la Caisse d’épargne, de la Banque populaire et du Crédit Mutuel incitent toujours leurs clients à devenir sociétaires. Pour elles, c’est l’occasion de renforcer leurs fonds propres à moindres frais. Mais pour l’épargnant ce placement de « bon père de famille » a perdu de sa superbe.

    Une rémunération en berne

    Être sociétaire donne droit de se rendre à l’assemblée générale, permet parfois de bénéficier d’événements privés (vernissages, visites…) et surtout de percevoir des intérêts. Seulement, contrairement à ce que l’on peut penser, ces derniers ne dépendent pas de la santé de la banque mais de la loi du 10 septembre 1947 sur le statut de la coopération. En vertu de ce texte, le rendement offert des parts sociales ne peut dépasser le taux moyen des obligations des sociétés privées.

     

    Or celui-ci ne cesse de baisser. Alors qu’il était de 2,46 % en 2013, il est tombé à 1,89 % en 2014 et ce sera pire au titre de 2015 puisque le taux moyen est ressorti à 0,96 % au premier semestre selon le ministère des finances et des comptes publics. Et tant que la Banque centrale européenne injectera 60 milliards d’euros de liquidités sur les marchés tous les mois, les taux resteront faibles et la rentabilité des parts sociales limitée.

     

    Si le rendement baisse, la fiscalité n’a pas suivi la même trajectoire. Les intérêts de parts sociales sont considérés comme des dividendes. Ils sont donc soumis aux prélèvements sociaux de 15,5 % et à l’impôt sur le revenu (sur 60 % de la somme). Si l’on se base sur un rendement brut moyen estimé de 1,10 % en 2015, la performance nette variera entre 0,92 % et 0,63 % selon la tranche de l’impôt sur le revenu de l’épargnant.

    Une revente parfois compliquée

     

    Autre limite des parts sociales : leur liquidité. La revente peut, en effet, se révéler compliquée. D’ailleurs nombreuses sont les banques à prévenir que le délai de cession peut atteindre… cinq ans.

     

    Pour vendre, il faut prévenir son conseiller au plus tard un mois avant la tenue de l’assemblée générale annuelle (elles ont souvent lieu en mai). Dans certains cas, toutefois, des caisses régionales peuvent racheter les parts rapidement si elles ont d’autres clients intéressés pour les acquérir.

     

    Quant au prix de cession, il est garanti uniquement à hauteur de la valeur nominale, qui peut être différente du prix d’achat. Une banque peut faire augmenter cette valeur nominale. C’est ce qu’à fait par exemple Banque populaire Rives de Paris en relevant la valeur de ses parts sociales de 15 à 16 euros en 2006. La réciproque est tout aussi vraie. Un établissement pourrait très bien, en cas d’exercices déficitaires, voter une réduction du capital par diminution de la valeur nominale. Mais cette mesure n’a jamais été mise en application.

     
    Johan Deschamps
     
    • Journaliste au Monde

    http://www.lemonde.fr/

     

     

    Deux Alertes Oranges en France : Parts Sociales dans une banque + Taux d’Intérêts négatifs 

    Eclaircissements

     

    Pourquoi la couleur orange ?
    Parce que la situation sociale, économique, et financière n’est pas encore tout-à-fait dans le rouge ce qui signifie que chacun chacune dispose d’un peu de temps nécessaire à la réorganisation de sa vie avant l’entrée dans le rouge suivi juste ensuite d’un probable effondrement de l’ensemble.


    ● Attention, le premier des deux textes qui va suivre est très important.
    Les mots

    P A R T S O C I A L E
    ont toute leur importance il ne s’agit pas ni d’action, ni d’obligation, ni de quoi que ce soit d’autre, ce n’est pas un synonyme, l’expression « part sociale » désigne juridiquement quelque chose de bien particulier.
    Il est important que vous vous rappeliez si votre conseiller financier ou le guichetier, vous a un jour proposé de souscrire à des parts sociales de la banque dans laquelle vous êtes, tout comme il est important de se remémorer si votre conseiller financier vous aurait offert admettons 50 euros en guise de bienvenue dans son établissement en échange de parts sociales de l’établissement, ou en d’autres termes « un cadeau empoisonné » !

     

    Lire et écouter :

    http://www.choix-realite.org/8259/deux-alertes-oranges-en-france-parts-sociales-dans-une-banque-taux-dinterets-negatifs


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  • Action collective

    Une fois de plus, l’unique réponse qu’envisagent les pouvoirs publics face à la situation dans le Calaisis, c’est l’évacuation d’un camp de réfugiés, et leur dispersion. On feint de s’attaquer aux causes réelles du problème ; mais en réalité, en s’en prenant aux victimes condamnées à se disperser dans la peur, cette politique ne fait que le déplacer et l’aggraver. Cette « solution » n’en est pas une.



    Aux huit organisations qui ont adressé une lettre ouverte à Bernard Cazeneuve pour lui demander de surseoir à l’évacuation programmée d’une grande partie de la « jungle » de Calais, le ministre de l’Intérieur vient d’adresser une réponse qui est une fin de non-recevoir : il justifie sa décision à coups de propos incantatoires sur le respect des droits fondamentaux des migrants et le bien-fondé de politiques qui ne varient pas depuis des années, malgré leur échec évident ; et il rappelle aux associations leur « partenariat » avec l’État comme pour les impliquer dans la politique qu’elles contestent. Dans la foulée, la préfecture du Pas-de-Calais vient de publier un arrêté ordonnant aux occupants de la zone sud du bidonville, dite « la Lande », de quitter les lieux mardi 23 février au plus tard.

    Les bulldozers ne peuvent pas tenir lieu de politique. Cela n’implique évidemment pas de nous accommoder d’une « jungle » dont le nom dit tout. Personne ne saurait accepter le maintien en l’état du bidonville de Calais, pas plus que du camp de Grande-Synthe, ni d’aucun autre. Personne ne peut se satisfaire de voir des réfugiés contraints de survivre dans de tels lieux.

    Depuis des années, nous ne cessons d’ailleurs de dénoncer l’indignité de ces conditions de vie, comme l’a fait également Jacques Toubon, le Défenseur des droits, l’été dernier. Plus récemment, le tribunal administratif de Lille a même condamné l’État à procéder en urgence à des améliorations, décision confirmée par le Conseil d’État.

    Pour autant, il n’est pas question non plus de cautionner l’évacuation annoncée, non seulement parce qu’elle est inhumaine, mais aussi parce qu’elle ne résoudra rien. Chasser les habitants d’une large partie du bidonville, y faire passer des bulldozers et détruire tout ce qui, dans la précarité et avec les moyens du bord, a été construit au fil des mois : à quoi bon ?

    Les migrants qui se trouvent dans le Calaisis veulent souvent rejoindre des proches en Grande-Bretagne. D’autres seraient en droit de demander l’asile en France mais ils ne le savent pas toujours, ou bien ils se méfient de l’accueil qui leur serait réservé. D’autres encore attendent une réponse à leur demande. Parmi eux, il y a beaucoup d’enfants... Or pour plusieurs catégories de migrants, il existe des solutions inscrites dans les textes, avec des dispositifs, des acteurs, des fonds alloués à cet effet. Elles auraient pu être mises en œuvre depuis longtemps déjà.

    Au lieu de s’y atteler, les pouvoirs publics ont préféré procéder à des « démantèlements » successifs. En 2015, ils ont contraint les migrants ainsi délogés à s’installer dans une zone « aménagée » pour eux. Bref, ils ont déjà défait ce qui se faisait, forçant ceux qu’ils chassaient à vivre dans une précarité plus grande encore.

    Aujourd’hui, la partie principale du bidonville d’État de Calais est constituée de tentes et d’abris sommaires, bâtis par les réfugiés avec des bénévoles de différentes associations. Dans ces quelques kilomètres carrés sont nés peu à peu des cafés ou des restaurants de fortune, de minuscules épiceries, des lieux de culte de différentes religions, de toutes petites écoles, un théâtre sous chapiteau, une cabane d’aide juridique, plusieurs endroits dévolus à des soins, etc. Autant d’espaces de vie sociale, partagés par les réfugiés des différentes nationalités présentes dans le bidonville.

    Qu’est-ce qui justifie de raser tout cela ? Le ministre veut convaincre que c’est pour le bien des occupants. En réalité, c’est une politique de dissuasion : rendre la vie invivable aux réfugiés. À ceux qu’ils ont hier installés dans cette zone, les pouvoirs publics enjoignent depuis des semaines d’occuper des conteneurs - sortes d’Algecos - ou sinon d’être dispersés loin de Calais, dans des CAO (centres d’accueil et d’orientation), baptisés « lieux de répit ».

    Or c’est une alternative impossible.

    Le ministre vante les mérites des conteneurs, qui sous sa plume semblent des bungalows pour vacanciers. Le fait est qu’il s’agit de cabanes de chantier, avec dans chacune des lits superposés pour douze personnes, où l’on ne peut qu’être debout ou couché ; toute installation de mobilier y est interdite, toute intimité impossible...

    Concernant les CAO, le ministre se félicite de ce qu’ils permettraient aux migrants, grâce à « un accompagnement associatif de qualité » et à « un suivi particulier » des personnes, de déposer des demandes d’asile dans de bonnes conditions, ce qui n’était pas le cas dans le bidonville. « Au dernier recensement », écrit-il, « 80 % des migrants encore présents en CAO étaient engagés dans une démarche d’asile »... Il oublie de parler de ceux qui, mis en hôtel, sont privés de tout accompagnement et risquent une prochaine expulsion du territoire. Il oublie aussi de préciser que les CAO ont été conçus comme des solutions à très court terme ; après leur fermeture, qu’adviendra-t-il des personnes qui y auront été envoyées ?

    Conteneurs, CAO ; expulsion, dispersion ; ces réponses ne feront qu’aggraver le sort des migrants sans régler pour autant le problème auquel est confrontée la région du Calaisis, pas plus qu’en son temps la fermeture du camp de Sangatte. Et dans un an, on nous rejouera la même scène. Car c’est avant tout l’inaction des pouvoirs publics, mais aussi leur action, qui, en créant des conditions de vie impossibles, rend la situation ingérable. L’État veut nous faire croire qu’il prend le parti des habitants contre les réfugiés ; en réalité, il monte les premiers contre les seconds en abandonnant les uns et les autres.

    Il faut cesser de chasser de jungle en bidonville toute la misère du monde, persécution qui ne fait qu’exaspérer le ressentiment des « riverains ». Non, le malheur des migrants ne fera pas le bonheur des Français, pas plus à Calais qu’ailleurs. En réalité, laisser se dégrader la situation est plus pénible pour les populations du Calaisis, et plus coûteux aussi pour les pouvoirs publics, que s’employer à l’améliorer. L’humanité la plus élémentaire nous interdit ces destructions à répétition ; mais notre intérêt bien compris aussi.

    Ce pays peut-il se satisfaire de devenir le champion du non-accueil, alors que les réfugiés y sont moins nombreux qu’ailleurs ? Ce que d’autres pays font déjà, la France doit pouvoir le faire. La Grande-Bretagne, qui porte une lourde responsabilité dans cette situation, doit elle aussi revoir sa position à cette frontière. Il faut en finir avec l’improvisation perpétuelle ; il est temps de penser dans la durée. Et si l’État ne fait pas son travail, nous allons y travailler nous-mêmes – avec les associations sur le terrain, avec les habitants du Calaisis et avec les réfugiés.

    Les jours prochains, nous irons à Calais pour le clamer haut et fort : nous ne sommes pas condamnés à choisir entre la « jungle » et sa destruction. Nous refusons de réduire la France à des barbelés et des bulldozers. Nous tiendrons une conférence de presse. Nous voulons faire entendre un autre discours que celui des pouvoirs publics qui occupent les médias. Détruire, dit la Préfète ? Avec, sans ou contre l’État si nécessaire, il faudra pourtant bien construire un avenir.

    Une fois de plus, nous, organisations signataires et personnes solidaires, demandons :

    -    que soit annulé l’arrêté d’expulsion pris le 19 février ;
    -    en urgence : une prise en charge individuelle respectueuse des droits fondamentaux des personnes actuellement présentes à Calais ;
    -    une discussion du règlement Dublin III et des Accords du Touquet ;
    -    plus largement, que la France s’engage enfin, en particulier en faisant la promotion de cet axe au sein de l’Union européenne, pour une véritable politique d’accueil des personnes migrantes.




    Organisations et personnalités signataires :

    Organisations
    Act & Help
    Actes Et Cités
    Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT)
    ActionFroid-Calais (Paris)
    Action Tunisienne
    Association AILES – Femmes du Maroc
    Association Démocratique des Tunisiens en France (ADTF)
    Alternatives Européennes
    Alternative libertaire
    Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé)
    Association des Marocains en France (AMF)
    Association d’Accueil aux médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
    Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF)
    Auberge des migrants (Calais)
    Avocats pour la défense des droits des étrangers (ADDE)
    Barcelona Accion Solidaria
    Boston2calais (Massachussetts, USA)
    Bridge2 (Grande-Bretagne)
    Calais Action
    Care4Calais
    Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale (Cedetim)
    Centre de Recherche et d’Information pour le développement (CRID)
    La Cimade
    La Cimade régionale Nord Picardie
    Comité pour la santé des exilés (Comede)
    Collectif de sans-papiers CSP 75
    Collectif de soutien de l’EHESS aux sans papiers et aux migrant-es
    Collectif de Soutien aux Familles Roms de St Denis
    Collectif pour l’avenir des foyers (Copaf)
    Collectif R, Lausanne (Suisse)
    Conseil d’urgence citoyenne
    Day-mer, Turkish and Kurdish Communtiy Centre, London (Grande-Bretagne)
    Droits devant
    Droits d’urgence
    ECNou, « Eux c’est Nous » (Pas-de-Calais)
    École Laïque du Chemin des Dunes (Calais)
    Emmaüs Boulogne
    Emmaüs Dunkerque
    Emmaüs France
    Emmaüs Europe
    Emmaüs International
    EuroMed Rights
    Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s (Fasti)
    Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH)
    Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (FNARS)
    Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR)
    Fédération Syndicale Unitaire (FSU)
    La Ferme des Ânes, Brouckerque (Pas-de-Calais)
    FIDL, le syndicat lycéen
    Flandre Terre Solidaire
    Fondation Frantz Fanon
    Forum des organisations de solidarité internationale issues des migrations (Forim)
    France Amérique Latine (FAL)
    France Libertés
    Front uni des immigrations et des quartiers populaires (FUIQP 59/62)
    Groupe d’information et de soutien des immigré.e.s (Gisti)
    Initiatives pour un autre monde (Ipam)
    Islam et laïcité
    Itinérance Cherbourg
    Jesuit refugee service (JRS) France
    Ligue de l’enseignement
    Ligue des droits de l’Homme (LDH)
    Marche des femmes pour la dignité (Mafed)
    Association Marilyn et Marie-Myriam (Si les Femmes Comptaient)
    Médecins du Monde (MdM)
    Médecins sans Frontières (MSF)
    Mouvement Burkinabe des Droits de l’Homme et des Peuples (Comité Régional Aquitaine et section de France)
    Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP)
    MRAP - Comité du Littoral Dunkerquois
    Neuilly Emmaüs avenir
    Observatoire citoyen du CRA de Palaiseau
    Observatoire de l’enfermement des étrangers (OEE)
    Organisation pour une Citoyenneté Universelle (OCU)
    Revue Incise
    Revue Pratiques
    Refugee Foundation EV (Allemagne)
    Réseau Éducation sans frontières (RESF)
    Réseau Euromed France (REF)
    Réseau Foi & Justice Afrique Europe
    Réseau Immigration Développement Démocratie (IDD)
    Réseau Reprenons l’initiative contre les politiques de racialisation
    Le Réveil voyageur (Calais)
    Secours Populaire, comité de Vendin-Oblinghem
    Solidarine
    Solidarité Laïque
    Syndicat des avocats de France (SAF)
    Syndicat de la magistrature (SM)
    Syndicat de la médecine générale (SMG)
    Tenons et mortaises
    Terre d’errance -Norrent-Fontes (Pas-de-Calais)
    Terre d’errance -Steenvoorde (Pas-de-Calais)
    Union syndicale Solidaires
    Utopia 56

    Personnalités
    Laurence Abeille, députée du Val de Marne
    Michel Agier, anthropologue, directeur d’études à l’EHESS
    Agnès B., styliste
    Carlos Agudelo, chercheur associé, URMIS (Unité de Recherche Migrations et Société)
    Philippe Aigrain, essayiste et poète
    Karen Akoka, maître de conférence en science politique, Université Paris Ouest Nanterre
    Eric Alliez, professeur, Paris 8
    Emmanuel Alloa, maître de conférences en philosophie, Université Sankt Gallen (Suisse)
    Charles Alunni, enseignant-chercheur, École normale supérieure de Paris
    Rosana Alves Costa, docteur en psychologie clinique, Universidade Federal de Sao Paulo
    Anne-Claude Ambroise-Rendu, professeure d’Histoire, Université de Limoges
    Claire Angelini, cinéaste et artiste
    Isabelle Attard, députée citoyenne du Calvados, Groupe Ecologiste
    Jean-Christophe Attias, directeur d’études à l’EPHE (Sorbonne), chaire de pensée juive médiévale
    Laurent Aucher, sociologue
    Daniele Auroi, députée EELV du Puy de Dôme
    Chryssanthi Avlami, historienne, Université Panteion des sciences politiques et sociales, Athènes
    Eduardo Ayres Tomaz, doctorant, philosophie politique
    Etienne Balibar, professeur émérite, Université de Paris-Ouest Nanterre
    Géraldine Barron, doctorante en histoire, Paris Diderot
    Julien Bayou, porte parole national EELV
    Esther Benbassa, directrice d’études à l’EPHE (Sorbonne), sénatrice du Val-de-Marne
    Gisèle Berkman, professeur de lettres
    Bruno Bernardi, philosophe
    Arno Bertina, écrivain
    Sophie Bessis, historienne
    Emmanuel Blanchard, président de Migreurop
    Nedjma Bouakra, productrice pour la radio France Culture
    Florence Bouillon, anthropologue
    Mathieu Bouvier, artiste chercheur
    Gérard Bras, philosophe, président de l’Université populaire des Hauts-de-Seine
    Rodolphe Burger, artiste
    Claude Calame, directeur d’études, EHESS
    Nicole Caligaris, écrivain
    Marie-Claire Caloz-Tschopp, directrice de programme au Collège International de Philosophie, Genève - Paris
    Laurent Cantet, cinéaste
    Cécile Canut, professeure des universités, Université Paris-Descartes-Sorbonne
    Miguel Castello, docteur en philosophie
    Monique Chemillier-Gendreau, professeur émérite à l’université Paris Diderot
    Catherine Chevallier, rédactrice photo
    Olivier Clochard, chargé de recherche au CNRS, laboratoire Migrinter, Université de Poitiers
    Catherine Colliot-Thélène, Université Rennes 1
    Catherine Coquio, littérature, professeur à l’université Paris Diderot
    Lycette Corbion-Condé, maître de conférences en droit privé à l’Université de Toulouse 1 Capitole
    Philippe Corcuff, maître de conférences de science politique à l’IEP de Lyon
    David Cormand, Secrétaire national de EELV
    Marie Cosnay, enseignante, écrivain
    Maria Letizia Cravetto, romancière et poète, directeur de programme au Collège international de philosophie, Paris
    Marie Cuillerai, professeur des Universités, Paris 7-Diderot
    Alexis Cukier, philosophe, Fondation Copernic
    Didier Daeninckx, écrivain
    Fanny Darbus, sociologue
    Sonia Dayan-Herzbrun, sociologue, professeure émérite à l’université Paris-Diderot
    Fred Decosse, sociologue, LEST-CNRS
    Karima Delli, eurodéputée Europe Écologie du nord
    Anne-Emmanuelle Demartini, maître de conférences, Université Paris-Diderot-Paris7
    Fabrice Dhume, sociologue, enseignant-chercheur à l’université Paris Diderot
    Emmanuel Dockès, Université Paris Ouest Nanterre
    Stéphane Douailler, professeur de philosophie, université Paris 8
    Laurence Dubin, professeure de droit, Université Paris 8
    Mélanie Duclos, docteur en sociologie de l’université Paris Diderot
    Speranta Dumitru, Université Paris Descartes & CERLIS CNRS
    Philippe Enclos, maître de conférences en droit privé, Lille
    Kévin Eybert, doctorant en sociologie, université Paris Diderot
    Mireille Fanon-Mendes-France, experte ONU
    Didier Fassin, professeur, Institut d’études avancées de Princeton
    Éric Fassin, sociologue, professeur à l’Université Paris-8
    Michel Feher, philosophe, président de Cette France-là
    Nathalie Ferré, professeure de droit, Paris 13
    Laurent Fleury, Université Paris Diderot
    Simone Gaboriau, présidente de chambre honoraire de la Cour d’appel de Paris, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature
    Nathalie Garraud, metteur en scène, compagnie du Zieu
    Catherine Gégout, ancienne Conseillère de Paris
    François Gemenne, chercheur en science politique, Science Po, Université de Liège
    Claudia Girola, maitre de conférence de sociologie et anthropologie
    Anne Gleonec, CEFRES, Prague
    Pilar Gonzalez Bernaldo, professeur d’Histoire et Civilisation de l’Amérique latine, Université Paris Diderot
    Camille Gourdeau, doctorante en sociologie, Paris Diderot
    Luce Goutelle, artiste
    Cyrille Granget, enseignante-chercheuse en sciences du langage à l’Université de Nantes
    Ninon Grangé, maître de conférences, philosophie, Paris 8
    Nacira Guénif, professeure Université Paris 8
    Serge Guichard, membre du réseau Reprenons l’initiative
    Virginie Guiraudon, directrice de recherche CNRS, Sciences Po Paris
    Jean Waddimir Gustinvil, docteur en philosophie, enseignant-chercheur à l’ENS de l’Université d’État d’Haïti
    Eric Hazan, éditeur
    Stephanie Hennette Vauchez, professeure de droit public, Université Paris-Ouest Nanterre-La-Défense
    Catherine Heurteux Peyrega, éditrice
    Michael Hoare, Copaf
    Srecko Horvat, philosophe, Democracy in europe movement (Croatie)
    Sandra Iché, chorégraphe
    Emmanuelle Jacobson-Roques, photographe
    Eva Joly, députée européenne, EELV
    Maria Kakogianni, Université Paris 8
    Jérôme Karsenti, avocat
    Anne Kerzerho, directrice pédagogique d’EXERCE, master en danse, CCN de Montpellier
    Ariane Labed, actrice
    Mylène Lauzon, directrice artistique le Bellone- Bruxelles (Belgique)
    Christian Lazzeri, professeur à l’université Paris-Ouest Nanterre-la-Défense
    Pierre Le Pillouër, écrivain
    Éric Lecerf, maître de conférences, département de philosophie, Université Paris 8
    Martine Leibovici, Université Paris-Diderot
    Marie-Magdeleine Lessana, psychanalyste, écrivain
    Danièle Lochak, juriste, professeur émérite de l’Université Paris-Ouest Nanterre
    Camille Louis, philosophe, artiste-dramaturge co créatrice du collectif kom.post
    Elise Lowy, secrétaire nationale adjointe d’EELV
    Michael Lowy, chercheur émerite au CNRS
    Seloua Luste Boulbina, philosophe, CIPH
    David Lyons, musicien
    Géraldine Magnan, journaliste
    Sarah Mailleux Sant’Ana, doctorante, Université Paris Diderot- Paris 7
    Noël Mamère, deputé écologiste
    Françoise Martres, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature
    Jeanne Mascolo de Filippis, réalisatrice
    Jean Matringe, Professeur de droit, Université Paris 1 Sorbonne
    Stéphane Maugendre, avocat, président du Gisti
    Jacques Message, professeur de philosophie en classes préparatoires
    Juliette Mézenc, écrivain
    Alain Michard, artiste chorégraphe, Rennes
    Niccolo Milanese, Chair, European Alternatives
    Christophe Mileschi, professeur des universités, traducteur, écrivain
    Alain Minet, docteur en sociologie
    Marianne Mispelaëre, éditrice et artiste
    Muriel Montagut, chercheure associée, Laboratoire de Changement Social et Politique (Paris Diderot)
    Didier Moreau, enseignant-chercheur Paris VIII
    Alain Morice, laboratoire Urmis et réseau Migreurop
    Mirjana Morokvasic, sociologue
    Aurore Mréjen, docteur en philosophie, chercheuse au LCSP, Paris Diderot –Paris 7
    Laurent Mucchielli, sociologue
    Jean-Luc Nancy, philosophe
    Daniela Neuendorf, president of the board Refugees Foundation, Köln (Allemagne)
    Frédéric Neyrat, philosophe
    Gérard Noiriel, directeur d’études à l’EHESS
    Bertrand Ogilvie, professeur de philosophie Université de Paris 8
    Elaine Ortiz, Founder of the hummingbird project (Grande-Bretagne)
    Joel Oudinet, maitre de conférences en Economie, Université Paris 13
    Cédric Parizot, anthropologue, IREMAM, CNRS
    Karine Parrot, professeure de droit
    Willy Pelletier, sociologue, université de Picardie, coordinateur général de la Fondation Copernic
    Geneviève Petauton, Copaf
    Eric Premel, artiste
    Marie Preston, artiste
    Catherine Quiminal, professeure émérite URMIS, université Paris Diderot
    Jacques Rancière, professeur émérite à l’Université Paris VIII
    Emmanuel Renault, professeur de philosophie, Université Paris-Ouest Nanterre-La-Défense
    Matthieu Renault, Université Paris 8
    Neal Richardson, musicien de jazz
    Nelly Robin, chargée de recherches CEPED, Paris Descartes Ined IRD, Migrinter, CNRS
    Diane Roman, professeure de droit, Université François-Rabelais, Tours
    Joël Roman, président de Islam et laïcité
    Sandrine Rousseau, porte parole d’EELV, Lille
    Claire Saas, enseignante-chercheuse
    Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, professeur, INALCO, CESSMA
    Jane Sautière, écrivaine
    André Scala, enseignant de philosophie
    Paul Schor, americaniste, professeur à l’Université Paris-Diderot
    Johanna Siméant, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
    Laurence Sinopoli, Université Paris X Nanterre
    Serge Slama, maitre de conférences en droit public, Université Paris Ouest-Nanterre-La Défense, CREDOF
    Heidi Sleiman, Calais/Dunkirk Volunteer, Boston, MA (USA)
    Elsa Stamatopoulou, Director, Columbia University, New-York
    Laurent de Sutter, professeur de droit
    Federico Tarragoni, maître de conférences en sociologie, Université Paris 7-Denis Diderot
    Étienne Tassin, philosophe, professeur à l’université Paris Diderot
    Albena Tcholakova, sociologue
    Jean-Paul Thibeau, artiste coordinateur des Protocoles Méta (Marseille)
    Sophie Thonon-Wesfreid, présidente déléguée de France Amérique Latine
    Marine Tondelier, membre de la direction d’EELV, élue d’opposition à Hénin-Beaumont
    André Tosel, professeur émérite de Philosophie, Université de Nice
    Loïc Touzé, artiste chorégraphe
    Maryse Tripier, sociologue
    Madeleine Valette-Fondo, professeure de littérature honoraire, Université Marne-la-Vallée
    Eleni Varikas, professeure émérite
    Patrick Vauday, Université Paris 8
    Patrice Vermeren, directeur du département philosophie, Université Paris 8
    Pauline Vermeren, post-doctorante en philosophie, université Paris Diderot
    Christiane Vollaire, philosophe
    Sophie Wahnich, directrice de recherche
    Catherine Wihtol de Wenden, militante de la LDH, directrice de recherche CNRS
    Laurence Zaderatzky, membre du Conseil National du Parti Communiste Français et de la commission Libertés/migrations
    Jean-Pierre Zirotti, professeur émérite, sociologue, Université Nice Sophia-Antipolis

    Avec le soutien de :
    Ensemble !
    Europe écologie - Les Verts (EELV)
    Nouveau Parti anticapitaliste (NPA)

     

    Source

     

    http://www.lacimade.org/

    https://www.facebook.com/events/1170710066296020/

     

    Sur France Culture Calais :

    Calais - France Culture

     

    Pétitions :

    Jungle de Calais - ccfd-terresolidaire.org‎

     

    Une pétition contre le démantèlement de la jungle des ...

     

    Pétition contre la destruction du bidonville | Passeurs d ...

     

    Calais : le démantèlement partiel de la "jungle" a débuté

    lundi 29 février 2016 10:13

    Le démantèlement de la \\\"jungle\\\" de Calais, confirmé par la justice jeudi dernier, a débuté ce matin
     
    Le démantèlement de la "jungle" de Calais, confirmé par la justice jeudi dernier, a débuté ce lundi matin © MaxPPP

    Le démantèlement de la "jungle" de Calais validé par la justice la semaine dernière a commencé ce lundi matin avec de gros renforts policiers. Au moins une personne a été interpellée.

     

    Le démantèlement partiel de "la jungle de Calais" a débuté ce lundi matin, rapporte le journaliste de France Inter Thibault Lefèvre sur son compte Twitter. "Renfort massif et entreprise de démolition" en cours, précise-t-il. Environ 100 policiers sont mobilisés dont trois compagnies de CRS et la Brigade Anti Criminalité (BAC) sont mobilisés pour l'opération selon notre confrère. 

     

    La suite 

    http://www.franceinfo.fr/fil-info/article/calais-le-demantelement-partiel-de-la-jungle-debute-770511


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  •  sauvons notre planéte en la respectant avant tout...
    apprenons a nos enfants a l'aimer...
     

    Pour tous les amoureux de la nature...

     

    amitieebleue


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  • LA CHOUETTE est un animal très fascinant et plein de mystère qui voit dans l’obscurité.

    En tant qu’animal totem, elle vous guide pour voir au-delà de l’illusion et du mensonge en vous aidant à être attentif à ce qui reste habituellement caché et qui passe généralement inaperçu.

    C'est un annonceur de changement, dans de nombreuses traditions elle est associée à la mort, qui peut être aussi considérée symbolique et interprétée comme une transformation profonde.

    Cet animal est associé à l'amitié, à la sagesse et à l'intuition.

    Chez les amérindiens elle représente le changement et le détachement ainsi que la capacité de transformer la faiblesse en force.

     

    Terre Mère MotherEARTH


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