• Single 'Tous les cris les S.O.S' de ZAZ extrait de l'album Balavoine(s) :

    https://CapitolMusic.lnk.to/Balavoines

    Réalisation :Julien Bloch Production :

     

    Naked Compagnie Suivez l'actualité du projet Balavoine(s) :

    http://www.balavoines.com

    https://www.facebook.com/Balavoines/

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    https://twitter.com/balavoines

    http://vevo.ly/CJQHBc

     

    Mix – Zaz - Tous les cris les S.O.S - Balavoine(s)

    YouTube

    https://www.youtube.com/watch?v=5ZDsCJ4rGD4&list=RD5VBSaGz0fnc&index=2

     

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    Nous ne pouvons pas laisser cela se produire - pas tant qu’il nous reste une chance de protéger ce que ce pipeline met en péril. Suivez notre blogue en direct pour obtenir des mises à jour et des infos sur la façon de soutenir cette action.


    Le navire pétrolier que nous bloquons transporte du pétrole issu des sables bitumineux en provenance du terminal du pipeline Trans Mountain. Si le projet d'expansion de ce pipeline se poursuit, cela multipliera par sept le trafic maritime pétrolier actuel sur cette côte, ce qui aura pour conséquence d’accroître les risques de déversements pour les communautés côtières et la vie marine sur la côte Pacifique.

    En outre, la pollution sonore de ces navires pétroliers pourrait mettre en péril les 75 derniers épaulards résidents du sud menacés d'extinction.

    Les données sur les fuites pétrolières nous le montrent. Aucune compagnie n’est à l’abri d’un déversement de pipeline ou d’un bris d’équipement. Hors, si ce projet d’expansion voit le jour, l’augmentation du nombre de barils transportés et du nombre de navires pétroliers qui navigueraient le long de la côte Pacifique représentera une menace permanente pour l'eau potable, l'océan et les millions de personnes qui vivent sur cette côte et sur le tracé du pipeline, y compris les communautés autochtones dont les territoires sont traversés par ce projet sans leur consentement.

    Le projet d’expansion Trans Mountain signifie aussi à la source l’augmentation de l'extraction du pétrole des sables bitumineux, avec pour conséquence des émissions de gaz à effet de serre supplémentaires. De quoi alimenter les catastrophes climatiques et les super-tempêtes partout sur la planète.

    Il nous faut avoir une vision globale des conséquences que peuvent avoir de tels projets. C’est pour toutes ces raisons que nous passons à l'action aujourd'hui.

    Ce pipeline ne sera pas construit. Pas en notre nom et pas avec l’argent de nos impôts. Suivez-nous via notre blogue en direct pour obtenir des mises à jour et pour passer à l'action avec nous.

    Avec espoir,

    Mike
    Chargé de campagne Climat & Énergie, Greenpeace Canada


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  • Défenseur acharné de la cause d’Israël, il était notamment l’auteur du documentaire « Shoah »,

    consacré à l’extermination des juifs pendant la seconde guerre mondiale.

    Claude Lanzmann, à Paris en septembre 2013.

    Le cinéaste et journaliste Claude Lanzmann est mort à Paris, jeudi 5 juillet, à l’âge de 92 ans. Il était né le 27 novembre 1925 à Bois-Colombes dans une famille d’origine juive d’Europe de l’Est, immigrée en France à la fin du XIXsiècle.

    En 1934, à la suite du divorce de ses parents, Claude, son frère cadet Jacques (écrivain, scénariste et parolier) et sa sœur Evelyne (Evelyne Rey, actrice de théâtre), emmenés par leur père, vont vivre à Brioude, en Haute-Loire. Ils y restent jusqu’en septembre 1938. Quand la famille retourne à Paris, Claude poursuit ses études au lycée Condorcet, où il découvre l’antisémitisme lorsqu’il assiste au quasi-lynchage d’un élève juif nommé Lévy, sans oser intervenir. Il subit lui-même des remarques antisémites.

     

    Article complet

    https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2018/07/05/le-journaliste-et-cineaste-claude-lanzmann-est-mort_5326313_3382.html

     

    Au revoir à ce grand Monsieur,

    Condoléances à tous ses proches ...

     

     

    Un film à voir et à revoir

    Pourquoi ne faut-il pas oublier les évènements historiques et pourquoi est-il important de se construire une mémoire collective ?

    pour que les mêmes erreurs ne se reproduisent pas ...

     

     

     

     


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    « Les plantes sont beaucoup plus intelligentes que les animaux »

    Le «neurobiologiste végétal» Stefano Mancuso étudie les stratégies fascinantes et méconnues développées par les plantes pour survivre sans bouger

     

    Professeur à l’Université de Florence (Italie), Stefano Mancuso a fondé le Laboratoire international de neurobiologie végétale. Il est l’auteur, avec la journaliste Alessandra Viola, du livre Verde brillante qui, depuis sa ­publication en 2013, a été traduit en une vingtaine de langues. La version française vient de paraître sous le titre L’intelligence des plantes (Albin Michel).

     

    Le Temps: Vous expliquez dans votre livre que les ­plantes sont vues comme des êtres vivants de seconde zone. Qu’est-ce qui explique cela?

    Il y a une sorte d’aveuglement face au monde végétal. C’est inscrit dans notre fonctionnement cérébral, cela a été étudié, et il existe même une expression en anglais pour cela: plant blindness, la «cécité pour les plantes». C’est probablement dû au fait que notre cerveau n’est pas très bon pour traiter la quantité immense de données qui transitent par nos yeux. Il filtre donc tout ce qui n’est pas intéressant pour notre survie immédiate et se ­ concentre sur la détection des dangers que peuvent représenter les autres animaux ou les autres humains. Mais pas sur les plantes, au ­milieu desquelles nous avons toujours évolué.

     
    Au cours des dernières années, il y a eu ­beaucoup de découvertes sur la sensibilité des plantes à leur environnement. Mais que sont-elles capables de faire? 
     J’ai l’habitude de dire que les plantes ont les mêmes comportements que les animaux, mais qu’elles font les choses différemment, sans se déplacer. Elles ont suivi une sorte d’évolution parallèle à celle des animaux et c’est pourquoi nous avons tant de mal à les comprendre, parce qu’elles sont si différentes de nous. Prenons l’exemple de la mémoire. C’est quelque chose que, normalement, nous n’associons pas aux plantes. Mais elles sont ­capables de mémoriser divers stimuli et de faire la différence entre eux.

    Lire aussi: Comment les arbres discutent dans la forêt

     

    Article complet

    https://www.letemps.ch/sciences/plantes-beaucoup-plus-intelligentes-animaux


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  • Peut-on se passer de glyphosate ?
    L’Union Européenne a décidé en novembre dernier de renouveler sa licence pour 5 ans sur le sol européen. La France veut l’interdire d’ici 3 ans.  
     
    Mais comment continuer à cultiver sans cet herbicide ?
     
     
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