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    Christophe RIGO
    Pertuis

       

    8 oct. 2014 — Vous trouverez ci-dessous copie de la lettre de Mme Ségolène ROYAL à M. Jean-Louis JOSEPH, Président de la Fédération des parcs naturels régionaux de France :



    « Monsieur le Président,

    J’ai bien pris connaissance de vos préoccupations concernant la demande de permis de recherche d’hydrocarbures et de gaz sur le territoire du Luberon et des Alpilles déposée le 27 septembre 2010.

      

    Conformément à la procédure, les services du ministère ont mis automatiquement en consultation un projet d’arrêté le 29 septembre 2014.

      

    Au vu des premiers résultats et de cette consultation du public après examen attentif de l’avis du Parc naturel régional que je partage totalement, je suis en mesure de vous indiquer que le permis sera refusé.

     

    En effet du point de vue de l’intérêt général, les risques de dégradation d’un espace naturel remarquable, sont incompatibles avec les forages envisagés et détruiraient beaucoup plus d’emplois qu’ils n’en créeraient – notamment dans le domaine touristique, artisanal et agricole.

     

    En conséquence la consultation du public est devenue sans objet, mais le site reste ouvert pour que les citoyens puissent venir s’exprimer jusqu'au 11 octobre.

     

    Je vous remercie de votre mobilisation, celle des élus, celle des associations, celle des citoyens, qui sont aussi partie prenante démocratique d’une décision respectueuse de chacun.

     

    Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes salutations les meilleures. »

    Voici le lien vers le communiqué de presse officiel :

    http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/2014-10-07_-_Refus_permis_de_recherche_Luberon.pdf
     

    MERCI à tous pour la signature de cette pétition. J'ose espérer qu'elle a pesé un peu sur le choix du gouvernement.

      

    Je laisse la pétition ouverte au moins jusqu'au 11/10/2014.

    Restons vigilants et concernés !

     

    La pétition d'origine  

    http://roda.eklablog.com/mme-segolene-royal-stop-au-projet-de-forages-miniers-dans-le-parc-natu-a112730502


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    • A lire aussi: Cancer du sein
    • Le cancer du sein constitue en France le premier cancer chez la femme.
    • Pour répondre à ce problème de santé publique, depuis 2004 un dépistage gratuit par mammographie est organisé sur l'ensemble du territoire français.


    Le dépistage s'adresse aux femmes âgées de 50 ans à 74 ans

    • Le dépistage systématique du cancer du sein s'adresse aux femmes âgées de 50 à 74 ans par la structure chargée d'organiser le dépistage.
    • Les pouvoirs publics souhaitent généraliser le dépistage du cancer du sein à 70% des femmes âgées de 50 à 74 ans, chiffre qui permettrait de réduire de près d'un tiers la mortalité.


    Détecter le plus précocement possible


    Un cancer du sein détecté tôt est plus facile à traiter et comporte moins de risques de séquelles : détecté à un stade précoce, le cancer du sein se soigne beaucoup mieux et permet de diminuer la mortalité de 25%.

    La moitié des cancers sont décelés alors qu'ils mesurent moins de 2 cm
     

    Chances de survie de 90% minimum si la taille de la tumeur est inférieure à 1 cm


    Lorsque la taille de la tumeur est inférieure à 1 cm et qu'aucun envahissement ganglionnaire n'est constaté, les chances de survie à 5 ans sont au minimum de 90%.

    Sauver plus de femmes


    Près de 3000 femmes pourraient être sauvées chaque année si 70% femmes de 50 à 74 ans réalisaient tous les 2 ans une mammographie dans le cadre de dépistage organisé.

    Un second contrôle radiologique

    • Choisir ce dépistage organisé permet de bénéficier d'un dispositif dans lequel un deuxième radiologue examine la mammographie.
    • 7% des cancers non décelés lors d'une première lecture sont repérés grâce à une seconde lecture d'un autre praticien.

      

    Les délais d'apparition de la tumeur

    • Il faut environ 5 ans pour qu'une tumeur du sein atteigne 1 mm, deux ans de plus pour atteindre 5mm et encore un ou deux années pour mesurer 2 cm, taille suffisante pour la détecter à la palpation.


    Prise en charge à 100%
    La mammographie est prise en charge à 100% dans le cadre du dépistage organisé.

    Pour en savoir plus

     

     

     

     

     

    Pour une lecture illimitée hors ligne, vous avez la possibilité de télécharger gratuitement cet article au format PDF :
    Cancer-du-sein-pourquoi-un-depistage-systematique.pdf

     


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  • n_people13

    Lien de l'image

    http://suissexpress.wordpress.com/2013/03/22/normal-people-lobsolescence-programmee/

    Que celui qui n’a jamais connu le fameux appareil tombant en panne 2 mois après la fin de garantie se manifeste ! Il n’est pas rare de nos jours de racheter sans cesse le même type d’appareil, celui-ci ne passant pas deux hivers. Cette méthode d’obsolescence programmée, utilisée par bon nombre de constructeurs pour faire augmenter sans cesse le chiffre d’affaire, pourrait bientôt devenir illégale.

      

    En effet, le vendredi 26 septembre, les députés ont voté un nouvel amendement, prévoyant que l’obsolescence programmée soit considérée comme une tromperie, et donc soit passible de deux ans de prison. Cet amendement rentre dans le projet de loi de la transition énergétique.

      

    Beaucoup pensent que cette pratique est un mythe, et pourtant il a déjà été prouvé que certains appareils sont programmés pour ne pas dépasser une certaine durée d’utilisation. Par exemple, certaines imprimantes vont être programmées pour ne pas dépasser X impressions de feuilles.

      

    L’obsolescence programmée avait déjà été mise au cœur du débat politique par Eva Joly en 2012, alors candidate d’Europe Ecologie Les Verts (EELV). Elle avait alors rappelé qu’une machine à laver pourrait en réalité durer une bonne trentaine d’années, si celle-ci n’était pas programmée à « mourir » avant. Mais à cette époque, cela n’avait été concrétisé. Puis, 1 an plus tard, c’est au tour de Jean-Vincent Placé, président d’EELV, de remettre cette idée en avant, en portant au Sénat une proposition de loi. Selon lui, il s’agit d’une «aberration écologique et sociale ». L’idée émerge alors, et débouche sur une obligation des fabricants à communiquer jusqu'à quelle date les pièces détachées des appareils seront encore disponibles, mais aucune sanction n’était prévue.

      

    C’est donc bien ce point que l’amendement de vendredi veut corriger. Porté par Eric Alauzet, Denis Baupin et Cécile Duflot, cet amendement exige que la pratique de raccourcir la durée de vie d’un produit, soit considéré comme une « tromperie ». En droit de la consommation, la « tromperie » est déjà répertoriée au registre des infractions, et consiste à fournir de fausses informations concernant la nature, ou l’aptitude à l’emploi d’un produit. Lorsque l’infraction est démontrée, elle est passible de deux ans d’emprisonnement et d’une amande de 37 500 euros. L’idée de l’amendement n’est donc pas tant de créer une nouvelle loi ou une nouvelle sanction, mais d’étendre celle déjà existante au phénomène d’obsolescence programmée, et surtout, de systématiser les sanctions. Les trois auteurs de l’amendement expliquent leurs motivations «Les produits que nous utilisons dans la vie quotidienne sont trop souvent programmés par le producteur pour ne plus fonctionner après un certain nombre d'utilisations […] ces pratiques sont néfastes pour l'environnement et pèsent sur le pouvoir d'achat des ménages».

      

    Espérons donc que cet amendement constituera également un moyen de pressions pour les grands industrielles. Car sanctionner est une chose, mais le but principale reste tout de même l’anti-gaspillage, ne l’oublions pas. Punir est une chose, mais la prévention reste la meilleure des solutions.

    Source

    http://www.newmanity.com/


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  • truies  en élevage industriel - c Marcelo Fotolia

    Près de 1,3 milliards d’animaux élevés et abattus chaque année en France, dont 82% en élevage intensif*
    En tenant compte du cheptel et des animaux abattus, le nombre d’animaux d’élevage en France se monte à 1 274 000 par an. 96% des porcs et 84% des volailles sont élevés de façon intensive
    (voir annexe tableau).

    Ces chiffres sont conservateurs : nous ne tenons pas compte des animaux morts pendant l’élevage, à l’exemple des 950 000 veaux qui décèdent chaque année à l’étable (estimation Oaba d’après un rapport de l’Institut de l’élevage bovin fixant à 12% la mortalité des veaux en France).



     

    Un nouveau point d’équilibre à trouver dans la consommation

     

    Les éleveurs cherchant le bien-être animal et produisant moins en quantité doivent pouvoir bénéficier de prix plus élevés.

    De leur côté, les consommateurs doivent sans doute acheter plus cher la viande et les produits laitiers, sauf s’ils peuvent acheter directement aux producteurs, ce qu'animal cross recommande fortement.

    Un changement de comportement qui n’entraine pas forcément une hausse du budget alimentaire pour les ménages si ceux-ci consentent à diversifier leur alimentation en achetant davantage de légumes, qui auront à coup sûr un aspect bénéfique sur leur santé (lien sur Mieux consommer).

    *Par élevage intensif nous avons inclus les animaux vivant en cage (volailles), gavés (canards, 87% gavés en cage), en stalle ou en bâtiment (porcs), sans accès à l’extérieur.

     

    L'article complet  

    http://www.animal-cross.org/elevage-industriel/

     

    Accueil

     

    http://www.animal-cross.org/ 


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  • Le débat à propos de l'euthanasie est plus que jamais relancé après que l'ex urgentiste Nicolas Bonnemaison a été pleinement acquitté et que la Cour Européenne des Droits de l'Homme s'est prononcée pour le maintien en vie provisoire de Vincent Lambert, contrairement à l'avis du Conseil d’État.

     

    La suite et Ecouter ...

     

    http://www.franceculture.fr/2014-06-25-comment-repondre-a-l-agonie-aujourd-hui

     

     

     

     

    Le docteur Nicolas Bonnemaison, le 19 juin, à Pau Jean-Daniel Chopin © Maxppp / Sud Ouest

    Coup de théâtre ce mercredi midi : le docteur Bonnemaison, 53 ans, a été acquitté de la totalité des faits pour lesquels il était jugé depuis deux semaines à Pau, par les Assises des Pyrénées-Atlantiques.

    Cet ancien urgentiste de l'hôpital de Bayonne (>> portrait)

    était accusé de sept "empoisonnements" de malades très âgés, en 2010 et 2011, auxquels il avait administré des médicaments ayant accéléré leur mort, hors de tout protocole. Il risquait la réclusion criminelle à perpétuité.

      

    "J'estime que cela fait partie du devoir du médecin d'accompagner ses patients jusqu'au bout du bout", avait-il notamment déclaré à la Cour mercredi matin, avant qu'elle ne se retire.

      

    Le verdict, après un peu moins de quatre heures de délibération, a provoqué un sourire du médecin et un tonnerre d'applaudissements dans la salle. Il correspond à ce qu'avait plaidé Me Benoît Ducos-Ader, l'un des avocats de Nicolas Bonnemaison, alors que l'accusation avait requis mardi une peine de cinq ans de prison avec sursis.

      


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