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     © Fournis par BFMNews

     

    Le propriétaire du Rana Plaza, le bâtiment industriel qui s'était effondré en 2013 au Bangladesh provoquant la mort d'au moins 1.100 ouvriers textiles, et 40 autres personnes ont été inculpées lundi pour meurtre, a annoncé la police.

     

    Un tribunal de Dacca a donné son feu vert aux poursuites contre Sohel Rana, 35 ans, et les autres responsables pour leur implication présumée dans le pire accident industriel de l'histoire du pays. Tous risquent la peine de mort en cas de condamnation.

     

    L'effondrement du bâtiment, le 24 avril 2013, avait fait au moins 1.100 morts et plus de 1.500 blessés. Les victimes y cousaient des vêtements pour des marques occidentales, en échange de salaires misérables.

     

    De nombreux groupes, dont le groupe de textile Benetton ou les chaînes de distribution Auchan, Mango, Primark ou Carrefour, ont été soupçonnés d'avoir sous-traité leur production à un moment ou à un autre au Rana Plaza. Le Bangladesh est le deuxième plus grand exportateur mondial de vêtements et le secteur de l'habillement est le pilier de son économie.

     

    http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde

     

     


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  • Lien de l'image

    http://mp.cpgedupuydelome.fr/document.php?doc=Article%20-%20Les%20codes%20barres.txt

     

    Les 3 premiers chiffres du code-barres d'un produit indiquent en fait le code du pays où le produit a été fait.

     

    Exemples
    Tous les codes qui commencent par :
    690, 691, 692 jusqu'à 695 sont tous de la Chine.
     

    Le code 471 est fait à Taiwan.

     

    Le gouvernement et les services associés ne tiennent pas à renseigner les consommateurs sur ce sujet.

    Par conséquent, nous devons nous protéger par nous-mêmes. De nos jours, les hommes d'affaires Chinois savent que les consommateurs ne préfèrent pas les produits 'faits en Chine'. Alors ils n'indiquent pas de manière lisible le pays dans lequel sont faits les produits. Cependant pour le savoir, vous pouvez maintenant vous référer aux codes-barres.

    Souvenez-vous des 3 premiers chiffres 690 à 699 qui indiquent 'Fait en Chine'.
    00 à 19 : Etats-Unis et Canada, 30 à 37 : France,

    ATTENTION ON CACHE BIEN SOUVENT LA PROVENANCE D’UN PRODUIT ALIMENTAIRE EN SIGNALANT : PRODUIT TRANSFORME EN FRANCE

    Je sais bien que nous avons ouvert nos frontières à la communauté européenne, mais notre choix de consommateurs est de connaitre la provenance de la matière première du produit et non pas le pays de transformation . On éviterait ainsi de nous faire croire que nous consommons un produit Français avec un début de code barre 300.

    Les 3 premiers chiffres du code-barres d’un produit indiquent en fait le code du pays où le produit a été fait.

    000 et 060 États-Unis
    300 à 379 France
    380 Bulgarie
    383 Slovénie
    385 Croatie
    387 Boznie-Herzégovine
    400 à 440 Allemagne
    450 à 459 aussi 490 Japon
    460 à 469 Russie
    470 Kirgistan
    471 Taïwan
    474 Estonie
    475 Lettonie
    476 Azerbaijan
    477 Lituanie
    478 Ouzebekistan
    479 Sri Lanka
    480 Philippines
    481 Biélorussie
    482 Ukraine
    484 Moldavie
    485 Arménie
    486 Géorgie
    487 Kazakhstan
    489 Hong Kong
    490 à 499 aussi 450 Japon
    500 à 509 Royaume-Uni
    520 Grèce
    528 Liban
    529 Chypre
    530 Albanie
    531 Macédoine
    535 Malte
    539 Irlande
    540 à 549 Belgique & Luxembourg
    560 Portugal
    569 Islande
    570 à 579 Danemark
    590 Pologne
    594 Roumanie
    599 Hongrie
    600 et 601 Afrique du Sud
    603 Ghana
    608 Bahrein
    609 Île Maurice
    611 Maroc
    613 Algérie
    616 Kenya
    618 Côte d’Ivoire
    619 Tunisie
    621 Syrie
    622 Égypte
    624 Libye
    625 Jordanie
    626 Iran
    627 Koweit
    628 Arabie Saoudite
    629 Émirats Arabes Unis
    640 à 649 Finlande
    690 à 695 Chine
    700 à 709 Norvège
    729 Israël
    730 à 739 Suède
    740 Guatemala
    741 Salvador
    742 Honduras
    743 (?) Nicaragua
    744 Costa Rica
    745 Panama
    746 République Dominicaine
    750 Mexique
    754 à 755 Canada
    759 Venezuela
    760 à 769 Suisse
    770 Colombie
    773 Uruguay
    775 Pérou
    777 Bolivie
    779 Argentine
    780 Chili
    784 Paraguay
    786 Équateur
    789 et 790 Brésil
    800 à 839 Italie
    840 à 849 Espagne
    850 Cuba
    858 Slovaquie
    859 République tchèque
    860 Serbie Monténégro
    865 Mogolie
    867 Corée du Nord
    869 Turquie
    870 à 879 Pays-Bas
    880 Corée du Sud
    884 Cambodge
    885 Thaïlande
    888 Singapour
    890 Inde
    893 Vietnam
    899 Indonésie
    900 à 919 Autriche
    930 à 939 Australie
    940 à 949 Nouvelle-Zélande
    955 Malaisie
    958 Macao

     

     
    Le code EAN (European Article Numbering) est un code-barres utilisé par le commerce et l'industrie conformément aux spécifications d’EAN International, organisme aujourd'hui remplacé par GS1[1]. Il est connu en France sous le nom de GENCODE, à tort, puisque GENCOD était le nom de l'organisme françai…

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  • La Route des SEL est une association qui a pour but de
    favoriser les rencontres entre adhérents des SEL
    en utilisant leurs possibilités d’hébergement,
    dans toute la France et même dans le monde entier.

     

     

    "C’est un pari de confiance, d’ouverture et de dialogue; c’est un état d’esprit."

     

    Les adhérents hébergeants offrent toutes sortes d’hébergement, de courte ou de longue durée, allant de la chambre d’amis, du canapé dans le salon à l’emplacement pour une tente, en passant aussi par le gîte voire la mise à disposition de leur maison, caravane ou bateau,...

     

     Dans l’esprit du SEL, ceux qui ne proposent pas d’hébergement peuvent néanmoins être reçus puisqu’ils peuvent faire d’autres offres dans leur SEL. Mais si l’on peut offrir ne serait-ce qu’une petite place, c’est important de le faire, car la Route des SEL ne peut exister que parce que les selistes ouvrent leur porte !…

     

    La Route des SEL compte aujourd’hui près de 3000 adhérents, tant en France qu’à l'étranger.
     

    Les échanges sont notés sur le « Carnet de Voyage » annuel remis à l’adhésion ; ils sont exprimés en « nuitées » ; une nuitée correspond à une heure d’échange, (soit 60 unités dans la plupart des SEL). Il appartient à chacun de reporter le montant de ses échanges en nuitées sur son compte dans son SEL.

     

    Suite 

    http://route-des-sel.org/

     


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  • Des chercheurs inspectent une oliveraie, dans le sud de l'Italie, en février.

    Xylella fastidiosa : il va falloir retenir le nom de cette bestiole. Sur l’ensemble du pourtour méditerranéen, cette petite bactérie sème la ruine et la consternation dans les régions où elle frappe, et la terreur là où elle n’a pas encore frappé. Il y a quelques raisons à cela. Xylella fastidiosa s’attaque à une grande variété de plantes et d’arbres, dont certains revêtent pour l’homme une importance cardinale. Elle sévit depuis longtemps en Amérique sur différentes cultures (amandiers, agrumes, vignes, caféiers, etc.) et a surgi en 2013 en Europe, peut-être avec l’importation de plants de caféiers du Costa Rica. Elle a fait souche dans la région de Lecce, dans le sud de l’Italie, et y a jeté son dévolu sur les oliviers. Ils y meurent en masse. Dix pour cent d’entre eux, dans la province touchée, seraient déjà affectés.

     
    La petite bactérie s’attaque à une grande variété de plantes et d’arbres, dont certains revêtent pour l’homme une importance cardinale

     

    En novembre 2013, l’Autorité européenne de sécurité des aliments estimait que 8 000 ha étaient touchés dans le talon de la Botte. Mais Fastidiosa, qui se transmet d’arbre en arbre par de petits insectes suceurs de sève – cicadelles et cercopidés – progresse vite et conquiert de nouveaux territoires. Aux dernières nouvelles, elle était signalée vers Brindisi, à une cinquantaine de kilomètres au nord de son foyer de Lecce.

     

    Pour tout le Sud italien, dont l’économie dépend largement de l’olive, c’est un désastre. Aucun remède n’a jusqu’à présent été trouvé. Aucune solution technique indolore n’existe pour enrayer la propagation de Fastidiosa. La seule méthode consiste à arracher les arbres sur l’ensemble du périmètre touché, qu’ils présentent ou non les symptômes de l’infection.

     

    Lire aussi : Une bactérie menace les oliveraies italiennes

     

    Il y a plusieurs façons de considérer ce genre de calamité. La première, la plus répandue, consiste à n’y voir qu’une fatalité, un mauvais coup de la nature. C’est le simple bon sens. Après tout, Fastidiosa n’est pas sortie d’un laboratoire… Mais il est tout aussi légitime de penser ces fulgurantes maladies végétales émergentes comme des accidents industriels liés à la mondialisation des échanges et à la nature même de nos systèmes productifs.

    Amplificateurs de pathogènes naturels

     

    L’écologie de Fastidiosa est immensément complexe, et il n’est pas question de prétendre ici l’élucider. Elle est liée à la présence de réservoirs et de végétaux hôtes sur un territoire, mais aussi au comportement et à l’abondance des insectes-vecteurs, au climat, etc. Mais ce sont, à l’évidence, des modifications apportées par l’homme à l’environnement qui permettent à la bactérie de devenir subitement très virulente.

     

    « Bien que Fastidiosa soit présente en Californie depuis plus de cent ans, seulement trois grandes épidémies se sont produites sur cette période, toutes associées à la vigne », écrit Rodrigo Almeida (université de Californie à Berkeley, Etats-Unis) dans un rapport publié en 2008 par l’Académie des sciences américaine sur les liens entre environnement et émergence des maladies vectorielles. La dernière épidémie en date, ajoute le biologiste, « a émergé après l’introduction d’un insecte-vecteur polyphage et invasif », à savoir la mouche pisseuse, plus présentable sous son nom savant d’Homalodisca vitripennis.

     
    Ce qui n’était qu’un petit micro-organisme sans importance peut devenir un fléau polymorphe de grande ampleur

     

    L’introduction, par l’homme, d’un petit insecte étranger à la région aurait donc suffi à déstabiliser suffisamment l’ensemble du système pour dévaster les vignes du sud de la Californie. Il n’est pas non plus anodin que ce soient les grandes exploitations viticoles – la vigne étant par nature génétiquement peu diversifiée – qui aient été le plus durement frappées.

     

    C’est un autre aspect de l’accident en cours. Les vastes agrosystèmes – où les organismes mis en culture sont d’une grande homogénéité génétique – sont susceptibles d’agir comme des caisses de résonance, des amplificateurs de pathogènes naturels. Une bactérie trouvant un hôte végétal à son goût, et dont des quasi-clones sont cultivés sur des milliers d’hectares, va pouvoir croître, se multiplier, et l’augmentation de sa prévalence dans l’environnement fera grimper d’autant sa probabilité de mutation au contact des autres végétaux environnant. Ce qui n’était qu’un petit micro-organisme sans importance peut devenir un fléau polymorphe de grande ampleur.

    De ce point de vue, il existe une claire analogie avec les risques présentés par les systèmes industriels de production animale, régulièrement rappelés par l’émergence de virus aviaires dans les grands élevages de volailles.

    Meilleur rempart contre les bactéries

     

    Jusqu’où tirer l’analogie ? Selon des travaux conduits par Guillaume Besnard (CNRS, université Toulouse-3) et publiés en février 2013 dans la revue Proceedings of the Royal Society B, le sud de l’Italie se trouve être l’une des zones du pourtour méditerranéen où l’olivier ne s’est réimplanté qu’après la dernière glaciation, il y a environ dix mille ans. Et les interactions entre l’arbre et son environnement (insectes, champignons, nématodes du sol, bactéries, etc.) y semblent moins complexes que dans les régions où il persiste depuis plus longtemps, comme le Levant, le Péloponnèse, le sud de l’Espagne et le Maroc.

     

    Ces interactions de moindre complexité, ainsi qu’une diversité des oliviers sauvages relativement faible (étroitement liée à la diversité des oliviers cultivés), pourraient localement jouer un rôle dans la propagation de Fastidiosa.

     

    Autre enseignement des travaux de M. Besnard et de ses coauteurs : considérée sur l’ensemble du bassin méditerranéen, la diversité génétique des oliviers sauvages et domestiques est encore importante. « Les oliviers cultivés et sauvages forment une sorte de continuum qui mériterait d’être préservé », précise Guillaume Besnard. De fait, c’est probablement le meilleur rempart contre la prolifération des maladies bactériennes, une sorte d’assurance contre des accidents industriels comme celui qui sévit, en ce moment, autour de Lecce.

     

    Lire aussi : L’épidémie se Corse

     

    Source

     

    http://www.lemonde.fr/


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  • Buzz Quizz TV ou regarder un match d'origine française, à l'origine pilotés par la chaîne française TF1 en 2013 (organisé par Gérard Vivès et le titre Estelle Deniss "Buzzers 51") et en 2014 (organisé par Jean-Pierre Foucault appelle «le dernier buzzer" ), [1] et dont la production internationale de premier a été libéré à l'été canal de VTT turque en 2014. Il est basé sur choix multiples (QCM) connaissances générales.

     


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