• DÉCRYPTAGE - Depuis le début de l'offensive jihadiste, les peshmergas appuient les forces militaires du gouvernement irakien pour maintenir à distance l'avancée de l'EI.

      

    Dans les rangs des peshmergas, on retrouve des hommes mais aussi des femmes.

    Des peshmergas, non loin d'Erbil (illustration)

     
    Crédit : SAFIN HAMED / AFP
     

    Le drapeau kurde sur l'épaule et un fusil d’assaut dans le dos; elles "vont au devant de la mort" au même titre que les hommes.

      

    Les combattantes du Kurdistan d'Irak se mobilisent et gonflent les rangs des peshmergas pour mettre un terme à l’avancée de l’État Islamique en Irak et au Levant (EIIL).

    Combattantes et alors ?

    Des femmes qui prennent les armes, le phénomène n’est pas nouveau, "à chaque fois qu’il y a un conflit il y a des femmes qui combattent", explique Carole André-Dessornes.

    Au Kurdistan d'Irak, elles rejoignent les rangs des peshmergas dès les années 60 : "Il y a toujours eu des noms symboliques de femmes qui ont résisté dans les années 60 ou 70 et à qui on rend hommage chaque année", explique Rusen Aytac, en charge du département des droits de l’Homme à l’institut Kurde de Paris.

    "Les femmes s’occupaient des soins médicaux mais beaucoup d’entre elles ont aussi pris les armes", raconte-t-elle.

    Margaret George Shello est l’une d’entre elles. Considérée comme la première combattante à rejoindre les rangs des peshmergas, elle s’est battue en 1960 contre le gouvernement irakien alors qu’elle était tout juste âgée de 20 ans.

    Néanmoins, il faudra attendre novembre 1996 avant que ne soit crée le second bataillon de l’unité 106, un bataillon entièrement constitué de femmes au Kurdistan irakien.

    Elles seraient 550 selon le New York Post.

    Combien de femmes engagées ?

    Mères de famille ou encore jeunes femmes, il n'existe "pas de profil type" pour ces combattantes engagées, selon Carole André-Dessornes, docteur en sociologie (EHESS).

    Ces femmes ont choisi elles-mêmes de prendre les armes : "Elles sont volontaires.

    Elles intègrent les rangs des peshmergas parce qu'elles veulent s'engager sur le plan militaire", précise Rusen Aytac.

    Au Kurdistan de Syrie les femmes constitueraient près de 40% de l'armée kurde syrienne appelée Unité de défense du peuple (YPG), selon Foreign Policy.

    Au Kurdistan de Turquie, le Parti des travailleurs du kurdistan (PKK) revendique plus de 15% de femmes dans ses rangs. Les combattants du PJAK (Parti pour une vie libre au Kurdistan) seraient constitués pour moitié de femmes selon le Whashington Times. Et au Kurdistan d'Irak qu'en est-il ?

    Difficile de dire à l'heure actuelle combien elles sont.

    "Le Kurdistan irakien est assez discret sur la présence des femmes dans les rangs des peshmergas.

    Il existe des photos de femmes en train de combattre mais on ne dispose pas vraiment de données chiffrées", explique Rusen Aytac.

    "Aujourd'hui, du fait de l'intégration de réservistes mais aussi de combattants Kurdes de Turquie aux côtés des peshmergas, les chiffres dont ont disposaient sont davantage biaisés".

    Rusen Aytac note tout de même que les femmes sont de plus en plus nombreuses à se battre :

    "Nos correspondants présents dans les différents Kurdistan nous disent qu'il y a énormément de demandes. Il y a même des personnes établies en Europe qui sont reparties et ont pris les armes pour combattre. Des femmes aussi".

    Combattre pour exister ?

    Le Kurdistan irakien est une province autonome depuis 2005 et en son sein il ne faut pas oublier aussi que les Kurdes d'Irak rêvent toujours de pouvoir constituer un État souverain et indépendant.

    Si les combattantes rejoignent les rangs des peshmergas pour appuyer les forces militaires du gouvernement irakien c'est surtout parce qu'elles se doivent de défendre leur territoire :

    "Elles se doivent de résister", dit Rusen Aytac de l'Institut Kurde de Paris.

    Selon Carole-André Dessornes, docteur en sociologie (EHESS), les combattantes Kurdes d’Irak jouent avant tout "un rôle de résistance" :

    "On n’est pas dans une logique de martyre mais de libération d’un territoire", précise-t-elle. Rusen Aytac, précise quant à elle que les peshmergas "ont toujours été une force de résistance".

    D'autres femmes ont pris les armes pour des raisons plus personnelles.

    Certaines d'entre elles ont décidé de s'engager à la suite de la perte d'un proche, d'autres encore ont simplement eut envie de rejoindre les rangs des peshmergas pour se sentir à l'égal des hommes au combat.

    "Pour un membre de l'État islamique, il est beaucoup plus difficile de combattre les femmes..."

     

    Pour Rusen Aytac, "les femmes prennent aussi les armes pour s'affirmer, pour s'émanciper et montrer aussi de quoi elle sont capables".

    Un engagement qui "a servi de référence à beaucoup d'autres femmes".

    Carole André-Dessornes note tout de même qu'"être reconnue en tant que combattante ne garantie pas aux femmes l'accession à davantage de droits.

    Une victoire peut leur permettre d'accéder à certains postes mais le leadership reste entre les mains des hommes".

    Leurs motivations au combat sont multiples, néanmoins une chose est sûre pour Rusen Aytac, les femmes ont un avantage certain par rapport aux hommes lorsqu'elles combattent contre l'EIIL :

    "Pour un membre de l'État islamique il est beaucoup plus difficile de combattre les femmes car selon eux se faire tuer par une femme équivaut à 'l'exclusion du Paradis'.

    Dans leur conception être tué par une femme équivaut à du déshonneur".

    Source  

    http://www.rtl.fr/

     

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  • Vous avez été nombreux à me la demander, voici ma troisième et dernière vidéo sur "Les jeux vidéo" !
     

    On se retrouve le 6 septembre pour le Cyprien Gaming Show ?

    Prenez vos places !

     

    http://www.cypriengamingshow.com/

     

    Je porte un t-shirt que j'ai dessiné moi-même !

    http://www.narmol.fr/

     

    Cyprien

     

     


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  • Photo : Exceptionnelle leçon de vie

Un jour, une femme a aperçu un mendiant, assis sur un trottoir dans la rue..
Elle s'est approchée de lui et comme le pauvre est déjà habitué à être humilié par tous, il l'a ignorée..
Un policier, observant la scène, s'est approché :
– il vous importune ?
Elle a répondu :
– d'aucunes façons, j'essaye de l'emmener jusqu'à ce restaurant, parce que je vois qu'il a faim et il est même sans forces pour se lever. Vous, la Police m'aideriez-vous à l'emmener jusqu'au restaurant ?
Rapidement, le policier aida le pauvre homme qui n'en croyait pas ses yeux.
En arrivant au restaurant, le serveur, qui est allé les aider, dit sans aucune réaction :
– excuser moi Madame, mais il ne peut pas rester ici. Il va faire peur à mes clients!!!
La femme vexée, a soulevé les yeux et dit :
– vous savez que l'énorme entreprise-là en face, trois fois par semaine, leurs directeurs viennent ici avec des clients faire des réunions dans ce restaurant ! Et je sais combien d'argent ils vous laissent ici, et c'est ce qui maintient ce restaurant. Et je le sais, car, je suis la patronne de cette entreprise. Alors je peux rester ici manger avec mon ami, oui ou non ?
Le serveur fit un signe positif de la tête et le policier qui observa la scène, en fut stupéfié, et le pauvre homme, très ému à ce moment-là, laissa couler une larme.
Quand le serveur recula, l'homme demanda :
– merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.
Elle lui prit les mains et lui dit :
– tu ne te rappelles pas de moi, Jean ?
– votre visage me dit quelque chose en effet – Répondit-il – mais je ne me souviens pas d'où.
Elle, les larmes aux yeux, lui dit:
- Il y a un certains temps, moi à peine formée, je suis arrivée dans cette ville... Sans aucun argent en poche... j'avais très faim, je me suis assise à cette place car j'avais un entretien d'embauche dans cette entreprise en face, qui aujourd'hui est mienne. Quand s'est approché de moi, un homme, avec un regard généreux. Tu te rappelles maintenant Jean ?
En larmes, il affirma que oui.
– À ce moment-là, vous travailliez ici. Ce jour-là, j'ai fait le meilleur repas de ma vie, parce que j'étais très affamé, et même sans forces. Chaque minute, je vous regardais, parce que j'avais peur de vous nuire. J'étais là à manger gratuitement. Et quand vous preniez de l'argent de votre poche et le mettiez dans la boîte du restaurant, j'ai été abasourdie. Et je savais qu'un jour, je vous rendrais l'appareil. J'ai mangé et je suis allé avec plus de forces à mon entretien. À ce moment-là, l'entreprise était toute petite ... J'ai été acceptée à l'entretien. Je me suis spécialisée. J'ai gagné beaucoup d'argent et puis j'ai fini par racheter quelques actions de l'entreprise et finalement, je suis devenue la patronne. J'ai fait de l'entreprise ce qu'elle est aujourd'hui. Je vous ai recherché sans jamais vous retrouver... Jusqu'à aujourd'hui. Je vous vois dans cette situation. À partir d'aujourd'hui, vous ne dormirez plus dans la rue ! Vous venez chez moi ce soir... Demain, nous achèterons de nouveaux vêtements et vous travaillerez avec moi ! Ensuite, nous chercherons un logement pour vous.
Ils se sont pris dans les bras, en train de pleurer.
Le policier, le serveur et les autres personnes voyant la scène, ont été ébahis en raison de la grande leçon de vie, dont ils venaient d'être témoins!!!

Moralité de l'histoire :
Aujourd'hui, c'est moi qui suis dans le besoin ... Demain, ça peut être, toi !
Fait toujours le bien ... Et peut être qu'un jour, il reviendra en double pour toi.

     

    Exceptionnelle leçon de vie

    Un jour, une femme a aperçu un mendiant, assis sur un trottoir dans la rue..
    Elle s'est approchée de lui et comme le pauvre est déjà habitué à être humilié par tous, il l'a ignorée..
      
      
    Un policier, observant la sc...ène, s'est approché :
    – il vous importune ?
      
    Elle a répondu :
    – d'aucunes façons, j'essaye de l'emmener jusqu'à ce restaurant, parce que je vois qu'il a faim et il est même sans forces pour se lever. Vous, la Police m'aideriez-vous à l'emmener jusqu'au restaurant ?
      
    Rapidement, le policier aida le pauvre homme qui n'en croyait pas ses yeux.
    En arrivant au restaurant, le serveur, qui est allé les aider, dit sans aucune réaction :
    – excuser moi Madame, mais il ne peut pas rester ici. Il va faire peur à mes clients!!!
      
    La femme vexée, a soulevé les yeux et dit :
    – vous savez que l'énorme entreprise-là en face, trois fois par semaine, leurs directeurs viennent ici avec des clients faire des réunions dans ce restaurant ! Et je sais combien d'argent ils vous laissent ici, et c'est ce qui maintient ce restaurant. Et je le sais, car, je suis la patronne de cette entreprise. Alors je peux rester ici manger avec mon ami, oui ou non ?
      
    Le serveur fit un signe positif de la tête et le policier qui observa la scène, en fut stupéfié, et le pauvre homme, très ému à ce moment-là, laissa couler une larme.
      
    Quand le serveur recula, l'homme demanda :
    – merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.
      
    Elle lui prit les mains et lui dit :
    – tu ne te rappelles pas de moi, Jean ?
    – votre visage me dit quelque chose en effet – Répondit-il – mais je ne me souviens pas d'où.
      
    Elle, les larmes aux yeux, lui dit:
    - Il y a un certains temps, moi à peine formée, je suis arrivée dans cette ville... Sans aucun argent en poche... j'avais très faim, je me suis assise à cette place car j'avais un entretien d'embauche dans cette entreprise en face, qui aujourd'hui est mienne. Quand s'est approché de moi, un homme, avec un regard généreux. Tu te rappelles maintenant Jean ?
      
    En larmes, il affirma que oui.
    – À ce moment-là, vous travailliez ici. Ce jour-là, j'ai fait le meilleur repas de ma vie, parce que j'étais très affamé, et même sans forces. Chaque minute, je vous regardais, parce que j'avais peur de vous nuire.
      
      
    J'étais là à manger gratuitement. Et quand vous preniez de l'argent de votre poche et le mettiez dans la boîte du restaurant, j'ai été abasourdie.
      
      
    Et je savais qu'un jour, je vous rendrais la pareille. J'ai mangé et je suis allé avec plus de forces à mon entretien.
      
      
    À ce moment-là, l'entreprise était toute petite ... J'ai été acceptée à l'entretien. Je me suis spécialisée. J'ai gagné beaucoup d'argent et puis j'ai fini par racheter quelques actions de l'entreprise et finalement, je suis devenue la patronne.
      
      
    J'ai fait de l'entreprise ce qu'elle est aujourd'hui. Je vous ai recherché sans jamais vous retrouver... Jusqu'à aujourd'hui. Je vous vois dans cette situation.
      
      
    À partir d'aujourd'hui, vous ne dormirez plus dans la rue ! Vous venez chez moi ce soir... Demain, nous achèterons de nouveaux vêtements et vous travaillerez avec moi ! Ensuite, nous chercherons un
    logement pour vous.
      
    Ils se sont pris dans les bras, en train de pleurer.
      
    Le policier, le serveur et les autres personnes voyant la scène, ont été ébahis en raison de la grande leçon de vie, dont ils venaient d'être témoins!!!

    Moralité de l'histoire :
    Aujourd'hui, c'est moi qui suis dans le besoin ... Demain, ça peut être, toi !
    Fait toujours le bien ... Et peut être qu'un jour, il reviendra en double pour toi. 
     
     
    Sur FB
     

    https://www.facebook.com/djsemleveninmusical?ref=stream

     

    Trouvé par le biais de l'ami

     

    Jean Claude Ozino

      

    Non, personne n'est supérieur ou inférieur ! 


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  •  

    Une pensée pour ne pas oublier

 

Le Grand Esprit nous a crées et il nous a donné cette terre.

Nous étions libres comme le vent et nous ne devions pas obéir

au commandement d'un autre homme

Nous avions beaucoup d'enfants et les troupeaux étaient nombreux.

Nos anciens parlaient avec les Esprits et ils faisaient de bonne magies.

Nous vivions ou nous levions nos "tepee",sans être prisonniers d'une maison.

Et personne disait "jusqu'à cette ligne c'est ma terre ,au-delà c'est la tienne".

A ce point l'homme blanc arriva

Maknpiya-lutta (Nuage Rouge)  Tribu Lakota   

     

    pensée pour ne pas oublier

     

    Le Grand Esprit nous a crées et il nous a donné cette terre.

    ...

    Nous étions libres comme le vent et nous ne devions pas obéir

    au commandement d'un autre homme

     

    Nous avions beaucoup d'enfants et les troupeaux étaient nombreux.

     

    Nos anciens parlaient avec les Esprits et ils faisaient de bonne magies.

     

    Nous vivions ou nous levions nos "tepee",sans être prisonniers d'une maison.

     

    Et personne disait "jusqu'à cette ligne c'est ma terre ,au-delà c'est la tienne".

    A ce point l'homme blanc arriva

     

    Maknpiya-lutta (Nuage Rouge) Tribu Lakota

     

    Partagé dans le Groupe

     

    https://www.facebook.com/groups/194807740597322/pending/

     

    Par

    Christophe Roccy

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  •  

    Attentats, guerres, disparitions d'enfants... Tous les jours, le journal télévisé déverse son flot de mauvaises nouvelles et de violence.

    Ces images nous choquent... On oublie parfois que nos enfants y sont aussi exposés. Et de plus en plus, avec la multiplication des écrans.

    À partir de quel âge peuvent-ils suivre l'actualité ?

    Quelles réponses apporter à leurs questions sur les catastrophes, le mal, la souffrance ?

    Comment les aider à mieux comprendre le monde qui les entoure pour en devenir acteurs?  

     

    C'est le thème de cette émission, réalisée à l'occasion de la journée mondiale des communications, le 5 juin. Avec Marie-Hélène de Cherisey, mère de 5 enfants de 11 à 19 ans, réalisatrice pour la télévision et auteur de plusieurs livres pour enfants dans la collection "L'avenir c'est nous !", parus chez Fleurus, et avec Stéphane Clerget, pédopsychiatre, auteur du livre "Le pédopsy de poche" aux éditions Marabout.

     

    Marie-Hélène de Cherisey


    Marie-Hélène de Cherisey est productrice de films et réalisatrice d'une cinquantaine de reportages destinés à la jeunesse pour France 2, France 3 et Canal J. En 2004, elle part avec son mari et leurs cinq enfants pendant plus d'un an faire le tour de monde. Ils tournent 14 reportages dans 14 pays sur des sujets comme l'eau, les génocides, l'environnement, le partage de l'économie...
    A leur retour, le couple publie "Passeur d'espoir", leur carnet de bord qui retrace les parcours extraordinaire de gens qu'ils ont croisés au cours de leur pérégrination.
     

    Edito : Près des autres, près de soi-même


    Soyons honnêtes : faire le tour du monde avec ceux que l'on aime, nous l'avons tous rêvé. Marie-Hélène de Cherisey l'a fait, avec mari... et 5 enfants !
    Tout sauf une route enchantée.
     
    Pendant 14 mois, explorant 14 pays, et l'aventure donnera 14 films, ils ont appris à gérer l'imprévu, à s'adapter mais surtout à découvrir l'autre, l'étranger, celui que l'on ne connaissait pas, mais aussi celui que l'on croyait pourtant bien connaitre... puisqu'il partageait votre quotidien. Un découverte en cache une autre.
     
    Laurent, le mari, confiait au moment de leur retour : " Marie-Hélène et moi étions toute la journée à vivre ensemble 24h sur 24. Le quatrième mois, passé l'enchantement des débuts et la fatigue s'accumulant, les tensions ont été assez vives entre nous. A la manière d'un arbre qui, frappé par la sécheresse, doit étendre ses racines afin de puiser en profondeur, nous nous sommes enracinés dans la tendresse l'un pour l'autre, acceptant nos pauvretés."
     
    Marie-Hélène de Cherisey se souvient avec un grand sourire : "Quand on arrivait quelque part avec nos enfants, nos caméras et nos 90 kilos de bagages, on n'en menait pas large ! On se demandait souvent comment ça allait se passer car souvent, dans la vie, on est dans une dynamique de peur. Mais comme on avait nos enfants avec nous, les gens comprenaient qu'on n'avait pas peur, et on passait à une dynamique de confiance ! "

    Sur le plateau de "Coup de pouce..." elle revient sur ce fameux périple. Elle nous confie ce que toute sa famille a retenu de l'aventure 8 ans après, alors que les enfants sont devenus aujourd'hui de jeunes adultes.

    F.V
     

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