-
Le cessez-le-feu à l'initiative des États-Unis et de la Russie a été accepté par l'opposition à Bachar el-Assad et par les forces kurdes syriennes. Le Haut Comité des négociations a annoncé ce vendredi que 97 factions rebelles avaient approuvé l'arrêt des hostilités. Leur communiqué a indiqué que les deux groupes étaient «d'accord pour respecter la trêve qui durera deux semaines». Une commission militaire devrait également être créée afin de coordonner l'application du cessez-le-feu. Cet arrêt des hostilités sera le premier dans un conflit qui dure depuis 2011. Faisant 270.000 morts, cette guerre a aussi poussé plus de la moitié de la population syrienne à l'exode à l'étranger ou à l'intérieur du pays.
Des frappes russes juste avant la trêve
L'accord ne prend pas en compte l'État islamique et le Front al-Nosra (branche syrienne d'al-Qaida). Ces organisations djihadistes resteront les cibles des frappes syriennes, russes et de la coalition internationale. Vladimir Poutine a confirmé que «la lutte implacable contre ces organisations sera, bien entendu, poursuivie». Les Occidentaux craignent cependant que les frappes russes visent aussi d'autres groupes rebelles opposés au gouvernement syrien. En poursuivant ses bombardements moins de 24 heures avant l'application de la trêve, la Russie inquiète «sérieusement» la Turquie. Face aux attaques des forces russes et du régime de Bachar el-Assad, les Turcs indiquent vouloir voir ce qui se «produira concrètement sur le terrain».
De son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU devait adopter vendredi soir une résolution visant à déboucher à terme à un «cessez-le-feu durable». Les Nations unies n'oublient pas de spécifier le besoin d'un «accès humanitaire libre, sûr et rapide», notamment pour les 4,6 millions de Syriens bloqués dans des zones assiégées. Le président Barack Obama a appelé jeudi les parties concernées à respecter leurs engagements, cette trêve étant selon lui «une étape possible afin de mettre fin au chaos» en Syrie
2 commentaires -
-
Quel est le point commun entre les villes de Saint-Gilles Croix de Vie, Fontenay le Comte et La Roche sur Yon ? Toutes les trois ont un « rond-point de l’Europe », symboliquement occupé par les agriculteurs en colère ce mercredi 24 février.
Car si les automobilistes auront parfois pu être agacés par ces ralentissements, marqués par l’épaisse fumée noire qui se dégageait de pneus brûlant au centre du giratoire, la colère des agriculteurs est encore plus grande. On peut même dire, d’un certain point de vue, qu’ils ont atteint le seuil limite de tolérance.
Les raisons de la colère
La raison ? Des prix d’achat de la viande rouge, du porc, du lait, en dessous du coût de production. Autrement dit, pour produire, l’agriculteur se met aujourd’hui en déficit chaque mois.
Le problème n’est pas nouveau, et en juin dernier, un accord avait été négocié. Il fixait des bases jugées satisfaisantes pour les agriculteurs, à savoir 340€ la tonne de lait, 1,40€ le kilo de porc et 4,60€ le kilo de viande… Oui mais voilà : depuis juin, le malaise persiste chez les agriculteurs. Patrice Remaud, président de la section lait de Vendée et membre du bureau de la FDSEA, déplore :
La suite :
http://www.lecourriervendeen.fr/2016/02/25/prix-de-vente-les-agriculteurs-au-bout-du-rouleau-2/
votre commentaire -
Lien de l'image
http://www.competencephoto.com/Concours-La-vie-est-belle-les-resultats-31-a-40_a199.html
à l'horizon, je vois la mer.
Je mesure le temps passé.
Éloge à la vieillesse
mes cheveux blanc se dessinent
dans le vent racontant mes amours
mes enfants
mes lunes
mes chagrins
ma vie passé est un souvenir
celle de demain un diamantÉloge à la vieillesse
mes rides sillonnent
tracent mon histoire
Éloge à la vieillesseMon corps, mon visage
ce dessin ce parchemin
est une carte
au savoir
non monnayable
Éloge à la vieillesse
je ne cours pas
après la jeunesse artificielle
celle qui parle de la peur de mourir
Éloge à la vieillesse
j' ai le temps de guetter les étoiles
écouter le vent
donner ma main à mes petits enfants
aux femmes de ma tribu
voici ma force
Éloge à la vieillesse
reconnaissance aux sages
nos maîtres
écoutons la paroles de nos vieux
de nos ancètres
Éloge à la vieillesse
nous n'aurons pas assez
d'une vie pour aimer
donner
recevoir
pardonner
guérir
regarder les nuages
sentir les fleurs
caresser avec amour
Éloge à la vieillesse
car sommeille en nous
cette sagesse gardons là
précieusement
Yael
Source
http://lechantdesarbres.over-blog.com/
Sur un autre de mes blogs
M'aimeras tu ?
http://roselyne-83.spiritualite.over-blog.com/article-m-aimeras-tu-121927278.html
votre commentaire -
Les forces du gouvernement reprenant le contrôle sur Alep, le 21 février 2016. GEORGE OURFALIAN / AFP
Washington et Moscou ont annoncé, lundi 22 février, l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu en Syrie à partir du 27 février à minuit, heure de Damas, selon un communiqué commun des Etats-Unis et de la Russie. Cette interruption des hostilités est toutefois soumise à la validation du régime de Damas et de l’opposition. Elle ne concernera pas les organisations terroristes Etat islamique et Front Al-Nosra, la branche d’Al-Qaida en Syrie.
« La cessation des hostilités s’appliquera aux parties prenantes au conflit syrien qui ont indiqué qu’elles respecteront et appliqueront les termes » de l’accord, précise le communiqué du département d’Etat américain. Ces parties ont jusqu’au 26 février à midi, heure locale, pour faire part, aux Etats-Unis ou à la Russie, de leur adhésion à l’accord.
Le régime de Damas a annoncé dans un communiqué, mardi 23 février, qu’il acceptait la trêve, mais qu’il continuerait à combattre les « groupes terroristes », dont l’organisation Etat islamique (EI) et le Front Al-Nosra. Mais sa décision d’organiser des élections législatives le 13 avril, annoncée lundi, interroge sur sa détermination à négocier une transition politique. Les termes de la résolution 2254 de l’ONU prévoient des élections parlementaires et présidentielle « dans les dix-huit mois » après la mise sur pied d’une gouvernance de transition.
Moscou et Washington espèrent un cessez-le-feu en Syrie samedi prochain
France Culture
22.02.2016
votre commentaire