• Nous déclarons nos droit sur cette terre...

    d'être un loup, respecté comme loup, donnons des droits aux loups sur cette terre, nous avons l'intention de les protéger

    White Wolf

     

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     Tout savoir sur le Loup

    Sur la piste du loup...

    Pétition

    Pour la protection des loups

     

    https://www.aspas-nature.org/protection-loups/

     


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  •  CP : Troupeaux de montagne peu protégés : c’est le loup qui trinque !

    https://www.animal-cross.org/gestion-de-la-cohabitation-du-loup-et-des-activites-pastorales-mieux-proteger-les-troupeaux-et-reconnaitre-lutilite-du-loup/

     La Savoie est le théâtre de 71 tirs de défense, dont deux renforcés, pour une population lupine estimée à une vingtaine d’individus. Deux loups ont déjà été tués sous ce régime cette année, l’un aux Villards-sur-Thônes, et l’autre sur le plateau de Cenise.

    Or les tirs de défense ne peuvent être ordonnés que sous condition de protection du troupeau (Arrêté ministériel du 19/02/19), sauf lorsque celui-ci est considéré comme improtégeable par la DDT. C’est le cas des troupeaux de bovins, fort étonnamment, ce qui conduit la DDT et la préfecture à autoriser des tirs multiples, comme à plaine de Dran sur les Glières, où dix-huit tireurs peuvent se relayer, avec l’appui de lieutenants de louveterie, sur huit espaces proches et contigus (arrêtés préfectoraux DDT-2020-0863, DDT-2020-0864, DDT-2020-0865, etc…).

    Même si le montage juridique rend cette situation inattaquable, elle heurte le bon sens commun, d’autant plus que c’est seulement pendant leurs premières semaines que les veaux sont réellement exposés à la prédation ; les solutions sont les enclos de vêlage comme en Espagne, des parcs légers électrifiés, la présence d’une vache de race Hérens, mais aussi la surveillance par un berger, comme cela se pratiquait autrefois.

    Concernant les ovins et caprins, nos associations de protection de la nature (APN) constatent que les conditions de protection prévues dans les arrêtés préfectoraux ne sont bien souvent pas réunies : chèvres en divagation permanente à Bernex, brebis sans aucune protection de jour aux Villards sur Thônes, etc…

    Nous détaillons nos constats dans cet article

    Le CNPN (Conseil National de Protection de la Nature) a pourtant bien rappelé dans sa Délibération n° 2020-19 de Juillet 2020 que la seule politique en France consiste à « freiner la croissance de l’espèce » et a rappelé « son inquiétude sur la capacité de l’administration à vérifier sur le terrain la mise en place effective des dispositifs de protection ».

    Nous dénonçons ainsi la faiblesse des contrôles préventifs sur le terrain, nous dénonçons que les tirs soient privilégiés par les services de l’Etat par rapport à la protection, nous dénonçons de nombreux « appâts » à loups sur tout le département (moutons en dehors des parcs, parcs non fermés ou clos sur trois côtés seulement, etc…), nous dénonçons tous ces grands troupeaux d’ovins venant de lointains départements, difficiles à protéger et élevés pour la viande (effet des subventions de la PAC *), nous dénonçons ​que sous prétexte « d’agribashing » les éleveurs, encouragés par le préfet (**), saisissent les tribunaux à l’encontre des APN qui ne font que montrer la réalité.

    C’est le loup qui paie un lourd tribut à cette politique laxiste : 82 loups exécutés au 25 septembre 2020 sur le territoire national.

    (*) la moyenne des subventions annuelles des éleveurs déplaçant leurs troupeaux en Haute-Savoie, et ayant obtenu des tirs, est de l’ordre de 132.000 euros/an
    (**) compte-rendu du comité départemental loup de Haute-Savoie du 9 décembre 2019

    Contacts :

    Animal Cross : Pascal S Référent loup : 06 58 11 71 13 loup@animal-cross.org
    LPO Aura Haute-Savoie : JC Louis 06 51 32 77 44 jean.claude.louis@free.fr
    FNE Aura : Georges Erome, Référent loup : 06 07 21 83 67 erome.prof@wanadoo.fr
    One Voice : Muriel Arnal, présidente et fondatrice de One Voice : 06 79 83 16 61 presse@one-voice.fr

    Toutes les images et tous les films que vous pouvez voir dans l’article sont libres de droit

    CP : Troupeaux de montagne peu protégés : c’est le loup qui trinque !

     

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    https://www.animal-cross.org/?s=Loup


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  • Journée internationale du chat noir

    Le 8 août, notre attention était attirée sur les chats (tous les chats) qui célébraient leur journée internationale... du chat.

    Suite à un mouvement de protestation probablement orchestrée par le chat noir de la communauté, une journée internationale de valorisation du chat noir est également proposée chaque 17 août.

    Victime de superstitions ?

    Dans l'inconscient collectif, sans qu'on en connaisse réellement les raisons, le chat noir véhicule de nombreuses superstitions et autant de peurs. Il serait responsable de nombre de malheurs et d'aucuns le lui font payer fort cher ces croyances infondées.

    La Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA), en quelque sort la SPA britannique, a "démontré" que les chats noirs avaient plus de risques que les autres chats d'être abandonnés par leurs propriétaires.

    Du fait de leur couleur, ils sont -selon le même organisme- parfois la cible de violences. Dans les refuges, les chats noirs attendent également plus longtemps que les autres avant de trouver une famille d’adoption...

    Un effort de valorisation

    La journée de valorisation du chat noir a donc été lancée pour sensibiliser le public à la grande cause des chats noirs (!) et pour inciter les gens à en adopter un.


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  • logo_cvs

    De câlin à morsure, il n’y a qu’un pas
    Bonjour Roselyne,

    Vous êtes tranquillement installé devant la télé.

    Le film vient de commencer, quand Minet vous rejoint dans le canapé et se couche juste à côté de vous.

    Pensant qu’il cherche votre attention, vous le caressez.

    Et hop, sans crier gare, il se retourne sur votre main et vous mord de ses crocs pointus. En quelques secondes, il passe de chat câlin à agressif. C’est à n’y rien comprendre….

    Rassurez-vous : votre félin n’a pas de problème particulier, il n’est pas bipolaire, agressif ou impulsif. Il essaie juste de vous faire réagir.
    Le syndrome du chat caressé-mordeur
    Quand votre chat vous attaque alors que vous étiez tranquillement en train de le caresser, la réaction classique est de hausser le ton et de le repousser.

    Après tout, vous vous êtes fait mordre sans raison apparente, non ?

    Eh bien justement, non. Votre chat avait une raison de vous mordre.

    Toutes ces situations qui peuvent paraitre soudaines et incompréhensibles sont en fait tout à fait normales.

    Notre chat vient régulièrement vers nous parce qu’il recherche de la compagnie, du réconfort ou simplement notre chaleur, sans forcément avoir envie d’être touché ou caressé.

    En tant qu’humains, il nous arrive de mal interpréter cette approche, et de la prendre pour une demande d’affection. On pense, à tort, qu’il veut des câlins et des grattouilles.

    Alors, presque machinalement, on se met à le caresser… C’est doux, c’est agréable… On en oublierait presque qu’il s’agit d’un vrai chat et pas d’une peluche.

    Le hic, c’est que Minet n’apprécie pas forcément les caresses.

    Sans être attentif et observateur, c’est quasiment impossible de s’en rendre compte… et c’est comme ça qu’arrive la morsure.
    Respecter les signaux d’apaisement pour éviter de se faire mordre.
    Face à une situation désagréable, le chat ne mord pas directement.

    D’abord, il émet des signaux avant-coureurs pour faire comprendre à son humain que la situation le met mal à l’aise.

    Certains sont facilement reconnaissables, comme lorsque Minet repousse votre main avec sa patte. Mais d’autres, plus subtils, peuvent être trompeurs et mal compris.
    Les ronronnements
    Il est coutume de penser qu’un chat qui ronronne est heureux.

    Malheureusement, ce n’est pas entièrement vrai.

    Le ronronnement apaise l’humain, tout comme le chat lui-même. En cas d’inconfort ou de douleur, ce comportement les aide à s’apaiser et à se sentir mieux.

    Il peut donc être un signe de bien-être, mais lorsqu’il est associé à d’autres signaux (crispation, regard fuyant, oreilles en arrière), il devient un signe d’anxiété.

    Finalement, un chat qui ronronne beaucoup n’est pas forcément un chat heureux… et un chat qui ne ronronne jamais n’est pas forcément malheureux non plus.
    Les battements de queue
    Quand la queue de Minet se balance, c’est probablement qu’il est agacé et qu’il faut arrêter les caresses.

    Même si le battement n’est pas fort et qu’il balance sa queue de façon nonchalante, c’est signe qu’il commence à s’impatienter.
    Les léchages de main ou de truffe
    Non, le léchage de la main n’équivaut pas à un bisou et n’est pas “mignon”. Loin de là.

    C’est une façon d’exprimer son mal-être et de dire stop, ce n’est pas une invitation aux câlins.

    Il en va de même pour le léchage de truffe. En dehors du toilettage, c'est un signe de stress et un comportement évacuateur de tension.

    Si ces signaux avant-coureurs ne sont pas repérés et respectés, alors la morsure apparait comme un moyen efficace de faire réagir l’humain. C’est un message radical, mais qui a l’avantage d’avoir l’effet escompté : arrêter les caresses.
    Quand la morsure devient un moyen de communication privilégié
    En arrêtant les caresses après avoir été mordu, non seulement vous réagissez trop tard, mais en plus, cela empire la situation.

    Les signaux d’apaisement ont pour objectif d’éviter la morsure. Mais quand on n’en tient pas compte, ils deviennent inefficaces.

    Minet se retrouve submergé de stimuli désagréables et vous attaquer est le seul moyen d’y échapper.

    La prochaine fois qu’il se retrouvera dans cette situation désagréable, il saura qu’il ne sera pas écouté. Il ne préviendra pas et mordra directement.

    Mais ce n’est pas tout.

    En agissant à l’encontre des envies de votre félin, il risque de vous percevoir comme un être imprévisible en qui il ne peut pas forcément avoir confiance.
    Écouter son chat pour mieux le comprendre

    À terme, cette habitude vient détériorer votre relation.

    C’est pourquoi, caresser un chat ne fait pas dans n’importe quelles conditions.

    Tout d’abord, ne caressez pas votre matou s’il ne présente pas de signaux de bien-être, comme un ronronnement tranquille et régulier et des yeux mi-clos, voire clos.

    Attendez que ce soit lui qui vienne vers vous pour avoir des caresses ou des câlins - vous êtes sûr de ne pas faire de faux pas !

    Ensuite, il ne faut pas en vouloir à votre chat de passer à la morsure. Il essaie de se faire comprendre et utilise le seul langage qu’il connait : celui du chat.

    Avec des congénères, il aurait agi de la même manière - bien que ceux-ci auraient certainement compris les premiers signaux et qu’il n’aurait pas eu besoin d’aller jusqu’à la morsure.

    Quand on câline un félin, il est impératif d’être attentif aux signaux qu’il émet pour comprendre son ressenti.

    Bien sûr, ça demande du temps et tout le monde peut encore faire des erreurs (moi y compris !). Le tout est de faire attention et de ne pas réitérer les mêmes erreurs de précédents échanges.

    J’espère que cette lettre vous a été utile et qu’elle vous aidera à être plus attentif aux réactions de votre chat.

    N’hésitez pas à me partager votre expérience si vous avez déjà été confronté à cette situation en cliquant ici.

    Prenez soin de vous,
    Louise, Laotse et Taïs.


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  • Une halte au paradis spéciale sur les loups

     avant de reprendre une autre halte ailleurs ...

    Talayan12

     

    A vous toutes et tous

    Qui passez par chez moi

    Blog de roselyne : Humanité, Nature,  Amour et lumière, Une halte au Paradis


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